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On propose un poste de capitaine à Riker. Va t'il quitter l'Enterprise ?

Un épisode intéressant avec le retour du père de riker dans sa vie

L'histoire de Riker m,interpelle plus ou moins, par contre le rite de l'age de l'ascension des klingons: j'ai adoré... À l'époque de la diffusion original, c'est le premier épisode qui dans lequel on nous parle plus des rites Klingons... Et celui là donne le ton du caractère Klingon: L'honneur, éprouver la force du guerrier ( bien représenté dans le rite de l'age de l'ascension) etc etc

Vive les Klingons

ben j'ai préféré le rite funéraire perso. Dans je sais plus quel épisode, fin de la saison 1 de TNG. C'est fort de les voir pousser leur hurlement.

Ha, je pensais que c'était dans la saison 2... alors oui moi aussi, le rite funéraire ou ils hurlent... mais dans DS9 quand Jadzia meurt, Worf ne hurle pas... à mon avis un erreur... (petite digression)

oui , dans DS9 Worf a trouvé son identité. Là, il la cherche encore, il a besoin de ce côté là.

Très bonne idée d'épisode mais qui se résoud beaucoup trop vite de façon totalement improbable même si heureuse.

Riker est très bon , Mitchell Ryan en père de Riker , c'est du tout bon , mais voilà, j'attendais une intensité que je n'ai pas trouvé, c'est un bon épisode pour moi auquel il manque une profondeur des sentiments et des émotions.

Mais bon, en si peu de temps pour la durée d'un épisode et en voulant traiter à la sauce TNG, c'est pas si mal.

Je note 7.

Ce qui m'a le plus marqué dans cet épisode, c'est surtout l'intrigue liée au rituel Klingon, on en sait un peu plus sur ce peuple.
Par contre, l'intrigue avec Riker m'a laissé mitigée, les jeux d'acteurs sont intéressants, mais il y a un côté qui m'a laissé de marbre.
Sinon dans l'ensemble c'est un bon épisode.

Je met un 7.

Dax a écrit:

Ha, je pensais que c'était dans la saison 2... alors oui moi aussi, le rite funéraire ou ils hurlent... mais dans DS9 quand Jadzia meurt, Worf ne hurle pas... à mon avis un erreur... (petite digression)

Non, justement, il hurle quand Jadzia meurt dans DS9, je le sais parce que je l'ai vu il y a très peu de temps!

Elle est sympa la petite fête sado/maso organisée pour worf ^^

Wex a écrit:

Elle est sympa la petite fête sado/maso organisée pour worf ^^

oui,

B'lanna:

Dax a écrit:

Wex a écrit:

Elle est sympa la petite fête sado/maso organisée pour worf ^^

oui,

B'lanna:

Je ne connais pas encore ce personnage, mais j'imagine bien  lol

Il n'y a en effet que la fête SM de Worf pour sauver l'épisode, tout le reste est si long et sans impact sur la série... 4

Un épisode dont je ne suis pas fan, mais dont je reconnais les qualités (même s'il n'en a pas énormément)

Commençons donc par les points positifs. "The Icarus Factor" a un certain courage car il n'a pas d'intrigue au sens traditionnel du terme et fait confiance uniquement aux personnages pour faire le travail. Ce n'est pas un grand épisode, et ce n'est pas non plus l'un des plus mémorables de la série, mais il y a quelques idées intéressantes, sans qu'elles soient exploités à leurs pleins potentiels.

Kyle Riker est ici présenté comme un père bien intentionné qui doit payer pour les erreurs commises par son fils en tant que parent. William Riker a beaucoup de colère refoulée contre sa mère, qui est morte lorsqu'il était enfant. Dans ce genre d'histoires familiales tumultueuses, il s'agit d'une histoire passable qui essaie de voir les deux côtés et qui ne fait de personne un héros ou un méchant, mais qui aborde simplement ce problème comme un problème auquel les deux parties sont confrontées.

Pulaski a sa propre vision des choses, puisqu'elle a déjà eue une histoire avec le père de Riker. L'épisode est peut-être trop optimiste dans la façon dont il dépeint le pardon de Riker si rapidement à la fin (soit ça, soit leur problème aurait dû être résolu il y a des années avec un seul discours). Il faut également mentionner les discussions Riker/Picard sur ce que signifie commander un vaisseau, même si ce n'est pas quelque chose d'aussi important que l'Enterprise.

Le plus intéressant est le scénario de Worf, qui donne un aperçu de son code de guerrier klingon (qui semble parfois insensé) et de la façon dont ce code existe de façon isolée sur l'Enterprise. Laissez aux Klingons le soin d'avoir quelque chose appelé "bâtons de douleur" dans le cadre d'un rituel impliquant l'Age de l'Ascension (dont c'est le 10ème anniversaire de Worf).

Je voudrais également mentionner rapidement O'Brien, dont le profil s'est constamment amélioré au cours de la deuxième saison, au point qu'il existe ici en tant que second rôle aux côtés de Geordi, Pulaski et Wesley.

Maintenant, passons aux points négatifs de l'épisode. "The Icarus Factor" manque cruellement d'enjeux. Après un épisode tel que "Time Squared" on était en droit d'attendre beaucoup plus, il me fait plus penser à un épisode avec Lwaxana Troi, qu'à un épisode sur les problèmes refoulés.

Kyle Riker est d'un ennui mortel. Il faudra attendre un affrontement physique avec son fils, digne d'un épisode d'une série Tokusatsu, pour qu'il tente de crever l'abcès violemment dès le début. Ça aurait permis de passer à autre chose. Non sérieux, on se croirait dans Winspector.

Passons ensuite à Worf Il est certes le gros point positif de l'épisode, mais tout est gâcher par la présence de sa "famille". J'aurais préféré qu'il nous fasse un trip façon B'Elanna Torres dans Voyager.

Un autre point positif que j'ai oublié. J'adore comment Worf envoie chier Boy Wesley. Et paf ! Dans ta gueule p'tit con ! Haaaa, ça fait du bien.

Pour conclure je dirais que l'épisode aurait plus eu sa place en Final Season. Cela aurait permis de le développer un peu plus. Je lui offre la note de 4/10.

J'ai mis 7.

L'épisode fut globalement intéressant, sauf la fin toute pourrie du combat et le dialogue père-fils qui s'en est suivi : du gâchis.

Sinon, la problématique était pas mal. Le rite de Worf, et notamment les explications d'O'Brien sur les effets des bâtons de douleur, fut sympa aussi. Le perso s'étoffe petit à petit, tranquillement, et on sait que toutes ces petites touches rajoutées une à une construisent une mythologie et préparent l'avenir.

Relatif manque d'intérêt.

Si le fait que Riker soit promu Capitaine d'un autre
vaisseau puisse intriguer, on ne se laissera pas prendre
par le suspense du choix, à moins d'être un Novice.
D'avance, on sait que Riker ne quittera pas l'Enterprise
et il y a bien que Picard qui en soit surpris (ou fait mine
de l'être).

Donc on meuble avec du sordide : le père de Riker
et les habituels conflits familiaux, la relation avec Pulaski
(ennuyeux au possible) et ce rituel Klingon où je
me serait presque endormi.


Bref, j'ai mis 5 à cet épisode.

Le moins qu'on puisse dire c'est que le daron de Riker est ringard. Franchement le costumier et le coiffeur de la série lui ont fait une dégaine de vieux crouton miteux.
Mais qui a dessiné cette combinaison en tricot de bonne maman ? Et cette coupe héritée d'un vieux soap ?
Pulaski semble avoir des goût de ... ahum ! en matière de bonshommes.

La thématique des relations pourraves père-fils est une vieille ficelle usée. Ça pouvait encore passer dans les années 80. Mais on nous a fait le coup tellement souvent que trente-cinq ans plus tard ...
Tout ce que Deanna a à nous servir sur les relations père-fils relève de la psychologie de comptoir. Tout aussi ridicule que la tenue de combat des deux coqs de basse-cour en train de s'essayer à leur pseudo art martial. Leur explication père-fils est aussi crédible que les trois petits cochons et a autant de consistance que de la barbe à papa : du verbiage vide de sens.


L'intrigue secondaire autour de Worf n'est pas mal trouvée. On invente le folklore klingon qu'on croirait copié des coutumes prêtées aux amérindiens dans les westerns : je te soumets à la douleur pour que tu prouves ton courage.

On ébauche la légende de l'idylle passée entre Deanna et Wiiliam.