L'espace, l'ultime frontière, voici le vaisseau USS Mirana, sa mission, explorer des mondes zarbi et mystérieux, découvrir de nouveaux peuples et de nouvelles civilisations, et allez là où la main de l'homme n'as jamais mis le pied. Ta tatata tatata...
Pour ceux qui connaîtrais le jeu par e-mail star trek fédération, j'ai trouvé que le système de un conteur, un équipage était un moyen idéal de se divertir en groupe. Alors, le système est simple. En général, il y aura un post pour la vie de tous les jours a bord du Mirana où chacun vaguera a ses occupations et permettra de maintenir une existence pour le vaisseau. De temps en temps, il y aura un contact par MP et ont vous informera du début d'une mission que notre conteur aura mis sur pied, là, je créerait un post pour la mission et le conteur lancera l'histoire puis chacun y ira de son petit mots pour faire avancer l'histoire.
Quelques règles:
C'est nécessaire...
- Pas de grobilisme, faite en sorte que vos actions tiennent la route et ne cause pas de tord a d'autre personne du jeu.(sauf vos ennemi)
Ex: J. T. Punch s'élança par dessus le précipice de 400 mètre de fond pour 12 de large et arriva de l'autre côté où il mit a mal une troupe de klingons déchainer avec un bâton pourri et un bras attaché dans le dos...
- Lorsqu'une action est faite, c'est au conteur de dire le résultat, pas a vous.
Ex: J. T. Punch vit la bombe, vite, il retira la paque boulonnée d'un coup de boule et découvrit une centaine de fil de couleur différentes, il en coupa un au hasard et la bombe fut désamorcée...
j'en mettrai d'autre en fonction des résultats.
Sinon, voilà un exemple de jeu tirer de mes tests hlodeck pour le jeu STF.
...Le décor changea.
Gonin se retrouva dans une... "cellule", il n'y avait pas d'autres mots.
Il était dans une pièce rectangulaire dont 3 côtés était faits de briques poisseuses ; le quatrième était quant à lui fermé par des barreaux "à l'ancienne", en métal forgé.
Un éclairage rare et "flashouillant" projetait sur le tout des ombres fantomatiques...
Sa tenue aussi avait changé : à la place de son uniforme gris de cadet, le holodeck avait projeté le pantalon noir et un t-shirt rouge qui devait être réglementaire il y avait près d'un siècle...
Au loin, Gonin entendait les échos de voix gutturales.
Il renifla, et le regretta aussitôt... L'ordinateur avait été jusqu'à intégrer des molécules odorantes synthétisées à la simulation.
Et une odeur pestilentielle
Marc fit un tour sur lui-même en enregistrant la pièce dans ces moindres détails.
En l'occurrence, il n'y avait pas grand-chose à noter : un sol de terre battue jonché de paille, une planche fixée au mur par des chaînes faisant office de literie, et un... "trou" dans un angle de la pièce dont l'utilité était on ne peut plus évidente.
C’était un don dont il était très fier, il se dressait instinctivement une carte du lieu dans sa tête et s’en servait pour s’orienter.
Marc renifla et fronça des narines, cette odeur, ça lui rappelait la fois où son chien lui avait ramené un renard crevé. Et il y a en plus, comme une petite touche de toilette bouchée dans l’air. Il pensa en rigolant si les odeurs ont une couleur, celle-là doit être dans les tons marron et vert morve.
Marc tâta de ses poches au cas où.
Non, il n'avait rien sur lui.
Le déguisement holographique avait même fait disparaître son combadge.
Et jeta un coup d’œil aux barreaux.
Des barres métalliques allantes du sol au plafond.
Seule une sorte de porte se découpait dans l'alignement verticale, rectangulaire, trop haute et trop large pour avoir été conçu pour un être humain.
Elle était verrouillée par une sorte de serrure mécanique à l'ancienne.
Cependant, bien que rustique, l'ensemble avait l'air bien solide.
Il s’appuya sur le mur et tapota nerveusement des doigts en regardant le sol puis l’éclairage. Manifestement, il était prisonnier. Alors autant savoir qui était son gardien.
Marc jeta un coup d’œil en travers des barreaux.
Personne.
Un couloir central, des cellules de part et d’autre. Toutes celles qu'il pouvait voir étaient vides, cela dit.
À une extrémité, des chaînes fixées à un mur. De l'autre coté, un escalier en spirale... d'où provenaient les voix.
Le tout n'était pas sans rappeler l'architecture médiévale terrienne, si ce n'est que les dimensions n'étaient pas tout à fait adéquates pour des êtres humains.
Puis il prit une profonde inspiration et lança un cri retentissant.
GONIN - “OOOOOOOOOHHHHHHHH ! “
Qui rebondit en écho avant de s’éteindre.
Les voix se turent... puis éclatèrent de rire.
Quelques instants plus tard, des bruits de pas lourds descendirent l'escalier.
Qui que soient ses geôliers, l'un d'entre eux serait là d'un instant à l'autre...
Marc alla s’asseoir sur le li… la planche et attendit patiemment que le garde arrive. Connaître l’ennemi avant tous, ensuite aviser en fonction pour s’échapper. Tout le monde a son point faible, et lui, il allait le découvrir. Tant qu’a faire, Marc jeta un coup d’œil a la lampe et aux chaîne que retenaient sa planche. Les chaînes pourraient sans doute servir d’arme et dans la lampe, il y aurait s’en doute du câble pour crocheter la serrure. Mais il verrait sa après sa discution.
Bon, il arrive se garde ou quoi ?
D'un pas lourd et un peu chancelant, comme s'il avait deux ou trois chopes de Sanguine en trop derrière la cravate _ un Klingon de près de 2 mètres de haut approcha de sa cellule.
Il se posta devant la grille, un sourire sadique accroché à ses babines...
KLINGON - "Kak D'Hag kor'ha s'Tac'oG, redshirt !!!"
Marc se figea, il s’attendait à tous, mais pas a ça. Des klingons. Oh la la. Il se leva et s’avança, juste assez pour ne pas être impoli selon les critères klingons, mais pas trop, parce qu’être téméraire avec les klingons n’est pas un gage de survie.
Marc le regarda droit dans les yeux et le détailla.
Il n'y avait pas grand chose à dire : c'était... un Klingon.
Grand, costaud, barbu. Pas tout à fait sobre, mais pas au point de s'effondrer dans un coma éthylique.
Il ne portait qu'une arme blanche : un d'k tahg.
Et le regarda droit dans les yeux une dizaine de secondes.
GONIN [autoritaire] - “Vous compter me nourrir ou me laissez crever la dalle ? Et d’abord, pourquoi je suis là, hein ? Et au passage, lorsqu’on me cause on ne baragouine pas dans son sabir d’alien.“
Pendant sa question, Marc se demanda qu’en même j’espère que je ne fais pas une grosse bêtise en commencent comme ça.
Marc ne portant plus son combadge, il n'avait plus non plus de traducteur universel... et le Klingon ne risquait pas de comprendre grand chose.
Pourtant, le simple ton de sa voix avait suffit à énerver ce dernier : il tripatouila quelque chose sur le mur à côté de la cellule, hors du champ de vision de Gonin, puis déverrouilla la porte à l'aide du bonne vieille clée bien rouillée...
Il s'avança sur le cadet, serra son poing, et l'envoya en plein dans l'estomac.
Marc, qui n'avait absolument rien préparé, roula au sol, plié en deux par la douleur !
Quand il retrouva son soufle, la porte s'était déjà refermée, et le Klingon était hors de vue. Marc entendit son rire gras qui s'éloignait en direction de l'escalier.
Il se releva tant bien que mal, en massant ses abdos douloureux... Les sécurités du holodeck auraient pourtant dû se déclencher !
Ce malade de Arthur avait dû en augmenter la tolérance...
Marc prit un moment à se masser le ventre jusqu'à ce que la douleur cesse. Il étiqueta mentalement sur sa liste de chose à faire, se venger.
GONIN [Tous bas] - "Bon, maintenant que je sais a qui j’ai a faire, je vais prendre congé, vus que c’est un vieux modèle a clé, voyons voir si il n’y aurais pas de quoi crocheter la serrure ? "
Montant sur son lit, Marc s’approcha de la lampe grésillante, et en fit le tour.
S’ouvrait-elle ?
Le néon était fixé au centre de la "cellule", et la planche qui servait de couchette était fixé au mur... Il manquait à Gonin une bonne longueur de bras pour pouvoir l'atteindre.
À l’intérieur, y avait-il un fil électrique ou une pièce qui permettrait de crocheter une serrure ?
Peut-être...
Un câble électrique partait du néon et courait le long du plafond, fixé à la voûte par des sortes d'agrafes.
Une fois dénudé, le câble pourrait peut-être servir, oui.
Mais encore fallait-il l'attraper !
Marc se rassit et tapota des doigts sur la planche en fixant le plafond d’un air ennuyer. Il lui fallait un escabeau ou une échelle s’il voulait atteindre le câble là où il disparaissait dans le mur. Marc se releva et observa la planche.
Elle n'avait pas l'air très solide... Vermoulue par endroit, il serait sans doute possible de la briser en jouant au trampoline dessus.Puis il jeta un œil aux chaînes.
Celles-ci, en revanche, avaient l'air bien solides.
Bien que rongées par la rouille, elles étaient suffisamment épaisse pour survivre encore une bonne décennie à la corrosion...Et enfin a l’endroit où le mur et la planche se rencontraient.
Le mur avait l'air de s'effriter à cet endroit. Le mortier qui retenait les chaînes avaient dû être posé à la va-vite.
Avec un outil assez pointu, il pourrait peut-être le creuser.L’opération allait être délicate, il fallait décrocher les chaînes et désolidariser la planche du mur pour la sortir. Ensuite, il l’appuierai contre le mur et il aurait son escabeau.
Le problème, c'était que le néon était au centre de la cellule, donc trop loin de tout mur pour pouvoir l'atteindre de cette manière...
Marc se rassit, décidément, on n’était pas sorti de l’auberge. Des fois, les solutions se trouvaient dans les coins les plus improbables, et dans cette cellule, où ce trouvaient les coins les plus improbable ? Il jeta un œil vers le seul endroit encore inexploré de la cellule, le coin « WC ».
GONIN [décourager] - "Même si j’y laisse quelques récepteurs olfactifs, allons voir ça."
Il se leva et s’approcha, en fronçant des narines, du trous pour les toilettes et l’observa sous tous les angles au cas ou quelque choses d’utile y serait caché. Après tous, il était a priori déjà dans la merde.
Gonin se pencha sur la "fosse d'aisance" et y découvrit ce qui ressemblait à un rat. Enfin... en plus Klingon : c'est à dire avec des dents plus nombreuses et plus pointues, des cornes, et une crête dorsale...
Probablement rien de plus qu'un hamster nain pour des Klingons, quoi.
Celui-ci devait être là depuis un moment, car il était dans un état de décomposition avancé : la chaire avait soit pourrie soit été rongée par les vers, et seuls quelques lambeaux de peaux maintenaient ensembles les petits os pointus de l'animal.
Marc déglutit, c’est vraiment dégoûtant. Bah, ce n’est qu’une simulation après tout.
Il tendit la main et souleva le plus délicatement possible le cadavre. Au vu de l’état de putréfaction avancée, il ne fallait pas que sa chance tombe en poussière.
Une fois le cadavre sortit, Marc profita de la proximité des toilettes pour rendre à la terre une partie de son déjeuner. Ça avait beau être une simulation, ça avait quand même l’air réel. Une fois son ventre calmé, il s’approcha du cadavre et l’examina jusqu'à dénicher deux os fins, pointus et solide. Ça devrait faire l’affaire.
Notre vaillant cadet s’approcha de la porte et se mit à forcer la serrure.
CONTEUR ?
Enfin, il allait sortir...
Vous commencer toujours vos message par le petit texte suivant:
P - (grade) (nom) (prénom)
(poste) (vaisseau)
(position actuelle du PJ)
De cette manière, chacun sait où est qui.
Entre chaque action où j'intervenait sur l'environnement ou un PNJ je demandais au conteur de prendre la suite.
Ex: Marc s'approcha des toilettes et jeta un coup d'oeil dedans...
CONTEUR - @ toi
Vous pouvez inspectez ou demander le conteur autant de fois que vous le voulez dans votre message, il éditera pour mettre les réponses.
Employer s'il vous plaît chacun une couleur différente pour se reconaître.
Lorsque je posait une question a un autre PJ, je lui demandais d'intervenir.
Ex: Marc se tourna vers le chef de la sécurité et demanda.
GONIN - "Mais qu'allons nous faire?"
CHEF DE LA SECURITE - @ toi
Et lorsque je fais une action ou je pose une question a la rond, c'est au autre PJ ou au conteur d'intervenir.
Ex: Marc proposa d'ouvrir la porte pour voir ce qu'il y avait derrière...
@ vous
A la fin de vos messages, vous pouvez ajouter des petit message en commencant par:
HP - Sarek
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