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En découvrant une planète, l'Entrepris est brutalement "éjecté" à des années lumières, laissant Kirk, McCoy et Sulu sur place.Une étrange femme provoque une hécatombe de ces braves et dévoués "redshirts", rien qu'en les effleurant.Douée d'ubiquité, elle sabote en même temps l'entreprise et menace les trois rescapés. Bon ça ne casse pas des briques, et la fin est franchement "plop" ! pas inoubliable pour moi, même s'il y a du suspense et que les explications du phénomène ne sont pas si mal

Ah les redshirsts !
A chaque fois que je les vois je me demande quand est ce qu' ils vont mourrir !
lol !
Les pauvres !
A croire qu' ils ne servent qu' a ca dans la serie !

Mais en fait oui, je crois qu'il ne servaient qu'a ça lolll histoire de rendre le facteur rsique plus réel pour le téléspectateur

Les redshirt représentent la sécurité ( les soldats ) et les ingénieurs , des postes à haut risques stastiquement.
On ne risque pas grand choses à ramasser des fleurs, les analyser tranquille dans son labo ( les blues shirts
) ..Les gold uniforms C'est le commandement, c'est à dire envoyer les rouges en première lignes...

J'adore ce gimmick sans lequel TOS ne serait pas TOS, il est irrésistiblement ironique tout autant qu'il est pertinent dans le fond.. Ce sont plus souvent les soldats et les ingénieurs qui payent le prix fort en vie pour faire avancer l'humanité contre elle même.

Soit dit en passant c' est le premier episode ou un blushirt meurt il me semble non ?

lol effectivement, après avoir découvert quelques épisodes de TOS, je n'ai plus arrêté de me faire cette réflexion quand kirk sélectionnai un membre de l'équipage inhabituel pour les accompagner lors d'une exploration de nouvelle planète : "Tiens, voila un(e) qui va mourir !" et je ne trompai jamais lol
Pour en revenir à l'épisode, malgré le suspens qui dur tout le long je ne l'ai pas trouver exceptionnel non plus.

C'est un épisode sans grand intérêt, mis à part celui d'être divertissant. La fin est néanmoins tragique et on ne peut qu'avoir de la peine pour ce peuple et la belle survivante.

Ce qui est fait un épisode bonvais.

Je lui donne la note de sympathie : 5/10

Alors, un pré-générique alléchant, comme d'hab, mais peut-être moins que d'autres. J'en déduis déjà que la "planète" est artificielle et se déplace, d'où la disparition de l'Enterprise. Et la mystérieuse inconnue savait que la "planète" allait se déplacer, aussi a-t-elle voulu empêcher l'équipage de se téléporter. Mais trop tard. Et puis comment elle savait qu'ils allaient se téléporter ?

Perdu ! La planète n'a pas bougé, c'est donc l'Enterprise qui a été éjecté. Et l'inconnue a tué le technicien de téléportation (en même temps, quelle idée de s'habiller en rouge) rien qu'en le touchant, alors qu'elle ne semblait pas menaçante. Accident ?

Et pendant ce temps, pas d'eau ni de bouffe sur la planète pour Kirk & compagnie. C'est ballot. Et Damato rencontre à son tour l'inconnue. Et toutes les cellules de son corps explosent. L'accident précédent n'en était peut-être pas un, finalement. Ou alors la nana est vraiment maladroite.

Et hop, la voilà sur l'Enterprise, à interroger un mécano (qu'elle tue : là, OK, pour l'accident, on repassera) sur le côté technique de l'Enterprise... qu'elle semble déjà maîtriser mieux que lui. Elle est télépathe ?

Et hop, la revoilà sur la planète, où elle s'en prend à Sulu, qu'elle frôle, mais il survit. Par contre, elle touche Kirk... à qui ça ne fait rien. What the fuck ? 25 mn d'épisode, et tout cela est très agréable pour l'instant.

Côté Enterprise, ça ne va pas mieux, avec une soupape qui a sauté et qui fait accélérer le vaisseau... durant 1/4 d'heure, puis il explosera. Radical. Un sabotage sophistiqué. Le rythme de cet épisode est vraiment bon !

Ah, il s'avère que l'inconnue est en quelque sorte "programmée" pour s'attaquer à quelqu'un de précis à chaque fois. Donc pour les autres, c'est inoffensif. Heureusement qu'il y a cette limitation. Reste à savoir pourquoi ? En plus, le tricordeur dit qu'il n'y a rien. Et ses explications n'expliquent rien, comme si elle-même ce comprenait rien à ce qui se passe. Au moins, on est tenu en haleine jusqu'au bout !

Un très bon épisode, dont l'épilogue ne déçoit pas. Il y a décidément eu bien des voyageurs dans l'espace, et chacun a eu un destin différent de l'autre. J'aime beaucoup ce côté inhérent à TOS : on explore la galaxie à un moment M, comme d'autres avant nous et d'autres après. On a vraiment le sentiment d'être plongé dans un univers vivant, qui ne commence pas à partir du moment où les héros apparaissent. Niveau continuité d'univers, c'est vraiment sympa.

Bon, sinon, les seules phrases de fin à la fin de l'épisode sont juste pour souligner que la nana était un canon, et que c'est dommage qu'elle soit morte. Euh... Nan mais c'est bon, vous pouviez éviter ça, les scénaristes !

Spock a joué au commandant, comme dans l'épisode précédent sur Gideon. Et bien je le trouve vraiment très bon dans le rôle, rien à voir avec ses maladresses de première saison. Le perso a mûri, il est compétent, écouté et respecté à bord.

Pour moi, ça vaut bien un 10 !

C'était un bon épisode car, même si je l'ai vu il y a quelques mois, je ne me souvenais plus du noeud de l'histoire. Et c'est ça qui fait tout l'intérêt : ne découvrir qu'à la fin de quoi il en retourne.

Par quoi commencer ?
Une bonne surprise de voir un Afro-américain remplacer McCoy pendant son absence. De même de voir une femme pilote avec un look qui rappelle celui des Indiennes (de l'Inde, avec le point rouge sur le front)
Scotty appelera feu-Wattkins son assistant. Non, ce n'est pas un mécano mais un ingénieur. Encore un rôle valorisant pour une personne de couleur.

Spock ... fait son vulcain a la trente-sixième puissance. On l'a déjà vu plus humain dans d'autres épisodes. Là, on a appuyer sur l'ascendance paternelle : décomptage de seconde, dénégation des sensations de Scotty, aucun second degré ... pourtant il s'est déjà montré capable de comprendre les allusions et les jeux de mots.

Reste le trio capitaine-doc-pilote sur la planète avec la projection (hologramme avant l'heure) de Mme Machine à tuer.

Puisque Takei et Shatner jouaient étaient embarqués dans la même trame, je me suis appliquée à voir si les reproches de Takei envers Shatner étaient fondés.
Ce n'est pas le cas ici : la caméra se fixe bien sur Takei quand Takei parle et non sur Shatner.

L'ensemble est plutôt bien construit et le souci de représenter la diversité très présent.

Une Sirène de l'Espace

Spock toujours aussi perspicace.
Kirk aussi.

Finalement, c'est le principe de la Terraformation qui
est évoqué ici. Pour l'époque, c'est "édifiant".

J'ai mis 7 à cet épisode.

J'ai trouvé Spock particulièrement cassant et froid dans cet épisode.

Sinon j'aime assez l'intrigue d'un système de défense automatisé qui est en roue libre depuis la disparition de la commandante de la mission.
Le fait que l'entreprise ait été éjecté à 900AL (rien que ça) est exagéré, mais bon, il faut bien une intrigue secondaire avec le bricolage héroïque de Scott en point d'orgue.

6/10