Un épisode en 2 phases.
Pour qui apprécie Data et le développement de sa personnalité et de sa quête, la première phase est enivrante. Les cauchemars de Data permettent les plus grands espoirs de scenario.
De belles promesses d'un épisode psychanalytique de l'esprit de Data, avec en prime l'apparition de Freud. Un moment de pur bonheur, d'humour et d'esprit que de voir Freud, le cigare à la main, analyser un rêve du cerveau positronique ! Génial cette scène !

C'est pourquoi la 2ème phase, l'explication par les bestioles ayant infecté l'équipage via un conduit à plasma....est un peu décevant. Mais alors qu'on croit que l'épisode va se terminer mollement, à coup de technoblabla quelconque, qui revoit-on ? Notre cher Sigmund qui prend part à la résolution de l'énigme, sans travestir la dimension romanesquo-humoristique du personnage, et c'est du cauchemar lui-même que viendra la solution. La classe !

Au final un épisode excellent, complet, vraiment typique d'une 7ème saison de TNG offrant des épisodes costauds, débridés et SF comme jamais.

Ca me fait penser, sur le thème de l'analyse d'un rêve pour résolution d'une énigme, je ne saurais trop vous conseiller le chef d'œuvre absolu d'Hitchcock : la maison du docteur Edwards.....

Hey bien un épisode pleins de bonnes surprises ! Un scenario vraiment original, bien mené, avec en trame de fond l'inconscient de Data, et parsemé de moments irrésistiblement drôle.

Le ptit rituel de Data avant de dormir est trop marrant ! et trop hilarant aussi quand il va voir freud ! Et worf qui doit s'occuper de Spot !

pas mal aussi picard qui essaye de se défiler devant une réunion barbante... et qui finit par se faire rabrouer de ne pas pouvoir venir alors qu'il n'y est pour rien !

vraiment très bon tout ça, j'ai mis 9

Cet épisode comporte en effet des moments savoureux que vous avez décrits à merveille. J'ai adoré
Je met un 8

un 10 pour Data et Freud.

La représentation des parasites dans les rêves de Data laisse penser qu'il a vraiment un subconscient. Dans ses rêves Data vois des anomalies à l,endroit ou les parasites sont situés, donc d,une certaine manière son cerveau positronique l'a vu. Donc Data devient de plus en plus humain.

Cool aussi le rituel, parce qu 'il aurait pu adopté n'importe quel rituel de sommeil. EN fait le fait de faire le rituel ne change probablement rien à sa fonction de rêves puisque son corps n'a pas de besoin particulier de confort.

Un bon petit 8 pas cher payer.


Le sens du bizarre galçant de Brannon Braga à l'écriture, Data au sommet de sa forme. Sauf que j'aurais aimé plus de folie et de dérision. Moins de Freud, mais plus de Lewis Carroll, Data plongeant littéralement dans le terrier du lapin blanc. Ce qui à mon humble avis , est plus proche du caractère enfantin et "mathématique" du personnage. Que je regrette cruellement le côté fantasque de la touche Roddenberrienne.

Je juge donc en l'état un très bon épisode qui prend malin plaisir à se moquer la psychanalyse. L' interprétation des rêves se mariant à la nature positronique de Data, le tout à travers "le mystère de la semaine" à la conclusion tout de même assez décevante ( un mal reccurent chez Braga ).
Quelque passages humoristiques qui doivent plus au talent de Brent Spinner qu'à l'écriture séche de Braga ( Ah la scène des adieux vibrants à Spot ) .

Juste pour Braga & co. Si chez Freud : " Un gâteau reste juste un gâteau" , chez Roddenberry : " Un parasite n'est juste qu'un parasite" , et pas "une créature interphasique qui se nourrit des globules anamorphosé au niveau subquantique qu'on peut détruit avec un alterneur positronique qui fait bip au lieu de sploug!."

Interprétation Freudienne: Buckaroo est réfractaire à toute forme de technoblabla!

A noter que Bernard Kates , l'acteur qui incarne Freud dans cet épisode est mort ce 2 Février 2010, il avait 87 ans. Une petite pensée émue pour lui donc.

c'est vrai que comme tu dis ça aurait pu être plus fantastique. Alice hum, ça me rapelle la tête de mc Coy dans "une partie de campagne"

et je trouve aussi la solution assez décevante à la fin

Je m'en fiche je me répète . Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à ce flm absolument génial d'Hitchcock : la maison du docteur Edwards, et notamment cette scène, celle du rêve analysé...

Et si comme moi ce film devient culte pour vous, je suis certain que vous réhausserez votre note pour cet épisode ! Non mais !

lael Chekov a écrit:

c'est vrai que comme tu dis ça aurait pu être plus fantastique. Alice hum, ça me rapelle la tête de mc Coy dans "une partie de campagne"

Je dirais plutôt dans la veine de Lewis Caroll, plutôt qu'une transposition littérale d'Alice ( oubliez la daube de Tim Burton svp ) .. Le mathématicien Britannique n'avait pas son pareil pour créer des personnages de fous qui vous coincez dans une forme de logique infaillible. Je crois que cela aurait mieux sied à Data. A regarder de plus prés , Data est un personnage quasi Carrolien dans sa démarche. un être pensant déporvu totalement d'émotion qui désire en avoir. Le désir est déjà une émotion en soi . Typiquement du Lewis Caroll.

Tu as totalement raison Mbuna, la référence fait pour beaucoup dans l'appréciation globaled'un épisode. Je ne connais pas trop cette période d'Hichcock.. Mais dans l'un comme dans l'autre, je pense qu'il y avait une meilleure approche.. Pour un fan de Lewis Caroll, il va s'en dire .

J'ai bien ri en voyant cet épisode ... Worf qui doit s'occuper de Spot ... le tél dans le ventre de Data ... Deana "Data, sometimes, a cake is just a cake"

Je note 8 aussi

Un très bon épisode marrant et en même temps flippant. D'ailleurs ça fais quelques épisodes déjà ou data a des moments sombre.

J'ai bien ris quand data va se coucher et qu'il baille en étendant les bras lol et lors qu'il demande a worf de s'occuper de spot "il faut le nourrir, lui donner de l'eau, lui parler, lui dire que c'est un bon chat..." Et worf qui répond "je vais le nourrir..." En tenant le chat comme si c'était une chose répugnante lol

Un androïde qui cauchemarde, un Klingon qui ne sait pas comment prendre un chat (pauvre bête, quand même) Deanna en gâteau à la menthe, Beverly qui suce le cerveau de Riker ...
C'était trop marrant.

Encore un épisode qui interfère avec mon histoire personnelle.

Des scènes extrêmement choquantes : Troi en gâteau, Riker
en boisson, Troi agressée avec un couteau ...

On comprend que quelque part Troi à la fin cherche à
se venger mais de là à dire à Data : "Un gâteau n'est
qu'un gâteau" ... pour un androïde c'est sûrement
différent mais chez un humain, je suis persuadé que
pour notre cerveau, manger un gâteau qui symbolise
quelqu'un a une signification bien obscur.

Ils devraient interdire l'épisode aux moins de 12 ans,
c'est en tout cas mon avis.

Pour le reste, assez drôle, l'admiratrice de Laforge,
la soirée festive de l'amirauté dont Picard cherche
à fuir.

J'ai mis 7 ... mais à réserver à un public averti.

Très astucieux le son qui tue la menace alien mais déjà vu
dans le "Mars Attacks" de Tim Burton ou plus récemment
dans Terminator Salvation.