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Un autre excellent épisode...

Une forme de vie non-humanoïde piège l'entreprise dans un genre de trou spatial et expérimente sur l'équipage dans le but de connaitre l'espèce humaine.

Autant l'épisode 1 (l'enfant) mettait en scène une forme de vie pacifiste, autant l'épisode 2 met en scène l'antithèse...

À la fin, Nagilum décrit à Picard ce qu'il a apprit des humains, et là il y a une liste de mauvais traits dont je ne me souviens pas par cœur... Mais en fait à mon avis c'est de la projection... tout les mauvais traits semble inhérent aux Nagilum qui sans aucun remords donne la mort à un membre d'équipage et projète d'en faire mourir la moitier juste pour voir le résultat...

Le début est aussi intéressant: un vaisseau de la fédération apparait et Riker et Worf vont le visiter. Tout semble sans dessus dessous. Ils ont beau vouloir quitter la passerelle les portes de sortie donne toujours sur la passerelle... comme un dessin d'Escher... Bien réussi 10/10

Le vaisseau Romulien aussi... Le Dre Pulaski qui demande si Data est capable de faire son travail, et de s'excuser auprès de lui d'avoir douté.

Ha! j'allais oublier le début: délicieux !!! Worf qui a invité Riker dans son holo-programme d'entrainement... On vois un Worf déchainé et qui nous dit que d'habitude c'est beaucoup plus intense... mais qu'il ne peut pas le partager à cause de l'intensité... J'aurais aimé être un petit oiseau pour pouvoir voir ça

si l'idée de base était originale j'ai pas accroché plus que ça, ptet parce que c'était trop sombre a mon gout

J'ai bien aimé cet épisode,c'est le genre d'épisodes "mysterieux" que j'apprecie tout particulierement,quand l'intrigue se situe a bord du vaisseau et qu' il faut attendre la fin pour savoir de quoi il s'agit.
Je trouve tout de mème que la décision de Picard d'enclencher l'auto-destruction est un peu rapide,surtout qu'il n'a vraiment pas l'air de bluffer.
Les conclusions de Nagilum sont trés intéressantes,peut-étre assez vraies ...

Episode à la "Jonas et la baleine", où l'être suprême ici observe et teste les héros comme des rats en laboratoire.

Si le scénario est du vu et revu ( et sera vu et revu par la suite bien des fois déclinés sous des thèmes légèrements différents dans Star Trek), les fX servent bien l'intrigue, la musique est de qualité (Satie), l'idée de l'USS Yamato bonne , de même que les faux Data et Troi.
L'intrigue est bien développée, Pulaski est très bonne dans son rôle, on en apprend toujours un peu plus sur les klingons, bref, beaucoup de bon !

J'ai bien aimé, je note 7.

Je dois dire que j'ai apprécié cet épisode, même si il est un peu sombre, sinon il y a du mystère, des énigmes...
Une intrigue bien ficellée, on reste dans le mystère jusqu'au dénouement de l'histoire.
Je met un 8

Un épisode comme je les aime ... du mystère ... la fédération qui doit relativiser son degré d'évolution et de connaissance

8

Par contre le fait que wesley soit remplace au pied leve sans prevenir m' a semble une faute de scenario enormissime !
Du coup a cause de ca je mets un 8 au lieu de 10.
En fait je suispret a parier que a partir de ce moment la les scenaristes ont ete depasses par leur histoire et donc il fallait trouver une fin , donc allez hop on fait mourrir un personnage qui ne devrait pas etre la !
C' etait plutot bien parti pourtant cette histoire d' anomalie spatiale defiant la comprehension !
Le fait d' introduire l' extraterrestre a gache le suspens et a fait retomber le souffle !
Et oui une pirouette et tout rentre dans l' ordre !
Je suis decu par la tournure que prend cet episode a partir du moment ou wesley n' est plus sur la passerelle comme par magie et hop il revient apres incroyable non ?
Non mais de qui on se moque la ?
C'est une insulte a mon inetelligence de trekker* !

*Ca y est j' en suis un , c'est la fête !
 

Je me suis fais la remarque "tiens ou est passé Wesley? Et qui est son remplaçant, je ne l'ai jamais vu... Il va donc mourir!" Lol
Sinon j'ai bien aimer, les scène de riker et worf dans le holodec et dans la passerelle mystérieuse
Un bon épisode!

L'Enterprise est engloutie dans un vide mystérieux, et tous les moyens d'évasion possibles s'avèrent être une cause désespérée.

C'est étonnamment intriguant et divertissant, bien plus que dans mes souvenirs. Les premières étapes peuvent être décrites comme une "procédure de science-fiction", où les éléments de l'histoire sont joués pour leur valeur mystérieuse et leur atmosphère générale. L'épisode ne s'agite pas trop sur les choses étranges qui se passent, mais observe simplement l'équipage de l'Enterprise qui tente de résoudre le dilemme. Cette approche décontractée (où le danger est implicite plutôt qu'explicite) rend l'épisode plus efficace.

Toutes les solutions habituelles échouent : Ils déploient une balise, s'en éloignent autant que possible, pour ensuite revenir sur elle, comme s'ils tournaient en rond. Lorsque des trous dans le vide apparaissent et offrent une issue de secours, ils se referment soudainement au dernier moment, comme s'ils l'avaient fait exprès. Lorsque le vaisseau frère de l'Enterprise, l'USS Yamato, apparaît, Riker et Worf se téléportent pour enquêter, mais ils trouvent un vaisseau vide et toute une série de trucs et d'illusions. Cela mène à une séquence humoristique où Worf en a assez et se déchaîne : "Ce navire n'a qu'un seul pont ! Un seul pont ! Un seul commandant Riker ! Un seul pont !" Et Riker en a assez : "Mettons toute cette technologie au travail et fichons le camp d'ici !" C'est amusant de voir les personnages perdre leur sang-froid.

Finalement, l'équipage de l'Enterprise se rend compte qu'ils sont manipulés ("Des rats dans un labyrinthe", observe Pulaski) dans une expérience par un être intelligent supérieur qui se fait appeler Nagilum. Et, c'est en effet lors de son apparition que les choses deviennent vraiment intéressante. Surtout quand il parle de voir une procréation avec Pulaski.

Néanmoins, son objectif révélé - comprendre la mort humaine en tuant la moitié de l'équipage - me semble avoir été fabriqué pour le plaisir de la chose. Si Nagilum est si intelligent, pourquoi a-t-il besoin de tuer la moitié de l'équipage pour comprendre la mort ? La première victime de Nagilum aurait été Wesley - si ce n'était du fait que Wesley est commodément éloigné de son poste uniquement pendant la scène où quelqu'un doit mourir. Le remplaçant est un Noir dans un rôle ingrat, dont le seul but est d'être tué. Cette mort (façon red shirt) est si manifestement transparente puiqu'elle surpasse probablement toutes les morts des red shirts de la série originale.

Ne voulant pas être tués un par un, Picard et Riker arment la séquence d'autodestruction. En attendant la fin, Picard tient un discours fascinant sur les philosophies de la mort qui est un exemple de dialogue trekkien à son meilleur. Il suffit de convaincre Nagilum de libérer le vaisseau, ce qui ne fait qu'alimenter ma conviction que toute son expérience de la mort était une entreprise inutile.

Par-delà le fait qu'il soit un excellent épisode, celui-ci nous fait comprendre ce que les scientifiques font endurer à des animaux et à des êtres humains depuis des siècles pour satisfaire sa curiosité.

Il mérite bien un beau 9/10.

J'ai trouvé que c'était un bel épisode... sauf sa conclusion, trop "pschitt" à mes yeux. Ça aurait pu valoir 8 voire 9, mais du coup je ne mets que 7.

Picard décidant de refuser l'impasse dans laquelle il est mis, en activant l'auto-destruction, montre une belle force de volonté et de ne pas céder au moindre chantage.

TNG bon point et mauvais point.

Mauvais point : Sans précision de départ, toute scène peut porter à confusion
à savoir si on est dans le Holodeck ou non. TNG n'en abuse généralement pas
toutefois dans cet épisode, un peu.

Bon point : la capacité de nous emmener aux portes de l'impossible ce qui
constitue du bon ST !

Curieux l'attitude de cette entité : il y a plusieurs espèces différentes
sur l'Enterprise, Klingon, Androïde etc et c'est la femme (le Dr Pulaski)
qui est finalement considérée comme différente ... bizarre ...

Reste, la décision incompréhensible du capitaine de vouloir à tout prix
l'auto-destruction. La mort n'est pas une option.

J'ai mis 7.

Enterprise-Parameters a écrit:

Reste, la décision incompréhensible du capitaine de vouloir à tout prix
l'auto-destruction. La mort n'est pas une option.

Pas si illogique que ça. Parce que si Picard peut négocier avec une entité comme Q, puisqu'il ne désire que s'amuser (et surtout avec Picard), il n'en est pas de même pour Nagilum. Un être curieux avec qui tu ne peux négocier. Donc il fallait choisir entre être des rats de laboratoire jusqu'à la fin de leurs vie ou mourir en étant libre. C'est beau. Presque poétique. Et je pense que chaque capitaine de vaisseau de l'univers ST aurait fait pareil.

C'est l'épisode que j'attendais de revoir depuis un petit temps, mais pas à cause de l'intrigue en elle-même que j'avais oubliée.
A cause de l'entrainement de M. Worf dans le holodeck, avec Riker.

J'ai dû voir cet épisode, ou du moins son début, chez ma soeur au milieu des années 90, puisqu'à cette époque-là, je n'avais pas la télévision.
Et j'ai cru, à ce moment-là, en voyant Worf faire partie de l'équipage, que les Klingons avaient rejoint la Fédération !
Eh be ... c'était pas ça.

Cela fait partie des deux épisodes qui m'ont appris l'existence de TNG, avant que je ne sois à trois poignées de main de Michael Dorn.
Je m'explique : j'ai rencontré les parents d'une jeune pilote émigrée aux Etats-Unis qui était amie avec Dorn. Cette jeune pilote d'avion avait eu un grave accident et Dorn avait personnellement promu la cagnotte pour la soigner, puisque, comme chacun sait, les E.U. et la sécu, ça fait deux.

Revenons à l'intrigue.
Cela fait partie du thème l'Alien, insaisissable et tout puissant.

Nos petit chaperons rouges de l'espace ont été assez curieux pour se jeter tout droit dans la gueule du loup Mengele.
Celui-ci commence à jouer avec ses animaux de laboratoire et la comparaison du labyrinthe ou du palais des glaces de fête foraine m'est venue tout droit à l'esprit quand j'ai vu Riker et Worf se perdre sur le vaisseau fantôme.
Nagilum-Mengele se lasse assez tôt des expériences trop soft.

N'empêche que pointer Pulaski comme différente, parce que femelle, quand il y a une Bétazoïde et un Klingon sur la passerelle ... on se demande ce que le réalisateur avait en tête.

Donc, on assassinera Huskell en deux temps trois mouvements, juste pour voir l'effet que ça fait. Puis on laissera Genlouk (en VO, la prononciation vrille les tympans) se taper la discute au lieu de passer directement à l'abattage en règle d'un tiers de l'équipage.
Moi pas comprendre.

Pour une fois la saga prend un tour philosophique sur la possibilité d'un au-delà, qui ne devait pas faire partie des convictions de tonton Gégéne, je pense.
Après avoir poussé un dernier gros Bouh ! (et zigouillé un malheureux officier qui ne portait même pas de chemise rouge)  Nigellan laissera ses petits rats se faire la malle.
A cause d'un chantage à l'auto-destruction ?
La ficelle est un peu grosse.

Bon, ce qui m'ennuie dans l'option auto-destruction, c'est qu'il y a tout de même des gosses à bord, pas seulement un équipage mais aussi des familles.

A mes yeux, ça fait baisser le niveau de l'épisode.
Voilou !

Et bien tu passeras le bonjour au petit Alexander