Très bon épisode, Brent Spiner est une valeur sûre maintenant de TNG. Alors évidemment, on s'attend à tout dans le scénario (enfin bon , ça ne m'a pas surpris du tout) mais mais mais ...

C'est à mon avis un épisode qui pose aussi les bases de ce qui va suivre. LE questionnement sur le cerveau positronique est très bon. Cet épisode aussi préfigure les alliances futures de Lore , il y a tout le futur de Lore dans cet épisode.

Evidemment Nemesis lui rendra un bel hommage à sa façon même si personnellement je pense que TNG méritait mieux que Nemesis, Datalore en miroir avec le film ne peut que réjouir.

Un autre épisode fondateur de la mythologie à mon goût énorme de TNG.

Et puis, il y a le fameux "shut up Wesley", indispensable réplique dans le panthéon des répliques Trek cultes.

Je note 9, pour tous les rappels que cet épisode va susciter en plus du fond et de la forme. Sans ça j'aurais mis 8, et ça restait un très bon épisode quand même.

Dommage juste qu'Asimov ne soit pas plus exploité à mon avis et que la personnalité de Data ne soit pas davantage mise en relief.

Dommage aussi la réaction de Picard lourdement insistante vis à vis de Wesley dans le refus d'écoute. La réplique culte sauve ce qui est pour moi une invraissemblance davantage importante que de laisser le siège de pilotage à l'enseigne stagiaire (ce qui peut "passer" encore au su de son apprentissage constant et sans nul doute hyper croissant ... )


C'est tout de même un excellent cru.

Un bon épisode, qui fait entrer dans le monde de Data et de Lore, et qui entraîne des questionnements comme l'as dit Archy, sur l'intelligence artificielle, mais cet épisode aurait pu être encore plus approfondi.
Je met un 9

Il faut surtout voir en Lore un tribut à Hal 9000 de 2001. Très bon épisode en effet. Data est un personnage robotique, comme on n'en verra plus de sitôt. Par chance, Gene Roddenberry n'avait pas encore vu Blade Runner même durant la création de TNG. Data aurait été bien différent, plus adulte. Il faut dire que le coup de l'interrupteur dans le dos de Data, est un peu puérile.. Mais c'est comme cela que je considére et adore Data, plus que Pinocchio ( la référence avouée ) , il est l'homme de fer blanc du Magicien d' Oz.. Celui qui cherche à avoir un coeur et qui ignore qu'il en a déjà un.

Dommage que Lore n'ait pas été repris sur Nemesis

Tout à fait d'accord avec vous tous

Cet épisode pose les bases aussi bien pour Lore que pour Data, malheureusement il reste sous exploité (comme dit Archy, Asimov est à peine mentionné, et la personnalité de Data reste secondaire)

Quand à Wesley, il a enfin un rôle plus adulte, et j'ai bien apprécié le fait qu'il ose dire clairement que s'il était adulte on l'aurait écouté. Après comme vous, je trouve la réaction des adultes (Picard, Bev...) un peu abusé, en même temps la situation était critique, pas le temps de discuter.
Ce que j'ai trouvé le plus lourd, c'est quand Riker accompagne Wesley et voit 'data' questionner 'lore'. Là il est vraiment crétin de laisser 'data' seul, qui a un comportement vraiment pas normal (en dirait qu'il maltraite son double)

Citation :

Mais c'est comme cela que je considère et adore Data, plus que Pinocchio ( la référence avouée ) , il est l'homme de fer blanc du Magicien d' Oz.. Celui qui cherche à avoir un coeur et qui ignore qu'il en a déjà un.

à 300 % d'accord avec toi Buck

Pour finir je dirais que tout comme lors de mon premier visio, je trouve l'entité cristaline superbe (l'un des plus beau, voir le plus beau ET de TNG), et que le retour de Lore me paraît impossible (et pourtant...).

Ma note est de 8, malgré l'importance dans la mythologie trek, l'épisode reste quand même trop faiblard.

ps : la musique par contre, typé 80-90 's... insupportable

Pour aller dans votre sens de réflexion sur l'épisode Datalore, voilà le lien direct vers le sujet Star Trek Nemesis
http://projetst.1fr1.net/les-films-f160/star-trek-nemesis-t777-120.htm?highlight=nemesis

Vous pouvez naviguer entre ces deux sujets (évidemment en privilégiant l'un ou l'autre suivant le point de départ de votre réflexion).

Je pense que ça va aider de faire le pont entre les deux.

Après une très longue pause, j'ai donc repris Star Trek TNG et là, franchement, j'ai eu un nouveau coup de coeur (après l'épisode "Haven") : DataLore.

Pas de grosses révélations concernant le Dr Noonien Soong, mais explorer davantage Data, accompagné un "frère" pas vraiment cool, j'ai trouvé ça génial.

Cerise sur le gâteau : "Shut up Wesley!"

Vraiment un super épisode, je ne m'en lasse pas !

Lore le coté dark, on a envie de dire tout le long de l’épisode "mais il est mauvvvaaiiiiss eeeeuuuu réagissez!!"  

Le genre de personnage qu'on aime  détester tout en l’appréciant...hum.... (les émotions humains c'est pas mon truc... )

Je n'aime pas les épisodes avec Lore. Ils ne m'ont jamais intéressé.

L'épisode commence avec Data qui s'entraîne à éternuer et ce petit con de Wesley Crusher qui vient le déranger dans sa découverte quotidienne de l'humanité. S'il aime avoir de la morve dans le nez ça ne regarde que lui.

Quand ils se téléportent sur la planète, on ressent que Nemesis s'est totalement inspiré de cet épisode. Hélas pour lui.

Même si je n'aime pas les épisodes avec Lore, je dois avouer que celui-ci est le meilleur. Il est particulièrement intéressant pour le récit précieux et définitif qu'il offre concernant les origines de Data. L'histoire cite même Isaac Asimov dans son dialogue expliquant le rêve de Soong de réaliser le "cerveau positronique". Lorsque l'équipage décide d'assembler et d'activer l'autre androïde, il découvre qu'il est en fait le "frère" de Data, Lore. C'est un individu intrigant - similaire à Data, mais différent à bien des égards - et la progression de l'intrigue révèle progressivement le penchant de Lore pour la vilenie et sa relation avec l'entité cristalline. Brent Spiner crée de façon mémorable deux individus distincts dans les limites de modèles androïdes similaires. La méchanceté de Lore est intrigante, tout comme la loyauté de Data envers Picard et Starfleet, tout aussi intrigante.

A noter cette citation magistrale de Data: "si vous aviez un interrupteur, Docteur, ne le garderiez-vous pas secret ?"

Le coup du tic de Lore est vraiment ce qui me dérange le plus chez lui. Il y a tellement de moyens de voir qu'il n'est pas Data. Ce truc du tic facial est vraiment idiot.

En fait, dès que l'entité cristalline arrive, l'épisode devient de suite moins intéressant. Ce qui fait le plus de mal à l'épisode, c'est que personne n'est assez intelligent pour réaliser l'évidence. Aucun membre de l'équipage, à l'exception de Boy Wesley (ceux qui ont vu la série Batman de 66 en vostfr comprendrons), ne se rend compte que Lore se fait passer pour Data - et lorsque Boy Wesley (qui est toujours plus observateur que les adultes stupides) attire leur attention sur ce fait, nous obtenons des répliques aussi cultes qu'inutiles comme "Tais-toi, Wesley", qui mènent à des répliques encore plus inutiles de rébellion d'adolescent en devenir lorsque Wesley se plaint que les officiers ne l'écoutent pas.

On verse alors dans le ridicule dans la salle de chargement. Entre Lore qui fait une stupide prise d'otage et Data qui joue les négociateurs.

Au final, que faut-il retenir de cet épisode ? Un épisode relativement bon, mais gâcher par la stupidité de nos personnages favoris. Je lui offre un jolie 7/10.

J'ai noté 7.

Dans l'ensemble, j'ai bien aimé, surtout pour la performance d'acteur de Brent Spiner. Après, il y a des choses pas claires : pourquoi Lore a-t-il été le seul à être capable de communiquer avec l'entité cristalline ? Pourquoi est-ce que Crusher junior se fait envoyer chier comme une merde par Picard puis sa mère ? Déjà qu'on l'a affublé du pire des pulls moches, là c'est la double et triple peine. Après tout, il est enseigne stagiaire, il devrait avoir un uniforme. Qu'on me rassure : son uniforme officiel n'est quand même pas le pull moche ?

La violence verbale de Picard envers Weasley au début de la série m'avait vraiment heurtée. Heureusement que ça ne perdure pas.

C'est le tout premier épisode de TNG que j'ai vu, mais je n'arrive plus à me souvenir où et quand.
Sans doute dans les années 90, chez ma soeur, à une époque où je n'avais pas la télé.

J'ai donc découvert par ce biais la nouvelle mouture de Star Trek, la nouveauté introduite par l'androïde, le nouvel équipage.

C'est donc la troisième fois que je vois cet épisode. La musique de fond est vraiment datée (et délicieusement atroce par moment) . On s'étonne de la naïveté de l'équipage qui fait d'emblée confiance à Lore.

Natasha Yar a toujours le même balai dans le fondement quand elle recommande de se méfier de ... Data.

Ce qui est assez perturbant c'est que la Dr Crusher intervient quand il s'agit d'examiner l'intérieur de Data alors que ça relève du domaine de l'ingénieur.

La violence verbale de Picard envers Wesley est toujours aussi choquante. Même à l'époque, on ne causait pas comme ça aux ados.

Aux origines de Data, 1ère source d'intérêt.

Un autre Data : Questions "Une copie ?" (Un jumeau) non, un modèle différent donc un frère ...
Mais on est dans le monde des androïdes ... pas le temps
pour les familiarités ou les retrouvailles ...

Question subsidiaire : Qui a compris le coup de Lore ?
Wesley Crusher !!


J'ai mis 7 à cet épisode.

Lourima a écrit:

Natasha Yar a toujours le même balai dans le fondement quand elle recommande de se méfier de ... Data.

Tellement vrai  

Lourima a écrit:

La violence verbale de Picard envers Wesley est toujours aussi choquante. Même à l'époque, on ne causait pas comme ça aux ados.

La vérité, c'est que Picard et l'Enterprise ont besoin d'un gars comme Wesley.
Wesley Crusher n'est pas n'importe quel ado, c'est un brillant technicien (même ingénieur).
Il n'a juste pas le grade.
Combien de fois l'Enterprise s'est sorti d'affaire grâce à lui.
Cet épisode en est un nouvel exemple.

Donc le ton de Picard est inapproprié parce que Wesley détient la solution
et lui non.

C'est comme dans la réalité, il faut des études et des diplômes
(parfois même ça ne suffit pas, il faut de l'expérience professionnelle aussi)
pour prouver qu'on est quelqu'un.