1-24 : Un coin de paradis (This Side of Paradise)

Je viend de recevoir mon épisode préféré, inutile de vous dire ce que je vais regarder ce soir.....
Un coin de paradis je l'ai pas revu depuis sa diffusion sur notre bonne 5...........
ça va me faire drole....... danser

Fondateur Nombre de messages : 10660 Age : 60 Date d'inscription : 29/07/2006

J'espère que tu y as trouvé tout le plaisir que tu attendais !!

Ben j'ai été surprise de voir spock en train de faire "le singe sur un arbre.." je m'en souvenait plus....
Je me demande vraiment ou ils ont été cherché les scénarios, vraiment ça été un plaisir de le revoir, j'ai plus qu'a en visionner un autre....

si je me rappelle l'épisode il avait sniffé par mégarde du pollen des fleurs de la planète...

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on ne me résiste pas...

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mon Risa : Caleta de Fuste/Fuerteventura/Canaries

oui en fait c'est la demoiselle qui l'a amené devant les fleurs pour qu'il en respire......

Invité

Je me souviens d'un acteur sur un bonus DVD qui disait se rappeler de la musique de Spock amoureux, il parlait de cet épisode je crois.

c'est ça en fait c'est un des seules épisodes ou il se lache... A part dans star tre IV ou il dit un gros mot.....

Invité

C'est vrai qu'il n'a pas arrêté avec son "hell" fume

Capitaine Nombre de messages : 1090 Age : 50 Date d'inscription : 15/05/2007

Capitaine Nombre de messages : 1087 Age : 37 Date d'inscription : 29/11/2009

L'Enterprise rejoint une planète sur laquelle une colonie s'est installée il y a quelques années. Les colons sont présumés morts, car ils n'ont pas donnés de nouvelles, et des ondes mortelles inondent la planète. Pourtant, l'équipe d'exploration découvre qu'ils sont bel et bien vivants. Reste à savoir comment !

C'est un épisode assez sympa, notamment sur le personnage de Spock, qui soudain se retrouve avec des émotions, et ne lutte pas contre... Et puis cela donne l'occasion à quelques blagues, "spocky" n'obéissant plus à Kirk. Pourquoi ? parce qu'il n'en a pas envie ! 1-24 : Un coin de paradis (This Side of Paradise) Icon_lol

De plus on a une belle illustration de la société parfaite où chacun "cultive son jardin" (candide de Voltaire). Tout est calme et volupté... Et je ne suis pas vraiment d'accord avec la morale finale, comme quoi ils n'ont rien fait sur la colonie. Certes ils ont vécût sont une influence qu'on peut qualifier de drogue, mais ils ont visiblement été heureux, vivant l'instant présent.

dans cet épisode Spock dit qu'il a un autre nom, mais qu'il est imprononçable. vous en pensez quoi ? ça veut dire que "spock" c'est juste une traduction de son nom vulcain ???

ce qui fait que tu poses une question de taille :
le bonheur n'a t il de valeur qu'à partir du moment où il s'inscrit dans la conscience et donc dans la mémoire ?
et cela implique :
être heureux , est-ce forcément un souvenir ?

EDIT : ta question est bonne sur Spock et je vais créer une question dans la section appropriée, vous pouvez cliquer ici 1-24 : Un coin de paradis (This Side of Paradise) 814273

Commodore Nombre de messages : 3896 Age : 46 Date d'inscription : 15/07/2011

Un coin de paradis

Le capitaine Kirk et tous ses diplomates débarquent sur la planète Omicron 3. Alors qu'il s'attend à trouver des buildings un peu partout, rien, que dalle, pas le moindre macdo à l'horizon. Il a tout de suite compris que les habitants étaient tous morts lorsque soudain, ces derniers se présentent à lui. Non seulement ils sont vivants, mais en plus ils n'ont strictement rien branlé depuis 36 mois les mecs. C'est vrai que les rayons Berthold...d'accord j'veux bien mais quand même, comme on dit en Europe, ce n'est pas l'exposition mais la dose qui tue.

T'ain, le Kirk dans tout ses états, commence à gueuler dans l'champs. Lui qui s'attendait à voir des implantations d'entreprises, y'a même pas une vache à traire s'indigne le Sulu. Le Kirk a bien compris que y'avait une couille dans l'potage. Il devrait y avoir normalement des plantations d'entreprises là devant ses yeux et au lieu de ça, ce sont des plantations de fleurs, du nom de Democra Merica. Des fleurs, qui avec leurs spores, ne tardent pas à faire leur effet, en commençant par étêter, direct, tout le cortège de Kirk, puis de s'inviter démocratiquement un peu partout sur l'Entreprise. Très vite, le Spock se r'trouve embrigadé dans les bras d'une tigresse en chaleur. Plus tard, le Kirk se retrouve acculé, seul devant une Democra Merica de la planète Omicron3. "Atchum" qu'il dit, je vais faire ma valise et j'te r'joint direct le Spock, ok mon lapin répondit le Spock. Mais il découvre in extrémis, que la plante crève dès que tu lui gueules dessus. Le Kirk fait remonter le Spock à bord, et qu'est-ce qu'il ne se prend pas dans la tronche le Spock? le_boulet

"Oui, vous vous êtes fait niqués, regarde la boite des graines, c'est marqué plantation américaine de graine, Made in China, imbéciles que vous êtes. Regarde la boite j'te dit, espèce de sale paysans d'Omicron3."

Le spock retrouva immédiatement ses esprits vu que, dès que tu gueules sur les spores, elles savent plus quoi inventer d'autre. Bon ensuite, ils ont organisé une engueulade générale, z'ont été obligés d'endormir le Mc Coy parce que les spores étaient parties mais lui, il continuait ... Tout le monde est remonté à bord sain et sauf, et à la fin le Kirk a dit :" Non mais quoi, Saloperie de chinoiseries.Purifier moi cette saloperie de planète le Sulu, avec les supers torpilles Monsanto".

La morale de cette histoire, bien entendu, c'est qu'ils ont été infectés par une infection psycho-physiologique d'origine chinoise et que la planète a été sauvée grâce à Monsanto. Tiens, mon Oeil... fume

Mon image préférée

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Ma citation préférée
Joker !

Ma note 7/10

Commodore Nombre de messages : 3896 Age : 46 Date d'inscription : 15/07/2011

Archy a écrit:: le bonheur n'a t il de valeur qu'à partir du moment où il s'inscrit dans la conscience et donc dans la mémoire ?
et cela implique :
être heureux , est-ce forcément un souvenir ?

La valeur d'une chose dépendra fortement des croyances auxquelles elle(la valeur) se soumettra volontiers. Elle sera conditionnée par la fréquence des expériences auxquelles elle sera sollicitée. On voit bien dans l'épisode que les spores n'arrivent pas à gagner les croyances de Kirk car ses valeurs sont insoumises dans le secteur décisionnel. Il faut souvent modifier ses croyances pour modifier ses valeurs et l'inverse est tout aussi vrai. Tout dépend des relations hiérarchiques qu'elles entretiennent.
Personnellement, je dirais que le bonheur perçu est extrêmement représenté par notre système de récompense. Il aurait donc une valeur capitale à tout moment.

Archy a écrit:: et cela implique :
être heureux , est-ce forcément un souvenir ?

C'est assez difficile de forcer une comparaison entre deux éléments que je qualifierais d'ultra subjectifs.
Nous pourrions peut-être nous entendre sur le fait qu'un état interne serait une configuration mémorisable et pas forcément mémorisée.

Encore un chouette épisode. J'avais oublié à quel point les planètes visitées sont souvent pour rendre visite à des colons humains, un leitmotiv que l'on voit déjà un peu dans ENT.

Épisode bien fichu, avec un Kirk plutôt poignant... et si seul ! Heureusement, son amour de l'Enterprise lui fait reprendre ses esprits.

Une belle allégorie sur ce qui pousse l'homme en avant : ses émotions, et son désir de se surpasser/dépasser.

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Faire les choses sérieusement, sans se prendre au sérieux.

En effet, un épisode que j'ai apprécier également, bien travaillé. Ce que j'ai vraiment aimé, c'est de voir à quel point un Vulcain, ici Spock, peut se montrer passionné (dans tous les types d'émotions) sans son contrôle émotionnel. Un comportement digne d'un Romulien ^^. (C'est tout à fait logique puisque les Vulcains étaient comme ça autrefois).

J'ai ressenti une petite pointe de chagrin pour le personnage de Leila (c'est bien son nom si j'ai bonne mémoire^^) quand Spock lui annonce que c'est à sens unique et en partie dû aux spores...

Un bon épisode pour moi^^

Ça me fait penser que dans TOS, on a vu plusieurs fois Spock perdre le contrôle de ses émotions... et que certains hurlent déjà à l'idée qu'il les ai à nouveau (ou déjà, chronologiquement parlant) perdu dans la prochaine saison de DIS !

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Faire les choses sérieusement, sans se prendre au sérieux.

Commandeur Nombre de messages : 716 Age : 39 Date d'inscription : 11/12/2017

Un épisode intéressant. Sans plus. Il est ni bon, ni mauvais. Il est Bonvais. J'ai toujours eu une espèce de tendresse pour cet épisode. Surtout à travers son thème principale: Est-on encore un Homme, sans besoin ni désir, sans ambition, sans désir d'être plus que ce qu'on est ?

Son plus grand défaut reste cette romance niaise entre Spock et Leila. Encore une qui, kiffe les longues oreilles pointues. Mais qu'est-ce qu'elles ont toutes avec Spock ?

C'est un épisode qui pourrait s'apparenter à la position des premiers colons américains. Plus ou moins.

Un petit message pour Spock. La pilule du bonheur existe, on appelle ça le viagra...

Au fond de moi, j'aimerais que cette fleur existe. C'est un épisode hippisse partout et love ça.

Une scène est à garder en mémoire : le moment où les membres d'équipage quittent le vaisseau et où Kirk se retrouve seul. Un grand moment et aussi un grand fou rire.

Donnons-lui un charmant 6/10.

Invité

Bonjour,oui,je ressors une vieille discussion mais j'ai revu cet épisode ce soir et je trouve le scénario un peu tiré par les cheveux mais c'était vraiment un plaisir de le revoir. J'aimerais connaitre votre avis,pensez-vous que si Spock avais eu le choix aurait-il choisi de rester sous l'effet des spores ou non
Very Happy

Merci de votre réponse.
Qapla :quark:

De ce que je connais de Spock s'il avait pu choisir, il serait sorti des effets du spore également.
Probablement plus tard après avoir un peu profité.

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"Two beers or not two beers."

Vu son obsession pour se contrôler en permanence, je pense aussi qu'il aurait choisi de rejeter les spores.

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Faire les choses sérieusement, sans se prendre au sérieux.

Invité

Merci de vos réponses,je serais également plutot d'avis qu'il aurait eu envie de sortir de l'effet des spores.

Je pense qu'à l'époque où est sorti l'épisode, les paradis artificiels devaient fleurir en Californie. On peut penser au cannabis, prisé par les hippies.
Un trip qui dure trois ans, j'ai beau être une immaculée conception en la matière, je suppose que la redescente ne doit pas être très agréable.

Kyokoko a écrit:: Son plus grand défaut reste cette romance niaise entre Spock et Leila. Encore une qui, kiffe les longues oreilles pointues. Mais qu'est-ce qu'elles ont toutes avec Spock ?

C'est un ressort assez commun dans TOS de faire perdre la tête à Spock en l'obligeant à vivre des émotions alors qu'il n'en veut pas.
Le jeu d'ombre et de lumière sur le visage de Leila, on connait le code : elle a flashé sur son mystérieux vulcain.
Personnellement, ce ne sont pas les oreilles de Spock qui m'attirerait, ce serait plutôt son regard, comme Jadzia Dax Cool

mais surtout sa personnalité.

La réflexion de Kirk sur le paradis que l'on quitte a, étonnamment, une très grande justesse théologique. Si une certaine tradition voit une chute dans l'expulsion d'Adam et Eve, une autre y voit le passage à l'âge adulte, le fait d'entrer dans une dynamique, la confrontation au monde réel et la prise de responsabilités, la possibilité d'aller de l'avant en quittant l'Eden qui avait tout d'un sein maternel.
L'humain n'est pas fait pour une vie de Tanguy.

J'ai noté mot à mot ce passage du dialogue entre Spock et Leila quand celle est téléportée sur le vaisseau et qu'elle quitte l'influence des spores en voyant que Spock est dessoulé, si je puis dire.

Leila et Spock a écrit:: — Je ne veux pas te perdre, Spock, dit Leila
— J'ai une responsabilité vis-à-vis de ce vaisseau, répond Spock, et de cet homme sur la passerelle. Je suis ce que je suis, Leila. Quand on se crée son propre purgatoire, alors on doit y vivre sa vie. Le mien ne peut être pire que celui d'un autre.
— Je t'ai perdu, n'est-ce pas, et pas que toi. Tout le reste aussi. Les spores, je les ai perdues aussi.
— Le capitaine a découvert que les émotions fortes neutralisaient leur effet.
— Et c'est pour mon bien ? ... Ça te dérange que je te dise que je t'aime toujours ? [elle l'enlace] Tu ne m'as jamais si tu avais un prénom, M. Spock.
— Il est trop dur à prononcer, répond Spock en souriant et en essuyant une larme de Leila.

Je n'arrive pas à saisir ce passage sur le purgatoire. En quoi Spock considère-t-il qu'il fait son purgatoire sur l'Enterprise. Aurait-il tout de même une once de sentiment pour Leila ? Suffisamment pour lui sourire mais pas assez pour se lier à elle ?

Quand Kirk demande ce que Spock a à dire au sujet de cette expérience sur Omicron Ceta III, il répond qu'il n'a pas grand chose à dire, si ce n'est qu'il a été heureux pour la première fois de sa vie.

Mmmouais ! Le fait de contenir ses émotions rendrait malheureux ?!

Capitaine Nombre de messages : 987 Age : 50 Date d'inscription : 06/09/2020

Episode intéressant, dans la lignée de l'ensemble de l'oeuvre TOS.

J'ai mis 7 à cet épisode.

J'aime beaucoup cet épisode, la musique joue une part importante pour établir une ambiance un peu psychédélique et la scène ou Kirk se retrouve seul et désespéré sur l'enterprise est vraiment très forte.
Je vais oublier les petits défauts déjà évoqués, prendre une bonne dose de spores et donner un 9 fume

Je viens de re-revoir l'épisode.
Je vais juste relever le syndrome de la schtroumpfette.
En gros : tous des mecs, une seule bonne femme (sur la colonie)
Naturellement la schtroumpfette est jeune, jolie et appétissante, ça va de soi.

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» Bulletin 415 - Octobre 2024

1-24 : Un coin de paradis (This Side of Paradise)

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