-

épisode sympa

J'aime bien les personnages comme Okana, c'est rafraîchissant^^

Par contre la recherche du rire par Data... ça me fait de la peine pour lui.

Un Data épisode mais aussi une jolie histoire entre Marivaux et Cosby Show , entre sagesse populaire (Data/Guinan) et jeu de l'amour à l'italienne des XVII et XVIII°.
Les guest de l'époque se succèdent, après l'épisode précédent, une autre transfuge de MacGyver : Teri "Desperate housewife" Hatcher en ingénieur à la téléportation séduite par le Jack Sparrow/Figaro William "4400" O. Campbell et un des comiques des années 80, Joe Piscopo.

Alors voilà : on est entre le Saturday Night et la romance à la princess Bride, c'est un genre que Star Trek va adorer entre TNG et DS9. C'est pas ma tasse de thé niveau humour, mais j'adhère complètement niveau émotions positives.

C'est pour moi suranné, naïf, réducteur (surtout la question du rire et de Data), faussement optimiste (car Data restera dans l'échec sans espoir , essayant de s'accepter tel qu'il est... mais justement, c'est là toute la question car il est loin de n'être "qu'un" robot et en ce sens c'est dommage d'en conclure que le rire lui échappe ) et réellement humanocentriste.

Mais j'adhère quand même : Riker a un brushing trop drole et pourtant il joue très bien. Picard est tout petit mais il en impose comme toujours. Le rire est effectivement l'une des plus belles choses au monde. J'aime les histoires qui finissent bien,oui, surtout vautré sur mon canapé à manger du chocolat noir, j'aime les gentils pirates, j'ai l'impression d'avoir 12 ans mais c'est si bon.

Et Guinan/Goldberg est à chaque phrase, extraordinaire en sage barwoman empathique de l'espace.

Donc pour m'avoir fait ressentir ce que mes 12 ans en moi sont de bien, pour avoir su faire surgir la naïveté candide de mes années MacGyver-grenadine, merci TNG

Je note 7 avec plaisir et heureusement que TNG n'est pas constitué QUE de ce genre d'épisode.

C'est un épisode assez plaisant à regarder pour le sujet qu'il véhicule, il se laisse regarder, mais j'ai aimé. Voilà mon avis, donc je met aussi un 7.

La recherche de l'humour par Data est intéressante ... l'histoire moins, même si le personage d'Okona est intéressant

7

Data qui veut faire rire les autres et rire aussi, je trouve ça franchement pas mal du tout même si, comme Guinan, je comprends pas trop son humour.

D'ailleurs, j'adore la relation Data/Guinan.

Okona m'a beaucoup fait rire, des personnages comme ça dans TNG, j'en veux plus souvent !

Épisode sympa, sans plus. Ce sont les moments avec data les plus agréable a voir, le restes de l'épisode est moyen. Le rire de data fais un peu peur ceci dit! ^^

On notera également que les femmes seule sur l'entreprise ont l'air d'avoir toutes très faim!!! Lol

Un épisode sympathique, qui me fait penser à certains épisodes de TOS, mais qui ne me marque pas plus que ça.

Je commencerai par la bonne partie, qui fait gagner des points à l'épisode : L'histoire B de Data, qui suit le conseil de Guinan d'apprendre l'humour et de prendre des leçons d'un stand-up comique holographique finit par fonctionner raisonnablement bien. Joe Piscopo n'est pas drôle dans ces scènes, mais Data est par définition un hétéro inspiré d'un personnage (en devenir) comique. La scène où il donne sa performance à un public qui rit quoi qu'il fasse est à la fois drôle et triste ; Data ne comprend tout simplement pas l'humour et ne le comprendra peut-être jamais. Sans compter le fait que Guinan tente d'expliquer les subtilités de l'humour à Data.

Quant à l'histoire principale, c'est l'une des choses les plus drôles et les plus oubliables de la carrière de TNG. L'Enterprise sauve le capitaine Okona de son navire en panne. Okona passe son temps à bord de l'Enterprise à faire des plaisanteries, à draguer les femmes et, en général, à être le type de personnalité qui exige une majuscule. (Wesley l'idolâtre ... ce qui fait de Wesley un geek encore plus grand que je ne le pensais). Je suppose que rien ne dit mieux "canaille qui se défoule" qu'une queue de cheval et une barbe de trois jours. Une femme prise par les charmes d'Okona est Teri Hatcher - oui, Teri Hatcher - avec qui Okona couche en un temps record. C'est le retour de la "faible femme" de TOS.

L'intrigue est d'un ennui, déguisé en comédie légère. Okona est soit au milieu, soit à l'origine d'une dispute entre deux familles rivales. Est-il le père de la fille enceinte dont le père est vraiment fou ? A-t-il volé le joyau de la couronne à l'autre famille ? Ou bien y a-t-il autre chose qui se passe ici impliquant des rebuts désespérés de Roméo et Juliette ? L'épisode nous rend impossible de nous en soucier, en particulier dans la terrible scène de climax où toutes les parties sont à bord de l'Enterprise et où l'air est enfin dégagé - dans une des scènes les plus mal jouées et les plus mal dirigées dans cette série.

En fait, ce qui m'amuse le plus dans cet épisode, c'est Data. Grâce à lui on a du 50-50. Sinon, c'est bof. Okana n'est qu'un "Han Solo" du pauvre qui joue les agences matrimoniale, Guinan est une barmaid qui ne bosse jamais, et l'histoire est trop complexe pour avoir écrit deux scénarios distinc. Et donc, elle n'est pas de bonne qualité. Et puis, il y a ce final à la TOS déjà kitch à l'époque.

Au final, on a un épisode Bonvais qui ne mérite qu'un 5/10.

Le personnage d'Okona est tellement mis en avant dans l'épisode (jusque dans le titre) que je me suis toujours demandé si l'épisode n'était pas un test pour un spin-off.

J'ai mis 7, pour ma part. Un bon épisode, mais sans enjeu majeur ni transcendant. On devine vite la direction que va prendre l'épisode, comme on se doute de comment finira l'intrigue Data. Il est d'ailleurs étrange de voir ces deux intrigues dans le même épisode, sans qu'elles aient le moindre rapport entre elles. Ceci dit, l'acteur incarnant Okona est vraiment réussi, je trouve.

À noter que c'est le tout premier épisode de Next Generation que j'ai vu, et que je m'étais profondément ennuyé. Il faut dire que j'étais à Liverpool à ce moment-là, et que je n'entravais pas grand-chose à l'anglais à l'époque (et à peine plus maintenant^^).

Okona a mérité une f***é ?

Double sujet : Data et l'Humour, et ce Okona

Enfin de compte c'est une histoire d'amour,
somme toute bienvenue dans ST.

Je reparlerai de l'approche de l'humour
de Data dans le sujet que je suis en
train de préparer.

J'ai mis 6 à cet épisode.

Un épisode qui traite de l'humour autant dans son intrigue principale que secondaire, même si c'est de l'humour atrocement daté.
Il faut naturellement que ces Etasuniens à courte vue nous impose leur gloire locale en matière de rigolade, si locale qu'elle n'est pas connue chez nous.
Data reste attendrissant dans son désir d'imiter l'espèce humaine et reste comique malgré lui. Le coup de la séance de stand up accélérée qui lui arrache un demi-sourire fait bien plus rire que les blagues de bon-papa du "comique".

l'intrigue principale autour d'Okana tient également de la comédie, mal jouée, en plus, car même ou surtout en VO le jeu des acteurs secondaires est aussi convainquant que celui de gosses jouant un spectacle pour la fête de l'école.

Okana, parlons-en ! On a ressuscité Errol Flynn dans le rôle du pirate charmeur (même les manches bouffantes ne nous ont pas été épargnées) .
Le mec n'a qu'à débiter un compliment éculé à la première gonzesse pour avoir pécho.
D'ailleurs, les femmes de l'équipage ne semblent ne servir qu'à ça : toutes des top-models prêtes à recevoir chez elles et en elles le premier bellâtre qui leur sert sa roucoulade.
Waw !
Quelle vision moderne et novatrice de la femme ... digne de tonton Gégéne !

La comédie en mode série Z du Roméo et Juliette intersidérale pourrait nous sembler complètement déphasée avec notre époque si ... si, malheureusement elle n'était pas le reflet d'une certaine mentalité des Etats ruraux et conservateurs, pas seulement à l'époque du tournage, mais aussi, hélas, encore de nos jours.

Figurez-vous qu'il n'y a pas d'âge minimum légal pour se marier aux Etats-Unis, du moins pas au niveau fédéral.
Certaines Etats en ont fixé un et d'autres refusent de le faire.
Pourquoi ?
Mais parce que quand mademoiselle a fauté, il faut qu'elle épouse son séducteur !
Sinon, elle risquerait, oh, horreur et damnation ! d'avoir recours à l'avortement ... disent certains politicien.nes du clan conservateur.
Il y a même des Etats où un violeur échappe aux poursuites s'il épouse sa victime ... il n'y a pas qu'au Magrehb que ce genre de "moralité" a cours.

Du coup, dans des Etats comme le Tenessee, on voit parfois des gamines de douze ans convoler avec un gars bien plus âgé qu'elles. Et des gamins à peine pubère épousant une femme faite, ça existe aussi. Il faut juste l'accord d'un juge et des parents.
C'est beau, la civilisation, n'est-ce pas !

Donc l'histoire de l'honneur bafoué qu'on répare par le mariage, et tant pis si ça fait votre malheur, ça faisait et ça fait toujours référence à un état d'esprit présent dans la Bible Belt.

Si les aliens de l'épisode ont bien l'air d'appartenir à l'espèce humaine, c'est parce que l'espèce humaine produit ce genre d'imbécillité.