Il s'agit là de l'un de mes épisodes préférés de la première saison.
Beverly est excellente dans son rôle, et elle me fait toujours rire lorsqu'elle se tord les pieds avec ses hauts talons et quand elle mâchouille négligemment son chewing gum !
L'aspect polar vieille époque, parfaitement reconstitué, est également l'un des points forts de cet épisode. Un petit chef-d'oeuvre du genre.

J'adore aussi, c'est l'un de mes épisodes préférés de cette saison.
Stewart et Spiner sont au top de leur forme, le scénario me fait jubiler de plaisir, Dixon Hill est une trouvaille excellente.

Alors ok, plus tard, on aura des redites de cet épisode à gogo , dans toutes les séries suivantes.

Mais pour le coup, en un épisode, il y a là de l'humour, du voyage, de la métaphysique, du vertige, de la tendresse et beaucoup d'honneur.

Pour moi c'est un épisode à ne pas rater dans Star Trek , il fait date. Je note 10+

Que dire de plus ? Moi aussi j'ai bien apprécier cet épisode, de bons jeux d'acteurs, une bonne intrigue, je prend toujours plaisir à le regarder.
Je met un 9.

A mon goût c'est pas forcément l'épisode le plus réussis se passant dans l'holodeck, mais c'est une très bonne première. Marrant de les voir tous enthousiastes, comme des enfants, ravis de découvrir un monde enchanté, qui n'est pas ausi dur que le nôtre car irréel... jusqu'à ce que l'holodeck déraille et que la réalité les rattrape.

Ils se marrent de trucs dont on ne rirais pas en vrai, parce que justement c'est pour jouer, comme lorsqu'ils sourient alors qu'on pointe une arme vers eux, un peu comme des gosses jouant au bandit et au voleur.

A ce niveau là la scène tout juste énorme du poste de police me fait trop tripper : leur enthousiasmes, Beverly qui veut qu'on les interroge tous, qui estime que c'est pas juste qu'il n'y ait que Picard qui a le droit à ce 'plaisir'.

Picard qui dit à l'inspecteur de police : "vous êtes éclatants de vérité, j'ai lu toute la collection et c'est exactement conforme à l'idée que j'en avait"

Il faut avouer que cet épisode est très drôle, changer d'époque n'est pas si évident que ça ! Data qui ne se met à prendre le parler de là bas, Beverly qui avale son chewin gum

Picard qui essaye de leur faire comprendre qu'il n'est pas Dixon Hill,
Data qui enfonce le clou : "ce n'est qu'une copie du vrai, un clown
sans envergure, une vulgaire reproduction"



Et puis Picard qui parle l'insectoïde

Pour une fois beverly a un plutôt un bon rôle, aussi bien pour commettre des bourdes et jouer la touriste naïve que dans la relation avec Picard. Il n'est plus le capitaine, mais Dixon...

Au final je note 9.

Episode revu...

Bien marrant, une bouffée d'air même si la saison est loin d'être "lourde" mais cela fait du bien : changement complet de décor, de contexte, de rôle, répliques et attitudes savoureuses, etc...
Tout cela pour détendre Picard stressé à l'idée de faire un court discours dans une langue des plus ardues (pas mal aussi d'ailleurs)

Bref, du tout bon, j'ai mis un 10.

Le premier épisode centré sur le Holodeck et l'un de mes favoris de la saison.

Grâce à cet épisode, la série a définitivement quitté l'univers de TOS pour nous plonger dans TNG.

Crusher me fait tellement rire dans cet épisode. Du passage avec le talon, à celui où Whalen se fait tirer dessus.

On les voit tous enthousiastes, comme des gosses dans un parc d'attraction. C'est amusant.

Enfin, un très bon épisode qui mérite un beau 9/10.

Un chouette épisode à qui j'ai mis 8.

Les dysfonctionnements technologiques sont toujours légions dans Star Trek, et tant mieux : la technologie, même dans le futur, n'est jamais fiable à 100%.

J'ai surtout beaucoup aimé, notamment pour les héros plongés dans cet univers fictif et qui réagissent tous comme des gosses émerveillés, c'était fun. Et je trouve que Gates McFadden joue enfin bien son rôle de Crusher, ce qui est une plus-value. Jusque-là, je la trouvais gauche voire peu crédible, du genre à n'avoir pas encore apprivoisé son personnage, comme si elle se cherchait.

Minos a écrit:

je trouve que Gates McFadden joue enfin bien son rôle de Crusher, ce qui est une plus-value.

En fait c'était son premier rôle à la TV. Elle était plus habitué au théâtre.

OK, je ne savais pas. Clair que les techniques respectives ne sont pas du tout les mêmes.

C'est ici que le roman-holodeck fait son apparition.
Le programme n'a pas du être bien conçu si on peut s'y blesser et s'y faire tuer.

On retrouve le thème du passé revisité. Dans TOS ça se faisait dans une planète qui vivait dans un passé terrien occidental, ici, c'est dans l'espace holodeck.

Restent quand même quelques élucubrations qui ne sont pas cohérentes avec l'ensemble.
Pourquoi est-ce que Cruche-Crusher ne fait pas demi-tour pour avertir d'une éventuelle défaillance quand la porte s'ouvre et se referme devant elle ?
Pourquoi n'a-t-on pas prévu la sécurité élémentaire qui consiste à couper l'alimentation pour éteindre les hologrammes ?
Pourquoi est-ce que les hologrammes ne s'évanouissent pas automatiquement une fois qu'ils franchissent la porte ? Il n'y a plus d'émetteurs pour les faire apparaître en dehors de l'espace holodeck.
Pourquoi est-ce que Picard et compagnie se débarrassent de leur combadge pour s'aventurer là-bas ?
Pourquoi est-ce qu'on ne téléporte pas directement Warren à l'infirmerie plutôt que de demander à Data de jouer les brancardiers ?

A part ça, le ressort comique joue : Le coup du rouge à lèvres sur la bouche du capitaine, Data à fond dans son personnage et Crusher qui apprend à marcher en talons aiguille et qui avale le chewing gum tout cru.

A la place de Picard, je ne me serais pas fendue d'un message en langue bizarroïde, j'aurais demander à l'ordi de le faire à partir d'une synthèse vocale, à partir de sa voix.
Et quand je vois qu'on met en scène des aliens si susceptibles, je me dis qu'il vaudrait mieux les laisser dans leur trou, plutôt que d'essayer de s'allier à eux.
Que feraient-ils si au lieu de tomber sur Starfleet, ils avaient affaire aux Brees, aux Klingons ou aux Romuliens ? Eux ne s’embarrasseraient pas de salamalecs avant de leur rentrer dans le buffet.

Je maintiens ma thèse selon laquelle le Holodeck est une arme.
Des armes, il y en a dans Dixon Hill et un membre de l'équipage
se fait tiré dessus.
C'est le 1er épisode traitant du Holodeck.

Au passage, acteur invité, celui de "Gremlins".

Non seulement, ils sont menacés, mais ils sont enfermés
dans ce monde.

Question subsidiaire : Qui pour les sortir de là ?
Wesley Crusher !!

J'ai mis 5.