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Eh ben, original cet épisode ! Très intéressant cette idée de communication par personnes interposés, même si ils ne répondent pas à certaines questions pratique. Par ex, comment ces personnes peuvent avoir leur propre vie tout en se dévouant exclusivement à la retranscription des pensées de quelqu'un ?

Et puis avec Troy c'était touchant.

Cet épisode traite finalement de la communication entre être humain. Riva est quelqu'un qui négocie la paix un peu partout, entre des être qui sont en conflit. Et pourtant il ne parle pas et n'entend pas. Son chorus lui permet d'atteindre l'extérieur, lui permet d'apporter la paix... Et voilà qu'il perd son moyen de communication, l'équivalent pour nous de perdre l'ouïe et la parole... Il se retrouve seul pour la première fois de sa vie et coupé des autres... Et là, Picard qui lui prends les mains et fait un geste pour lui dire qu'il n'est pas seul malgré tout... La communication reprend... Et Riva, trouve le moyen de sortir de cet incapacité en décidant d'apprendre aux 2 peuples en guerre, le langage des signes, ce qui les ( les 2 peuples) leur donnera un point en commun: Riva. De cette manière, ils seront forcés de communiquer eux aussi entre eux....

Je trouve vraiment que c'est un Ode à l'espoir... Si Riva s'était apitoyé sur lui-même, non seulement il aurait eu une vie misérable, mais l'impact de sa sagesse dans la résolution de conflits aurait cessé d'exister...

Citation :

Et là, Picard qui lui prends les mains et fait un geste pour lui dire qu'il n'est pas seul malgré tout...

oui c'était un moment très fort

Si j'ai trouvé l'idée de scénario très bonne et les FX réussis (le laser destructeur et les corps , de même le système solaire dans la cabine de Picard) , je n'ai pas aimé cet épisode dans le sens où je trouve que les acteurs jouent mal voire surjouent.
J'ai eu l'impression de me retrouver face à un message publicitaire mal vieilli autour de la tolérance. Alors le thème : oui, très nettement et l'incarnation : non très nettement aussi.

C'est peut être parce que le personnage de Deanna n'a pas encore trouvé sa densité pour moi, vu que cet épisode est assez centré sur elle.

L'idée du personnage de Riva est excellente , comme une ode à la répartition des forces de l'âme assez platonicienne, et la structure sociale du "chorus" est originale.
La comparer au visor est didactique bien que réductrice à l'égard du chorus.

C'est aussi parce que LeVar Burton ne se foule pas dans cet épisode que je n'ai pas aimé peut être, alors que Frakes trouve véritablement son personnage.

On retrouvera bien plus tard dans l'histoire de la série l'allusion de Pulaski à l'égard de Laforge c'est agréable de voir cet épisode en feedback.

Howie Sago (Riva) ne me convainc pas. Le personnage, oh que oui mais pas l'acteur.
Quand aux dialogues, je les trouve d'une pauvreté et d'une prévisibilité totale.

Alors pour toutes les intentions très bonnes de cet épisode, pour Riker et Picard, pour l'idée du scénario , je note 5.

Bien que certains points m'aient un peu déçu, j'aime cette idée de l'espoir, l'originalité de l'idée du "chorus" et le dénouement de l'histoire. J'ai apprécié cet épisode, je met un 8

Le personnage de riva et de son mode de communication est intéressant, original, étrange et bien pensé. Moi j'y vois surtout le message qu'un "handicape" n'en est pas vraiment un, juste une manière différente de communiquer (dans cette épisode) et qu'on ne dois pas se sous estimer, baisser les bras ou sous estimer ceux qui sont atteint de cet "handicape". On a l'exemple avec riva et laforge.
Ça me rappel cet homme sans bras qui jouai de la guitare et changeai une roue de voiture seul avec ses pieds alors que je n'ai jamais pus jouer d'un instrument lol et qu'il y a beaucoup de personne qui ne savent pas changer une roue  belle leçon de vie.

Episode revu hier soir

Très bon épisode, même si la morte des trois membres du chœur de Riva était prévisible pour le scenario, cela reste bien amené, pas trop tôt dans l'épisode (même assez tard en fait). Cela montre qu'un handicap peut également être un atout. Voire : un handicap en est-il vraiment un dans l'absolu ou n'est-ce pas une conception finalement culturelle des capacités physiques de chacun ?

Le seul point qui me chiffonne, c'est la fin : Riva est laissé là pour mener seul les négociations. Bon, admettons, c'est déjà rude, mais en plus, d'un point de vue pratico-pratique, ce n'est pas très sérieux : il va dormir où ? manger quoi ? etc... (certes, cela reste des détails très secondaires mais quand même).

Un épisode qui pousse à une certaine réflexion sur nous-même, en ce sens, il est très "trekkien"
Je met un 10

C'est un épisode très... Star Trek (du point de vue d'un novice) qui semble avoir été vendu sur un concept prometteur pour lequel personne ne pouvait finalement construire une histoire suffisante. Les premières scènes mettent en place l'histoire dans ce qui apparaît maintenant comme la formule TNG : beaucoup d'exposition, certaines intéressantes, d'autres pas, tout cela prenant du temps à l'écran dans une histoire très lente. Puis nous retournons à l'Enterprise où nous devons faire une nouvelle série de présentations à l'équipe. Étant donné que Riva est si connu, je ne comprends pas pourquoi tout le monde est surpris d'apprendre qu'il est sourd (peut-être parce que s'ils le savaient déjà, l'histoire n'aurait aucune excuse pour nous le présenter).

Riva est très confiant dans ses capacités à négocier un accord de paix. Si confiant, en effet, que lorsqu'un membre d'une faction tente de saboter les pourparlers en tuant le chœur de Riva, la confiance de ce dernier est presque irrémédiablement brisée. Nous obtenons alors une série de scènes (trop nombreuses, à mon avis) où l'équipe de l'Enterprise tente de convaincre Riva de revenir au processus de paix qu'il est censé négocier. Seul le conseiller Troi parvient à le convaincre, en partie grâce à leurs ouvertures romantiques précédentes. Qui est franchement longue et inutile.

Je suis désolé, mais la solution ne fonctionne pas. L'argument de Riva est qu'en partant de zéro et en enseignant le langage des signes aux deux parties, on trouvera un terrain d'entente qui permettra à la communication et aux négociations de s'épanouir. Traitez-moi de cynique, mais je pense qu'il est plus probable que quelqu'un sorte une arme et tire sur la place par pure frustration au cours d'un processus aussi ardu. Si ces gens se battent depuis 15 siècles, comment Riva et sa solution simpliste vont-ils honnêtement faire une brèche ?

Je suis tout à fait favorable à l'optimisme du TNG, mais c'est un peu exagéré.

Je n'ai pas vraiment été interressé par l'épisode qui, déjà lors de mon premier visionage, ne m'avais pas impressionner. Je lui offre un petit 2/10.

A contrario, j'ai beaucoup aimé cet épisode, à qui j'ai tout bonnement mis 9.

Riva et son chorus est une idée géniale, et je me suis vite posé la question de ce qui arriverait si l'un des membres disparaissait. OK, ce sont donc les trois qui y sont passés, tant qu'à faire. On passe donc d'un Riva au top à un Riva qui ne vaut plus rien. Jusqu'à l'intervention de Troi, qui lui montre la voie pour trouver un certain équilibre.

Vraiment bien, assez subtil, je trouve. Et ça, c'est une Fédération comme on l'aime : Riva a signé des tas de traités (la réaction de Worf à son égard est très chouette aussi, cela fait écho à l'histoire de son peuple), mais n'hésitera pas à prendre tout le temps qu'il faudra (des mois minimum, le temps que les antagonistes apprennent le langage des signes) pour ramener la paix sur la planète. Pas la paix entre deux empires galactiques, non, mais la "simple" paix entre deux peuples d'une même planète. Les valeurs ne sont pas sacrifiées aux enjeux, on n'a pas envoyé Bébert, apprenti diplomate histoire de se faire les dents, mais un diplomate confirmé.

La seule incongruité que j'ai relevé, c'est la découverte de Riva par Picard & co : soit-disant qu'on ne leur a pas dit comment était Riva. Si le gars est si connu, c'est pas bien compliqué de savoir qu'il fonctionne avec un chorus. La préparation des missions ne me semble pas au top sur ce vaisseau...

L'autre "presque" incongruité fut le dîner entre Riva et Troi. Le côté gênant du membre du chorus qui roucoule en lieu et place de Riva, et à quel moment il doit s'éclipser. Ce qui m'amène à me demander si les membres du chorus ne se prennent pas parfois pour Riva : simples interprètes ou presque émanation de son être, avec les capacités qui vont de pair ? Et comment ils font pour mener leur propre vie ? Ils ont fait une croix dessus en le servant ?

La scène de Geordi avec Pulaski est intéressante : on n'est pas dans le remplissage d'épisode mais dans une vraie réflexion, qui va sans nul doute évoluer avec le temps (d'autant qu'on sait comment ça finit^^). Et je le comprends parfaitement, le Geordi, face au choix qui lui est offert : je suis à moitié sourd d'une oreille et le choix qui me fut offert à l'époque était "soit vous entendrez à 100%, soit ça passera à 0". J'ai pas insisté. Et ça peut paraître débile, mais si mon ouïe revenait à la normale et que je trouvais le son trop fort (car ça fait 30 ans que ça dure, mine de rien), que ça me dérangeait, je ferai comment ? Tout ça pour dire que je comprends parfaitement que Geordi hésite...

Pour finir, mention spéciale aux décors et accessoires utilisés durant tout l'épisode : je trouve tout cela vachement bien fait, recherché, alors que les séries PIC et DIS me semblent comparativement très pauvres en la matière, par comparaison : des ciels bleus, un ou deux tournages en Islande, un lustre Ikea !

Intéressant personnage ou plutôt intéressant groupe de personnages.

J'ai mis 7 à cet épisode.

Un excellent épisode que j'ai particulièrement apprécié.
Une belle inventivité quand on a, pour la première fois, une représentation en 3D d'un système stellaire planant au-dessus du bureau de Picard.

Ensuite nous faisons connaissance de Riva, avec son choeur, comme dans le théâtre antique.
Le coryphée est sourd mais surtout muet. On joue un peu sur les deux handicaps comme si l'un entrainait obligatoirement l'autre, ce qui n'est pas le cas. Certains sourds arrivent à parler, avec difficulté mais ils le font.

Riva a quelque chose de messianique avec sa tenue longue et sa jolie barbe. Seulement, une fois privée de Pierre, Jacques et Jean, il se retrouve avec des sueurs de sang à Gethsémani, prêt à tout laisser tomber.
L'ange du réconfort apparaîtra sous les traits de Deanna.

On aimerait tous avoir les capacités d'apprentissage de Data, ça raccourcirait les sessions d'étude avant les examens

La solution est toute trouvée : apprendre le langage de l'autre. Privé de son choeur Riva devra lui aussi développer son propre langage !