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Bon début de deuxième saison...

Intéressant cette idée qu'un forme de vie non-humanoïde s'incarne en humain pour nous connaitre... C'est quand même un étrange ? que Deanna ne sois pas plus inquiète que ça qu'elle soit enceinte du jour au lendemain, sans géniteur... Elle est demi-betzoide et l'enfant aussi. J'imagine qu'ils ont senti qu'ils pouvaient se faire confiance l'un et l'autre...

Introduction aussi du Dre Pulaski... et de Guinan... Laforge devient ingénieur en chef... et le traversier de Worf a plus de gueule.... et Riker a une barbe...

Épisode très intéressant

En plus des anecdotes que cite Dax, on peut rajouter Wesley Crusher porte un uniforme gris ainsi qu'un communicateur.

J'aime bien le relationnel autour du docteur Katherine Pulaski, que ce soit avec Data quel nomme Dada, ainsi que celle avec le capitaine.

Picard (à propos de Pulaski) : " A peine quelques heures à bord et elle a déjà trouver le bar."

belle introduction pour la deuxième saison

moi j'ai eut un peu de mal, pas tant sur l'idée du scenar qui est pas mal c'est vrai, que sur les nouveautés de la saison 2...

je pige pas trop j'ai l'impression qu'ils ont tous changés d'uniformes a part picard et riker ?!
que laforge devienne ingénieur en chef pourquoi pas, mais j'avoue avoir du mal avec le fait que dans TNG il ne semble pas y avoir de poste fixe. Je veut dire le pilote reste le pilote, l'ingénieur reste ingénieur etc dans TOS ou Enterprise. Même s'ils prennent du grade.

sinon je trouve bizarre qu'ils aient pas continuer à chercher les mystérieux agresseurs du dernier épi de la saison 1. Ils l'ont ptet fait et nous le disent pas mais bon... c'est comme la mort de Tasha après c'est comme si elle n'avait jamais existé c'est space...

... et puis une barbe quelle idée !

Il est vrai que dès qu'il y a des changements, il faut un temps d'adaptation . c'est normal

Le fait de changer d'uniformes, ça arrive de temps en temps, et c'est pas fini , oups ! J'espèrene pas en avoir trop dit

pour tous le reste... je te laisse découvrir
Je t'envie à ce niveau

Un épisode que j'ai trouvé sympa mais j'aurai aimé en savoir un peu plus sur l'enfant de Troi,je trouve que l'idée de cette forme de vie qui veut naitre parmis les humains (betazoides) est vraiment passionante.Cette idée est un peu reprise dans un autre épisode,"l'amie imaginaire" dans la cinquiéme saison je crois,ou un alien évalue les humains par la façon dont ils traitent leurs enfants.
Premiére apparition de l'excellente Guinan et du docteur Pulaski,mème si elle est plus sympathique je trouve que le Dr Crusher est un peu fade,Pulaski est plus intéressante,j'aime bien sa forte personnalité et sa relation avec Data,c'est un McCoy au feminin. C'est dommage qu'elle ne soit pas restée a bord.

Bon épisode sans aller au delà. Deanna ne s'étonne de rien comme l'équipage entier.
Les bons points : l'idée du scénario , Diana Muldaur (Pulaski) joue très bien, les FX sont tous revus à la hausse, Woopie Goldberg (Guinan), la relation Data/Pulaski

Dommage que le scénario ne soit pas si poussé.
Je note 6

J'ai moi aussi apprécié ces points, tous ces changements intéressants qui ont apporté un plus à TNG. Du côté du scénario, il me paraît un peu superficiel, comme l'a dit Archy, il aurait dû être plus poussé.
Je met un 7.

Mon dieu ... le maquillage outrancier de Deana Troi : quelle horreur ... sinon s'amuser à distinguer les changements est divertissant ... pour le reste l'histoire est sympa sans plus

6

A propos de Wesley crusher: "qui va s'occuper de le border???" Worf: "moi!!!" Lol
Les changements ne me choque pas trop, riker porte très bien la barbe je trouve. Je crois que je vais avoir du mal avec le docteur par contre, un pressentiment ^^

Bonjour,

The Child a été écrit à l'origine pour Phase II, que Roddenberry voulait produire à la suite de TOS. Cette histoire a finalement été adaptée des années plus tard pour TNG, avec les pertes dûes à cette adaptation. Si on se contente de cette version, on peut effectivement penser que le traitement de l'histoire prend trop de raccourcis.

The Child a été repris par l'équipe de Phase II (anciennement New Voyages) et la réalisation a été confiée à l'un des auteurs d'origine: Jon Povill. L'histoire y est donc traitée comme il était prévu et le ressenti est bien plus poignant si on fait abstraction de la différence d'acteurs. Pour mieux apprécier The Child en version Phase II, je ne peux que recommander de visionner les épisodes précédents pour se familiariser avec l'ambiance générale et la qualité de production qui n'a rien à envier aux officielles, loin de là.
Pour visionner the Child en "Director's cut": http://startrekphase2.de/en/4x07_the_child.html
C'est en VO avec sous-titres, le site sera prochainement entièrement accessible en français.

Pour la barbe de Riker, on peut imaginer que c'est pour diminuer la prestance de Jonathan Frakes qui avec sa carrure aurait tendance à éclipser un peu Patrick Stewart, déjà qu'il a un rôle de premier plan et que, dans l'histoire, Riker a refusé un poste de capitaine pour servir sur l'Enterprise... Il faut bien renforcer le personnage principal.

Nicolas.

l'épisode "the Child" par l'équipe "Phase II" est aussi visionnable sur youtube :

https://www.youtube.com/watch?v=aFyKrrF-obY

Je n'ai vraiment pas appréciais cet épisode...Déjà je le trouve trop lent....
Et puis, j'ai eu un ressentis un peu particulier vis a vis de l'histoire...
J'ai eu l'impression que Deanna représentait la vierge Marie et qu'elle fut "fécondée" par le bon vouloir du Saint Esprit...
Bien que la fin nous montre que c'est une entité "curieuse", je vraiment eu l'impression de voir une scène biblique sur le point de la mise en enceinte de Deanna.
Et comme il a été cité plus haut, personne ne semble vraiment être trop inquiet ou étonner de ça...
Bon perso si un jour il m'arrive ça c'est la grosse panique XD

Dommage pour cet épisode

Bonjour,

Il est vrai que ce n'est pas un scénario d'action !
L'insémination est peut-être une réminiscence biblique (il faudrait demander à l'auteur), le traitement de l'histoire permet heureusement de s'en écarter ensuite.
Il faut plutôt voir cet épisode sur le plan émotionnel, sur les liens entre une mère et son enfant, sur le fait qu'elle peut être capable de le laisser partir, de le perdre, si c'est pour son bien. Le problème est que cet aspect a été quelque peu bâclé par les impératifs de production de TNG. C'est en cela que la version de Phase 2 est plus réussie, mais il ne faut pas en attendre plus de rythme puisque ce n'est pas l'objet de l'histoire.

Cordialement,
Nicolas.

PS: bien vu l'animation, beau changement de contexte et décalage de personnalités !

Eh bien alors je me pencherais sur Phase II si tu me dis que c'est plus réussis, même si la version TNG m'a laissé de marbre, je suis quand même curieuse!
Après aussi, je pense que ça m'a lassé de voir encore une histoire de gamin avec maman et cie, et je ne parle pas que de la franchise Star Trek, il est vrai que dans beaucoup de films et séries il y a ce genre d'intrigue,scénario.
Bon c'est pas bien grave, on peut pas aimer tout les épisodes d'une série aussi longue

T'sla a écrit:

Bon c'est pas bien grave, on peut pas aimer tout les épisodes d'une série aussi longue

Si on peut, inutile de résister.   

Comme je suis une tête dure, je vais dire : è_é Non! je résisterais jusqu’à la fin !!!

Alors que l'Enterprise se lance dans une nouvelle mission humanitaire pour enrayer un nouveau fléau mortel, une chose étrange et inattendue se produit à mi-chemin : Le conseiller Troi annonce qu'elle est enceinte. "Qui est le père ?" Demande Riker de façon accusatrice. "Il n'y en a pas", répond Troi.

Le comble de l'esprit de cet épisode est la remarque amusante et désagréable de Worf, dont la réponse, en tant qu'officier de sécurité klingon tout à fait pragmatique, à cette mystérieuse conception immaculée influencée par les extraterrestres est simplement qu'il faut y mettre fin immédiatement afin de parer à tout risque possible. (Il suffit de penser à la façon dont cela aurait pu être le point de départ ultime d'un épisode d'avortement-débat. Peu importe.) Le truc de science-fiction de l'histoire est que la grossesse se déroule à un rythme très accéléré, de sorte que Troi donne naissance à un fils nommé Ian. La croissance accélérée du bébé se poursuit à partir de là, et Ian est un garçon de huit ans dans les 24 heures.

Le problème de cette histoire est qu'elle manque de curiosité envers Ian ou Troi (dans la plupart des épisodes, les scènes de leur mère et de leur fils serpentent avec très peu d'intérêt et de perspicacité), et qu'elle est beaucoup trop curieuse en ce qui concerne l'intrigue secondaire du jargon technique, qui implique une substance mortelle scellée dans un conteneur pour être transportée vers une autre installation. Une mystérieuse radiation provoque la rupture du sceau ; si la substance s'échappe, tous les occupants du navire mourront. Les détails techniques fastidieux des radiations, de la fuite et de la menace qui en résulte traînent inutilement en longueur, ce qui fait que tout intérêt est perdu.

Et qu'en est-il de Ian ? L'histoire ne le traite pas suffisamment, jusqu'aux dernières scènes où nous apprenons qu'il est la source des mystérieuses radiations et qu'il est né à Troi pour apprendre le cycle de vie humain. L'abnégation de Ian (ou le retour à son véritable état d'énergie, si c'est la même chose) fait une bonne scène émotionnelle que Marina Sirtis nous livre, mais les thèmes de la science-fiction sont familiers.

Le matériel de soutien de l'épisode est utile pour Wesley qui se demande s'il doit rejoindre sa mère récemment réaffectée à Starfleet Medical, pour l'introduction du nouveau Dr Katherine Pulaski (Diana Muldaur), clone féminin de McCoy, et pour Guinan (Whoopi Goldberg) en tant que barmaid du Ten-Forward, le nouveau bar de l'Enterprise (ou du moins un bar inédit).

Comme l'histoire me plait, je lui offre la note de 8/10.

Les menaces que l'équipage doit contrer pendant l'évolution de l'enfant sont destinées à lui apprendre la précarité de la vie biologique afin qu'il choisisse de plein gré d'évoluer vers une forme dématérialisée débarrassée de cette fragilité.

L'air de rien, cet épisode pose la question du transhumanisme, au même titre que le le concept de collectif Borg. Mais au lieu d'être technologique, c'est plus un aspect spirituel qui est proposé ici, plus proche de la philosophie Zen qui distingue l'esprit du corps physiologique.

Bref, le scenario est basé sur l'hypothèse que l'évolution est loin d'être aboutie et suggère que l'esprit pourrait être énergie. Doit-on y voir une théorie pour expliquer le manque de matière dans l'univers qualifié d'énergie noire ?

On peut aller très loin si on se prend au jeu de trop analyser une histoire comme celle-ci. Je suis plus partisan de me laisser porter sans chercher de raisons qui ne sont pas celles de l'auteur. C'est le genre de scenario qui doit être difficile à adapter de l'écrit à l'audio-visuel tant les concepts sont seulement hypothétiques et sans mots pour les décrire. Si en plus de ça on vous rajoute la difficulté du formatage par une chaîne de télé, vous pouvez vite rater votre épisode.

Le choix de faire diversion avec des menaces impromptues est probablement une volonté de ne pas trop creuser les relations mère-enfant qui obligeraient à modifier un personnage de façon non souhaitable. Dans ce cas précis, l'enfant n'est pas destiné à devenir un personnage récurrent et cette maternité expresse est reléguée au rang de simple péripétie qui sert à poser des questions, à ouvrir des perspectives, mais certainement pas à donner des réponses...

La version Phase 2, débarrassée de la pression de la chaîne, donne plus de clés pour comprendre de quoi il retourne, et laisse la porte ouverte à encore plus de possibilités. Très clairement, on nous montre la force d'une femme qui ne s'effondre pas à la perspective de voir partir son enfant mais se réjouit de le voir heureux où qu'il soit.

Ce n'est pas un concept exclusif, il y a des exemples similaires dans certaines communautés bien actuelles. Par exemple, Les Roumains pleurent à la naissance d'un enfant car ils savent qu'il va devoir affronter toutes les difficultés de la vie qu'ils connaissent bien. A l'inverse, ils se réjouissent au décès d'un des leurs car ils le savent enfin libéré des aléas de la vie terrestre.
La force de cet épisode est de ne pas avoir fait appel à une quelconque forme de religion pour expliquer cette capacité d'acceptation, et donc d'éviter tous les débats qui auraient pu le polluer. C'est bien plus riche qu'il n'y paraît !

J'ai mis 8 car j'ai vu de très bonnes choses dans cet épisode de reprise : première apparition de Guinan et de son bar, première apparition d'O'Brien, idem pour Pulaski (une femme de caractère, je l'aime bien). Riker porte la barbe, Wesley a viré son pull moche, Worf porte son uniforme jaune de la sécurité (je me demandais pourquoi il ne l'avait pas mis plus tôt, d'ailleurs).

Au titre des changements que je juge bizarres, y'a Beverley devenue grand manitou de la médecine de Starfleet : OK, elle a montré qu'elle assumait bien son rôle à bord, mais de là à obtenir une telle promotion ? Idem pour la montée en grade de Geordi : alors OK, ça permet de mettre fin à la succession des ingénieurs en chef intérimaires qu'on a pu avoir en première saison, mais je ne me souviens pas l'avoir vu en saison 1 démontrer des talents d'ingénieur (sauf quand il a bidouillé son VISOR avec l'aide de Data).

J'ai bien aimé l'ET qui vient en apprendre plus sur les gens de l'Enterprise : sa manière de procéder est pour le moins originale et immersive^^

Minos a écrit:

première apparition d'O'Brien

Non. Il était présent dès le premier épisode de la série.

Minos a écrit:

Idem pour la montée en grade de Geordi : alors OK, ça permet de mettre fin à la succession des ingénieurs en chef intérimaires qu'on a pu avoir en première saison, mais je ne me souviens pas l'avoir vu en saison 1 démontrer des talents d'ingénieur (sauf quand il a bidouillé son VISOR avec l'aide de Data).

Après, il suffi de se souvenir de TOS. Et de son gros gros bordel. Sans compter ST2.

Kyokoko a écrit:

Minos a écrit:

première apparition d'O'Brien

Non. Il était présent dès le premier épisode de la série.

Ah, je ne me souviens pas. Le figurant a bien monté (et va continuer à monter) en grade, alors^^

Kyokoko a écrit:

Minos a écrit:

Idem pour la montée en grade de Geordi : alors OK, ça permet de mettre fin à la succession des ingénieurs en chef intérimaires qu'on a pu avoir en première saison, mais je ne me souviens pas l'avoir vu en saison 1 démontrer des talents d'ingénieur (sauf quand il a bidouillé son VISOR avec l'aide de Data).

Après, il suffi de se souvenir de TOS. Et de son gros gros bordel. Sans compter ST2.

Mouais, mais bon : c'est pas parce que c'est le bordel avant qu'il faut continuer ! Au moins, là, on a assez vite (enfin, une saison, quand même) de la stabilité sur le long terme.

Cet épisode m'a rappelé un Film de SF de niveau inférieur "La Mutante".

Je m'interroge toujours lorsque je vois filmés des enfants et en l'occurrence
des bébés au Cinéma ou à la Télé : Dans quelle mesure est on en droit de le faire ?
Pour ainsi dire, on ne sait pas si la personne, l'enfant, est d'accord.
Déontologiquement, ce n'est pas correct, à mon avis.

Entrée du Dr Pulaski ... Dommage pour JL, ce n'est pas Beverley !!
A vrai dire, j'ai du mal avec ce nouveau médecin (interférence
avec mon expérience personnelle).

Guinan - Wesley : Etant proche du Capitaine Picard, je trouve relationnellement
logique que Guinan se rapproche également de Wesley Crusher.

J'ai mis 7 à cet épisode.

Et nous voici en saison 2 !
Exit Dr Crusher.
Riker s'est laissé pousser la barbe et a perdu son air juvénile. En enjambant allègrement le dossier du siège où il s'assied, il nous rappelle qu'on a embauché des géants dans les rôles clés.
Exit également les sièges couchettes sur la passerelle. Je me demandais comment ils pouvaient conduire le vaisseau sans s'endormir dans cette position.
Le maquillage de Worf est tantinet moins plastique, je trouve mon Klingon plus agréable à regarder.
Petit Crusher a quitté ses pulls ringards pour trouver un bel uniforme d'enseigne.

Guinan et son Abordage font leur entrée en scène. On découvre le bar-salon de l'Enterprise.
La petite Whoopi  qui rêvait en voyant une femme noire parmi les blancs en regardant TOS, une noire avec des responsabilités et pas chargée de faire le ménage, peut désormais embarquer dans l'aventure Star Trek.

L'intrigue reste simpliste. Les scénaristes n'ont jamais rien trouvé d'autre que la peste comme pathologie. Nous, au moins, on a un super virus mutant qui enquiquine son monde depuis plus d'un an.
La petite luciole bleue qui met un locataire dans le bidou de Troi sans lui demander son avis pour se tailler quelques jours plus tard ... mouais !
Personne n'a pensé qu'il fallait manger autant qu'un déménageur et à chaque heure du jour et de la nuit pour faire pousser un moutard aussi vite ?

Question place de la femme, il y a encore des choses à repenser : c'est une bande de bonshommes qui discutaillent devant la principale intéressée, s'il faut la débarrasser ou non de son locataire.
Heureusement qu'on lui laisse le dernier mot.
Quant à la médecienne de bord a l'air de faire figure de pot de fleurs dans le débat.
Tasha ayant défuncté, on a droit à une équipe de sécurité entièrement masculine qui débarque en salle d'accouchement, tandis que les soins à la parturiente sont réservés uniquement à des femmes.

Comme d'hab, le scientifique qui préside le transfert des échantillons pestiférés est un vieux bonze.
On a cru le rendre plus sexy en lui posant une moumoute sur la tête ... Raté ! Celui qui n'a pas repéré le postiche mal posé sur le crâne du tonton doit passer d'urgence chez l’ophtalmo.

On donne encore une fois dans l'humano-centrisme : Pulaski demande à Troi comment se passe les accouchements chez les Bétazoïdes.
Elle a eu son diplôme dans un Kinder-surprise intergalactique ?
Un médecin de Starfleet devrait pouvoir soigner n'importe quelle espèce de la Fédé.

En voyant l'épisode, je me suis dit que, pour l'époque, ils se sont quand même pas mal débrouillé au niveau des effets spéciaux.

Vu un peu de loin, cet épisode me fait penser à :
- "La Mutante" cette saga SF où une femme humaine
est fécondée par un alien et tout se passe en vitesse
grand V loin des 9 mois habituels.
- Presque moins choquants que 2 autres personnages
qui ont eux aussi accouché seuls : Data, rappelez vous
'Lal' et Trip dans ENT, entre rire (impossible de ne pas trouver
risible) et larme (le pauvre).