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| Les aventures de l'USS Hammer (récit en cours) | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Les aventures de l'USS Hammer (récit en cours) Sam 05 Avr 2008, 20:53 | |
| Voilà donc les aventures du prototype de classe Hammer. tatatataaaaa PS: Si vous voulez posté un commentaire, faite le sur la page intitulée: En route vers l'inconnu. 1er tome
Mutation
Chapitre 1 Crash 2226 Dernier message du capitaine Sukady Yomatao. Capitaine de L’USS Hiroshima « J’ai ordonné l’évacuation complète du vaisseau. Le mystérieux phénomène qui nous entraîne à gagner. Plusieurs conduits ont sauté et une majorité de l’équipage est mort dans le déshonneur d’avoir échoué. La section scientifique est inaccessible. Nous ne pourrons pas sauver notre cargaison. Je meurs dans le déshonneur. Mais mon équipage est sauf. Sayonnara… Clic clac… PAN !!!................... »
Dernière édition par James T.Punch le Mar 26 Aoû 2008, 15:53, édité 1 fois |
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| Sujet: Chapitre deux Sam 05 Avr 2008, 20:53 | |
| Chapitre 2 En route vers l’inconnu Journal de bord du capitaine. Date stellaire 70973.02 (14 mai 2393 8h15) « Plus que quelques heures avant l’arrivée à Deep Space 3 de l’USS Hammer. Je suis impatient de pouvoir enfin prendre mes fonctions à son bord. C’est pour moi une grande joie d’avoir étés choisis pour prendre le commandement de ce prototype. J’espère être à la hauteur des attentes de starfleet. Fin du journal de bord. »
Dana la petite chambre qu’on lui avait prêtée sur DS3, Sébastien Brügger était à la fois pensif et tendu. Enfin, on allait lui confier une mission qui allait changé le cours de sa carrière. Il alla au bar et se commanda une guiness. Il alla ensuite s’asseoir sur un fauteuil et se remémora la création de son prochain vaisseau. Mais avant, il faudrait que je vous décrive notre héros. D’une taille très moyenne, 1m74, Sébastien avait les cheveux châtain et long qu’ils attachaient en une queue-de-cheval simple. Des yeux à la fois rêveurs et vifs qu’ils avaient brun vert lui avaient valu quelques succès auprès de certaines filles de starfleet. Sa silhouette était à la fois élancée et musclée. Quant ont le regardait, ont avait l’impression de voir une asperge sportive. Et un détail, il avait une barbe à la Dartagnant qu’il entretenait avec soin. Sa carrière à starfleet n’avait quasiment rein d’extravagant. Pas comme celle du capitaine Picard ou de Kirk. Depuis tous petit, il nourrissait une passion pour les étoiles, a telle point qu’il ne comptait plus les torticolis attrapés en regardant les étoiles par les nuits froides. Plus tard, il réussit à entrer à starfleet avec un résultat très acceptable. Il commença sa carrière en prenant rapidement du grade. Sa manière de penser rapide et imaginative lui permit de se sortir des pas mal de situations difficile. Des combats héroïques ? Les seules qu’il avait à son actif étaient surtout des batailles de bar et principalement avec des klingons. Mais il avait toujours réussi à s’en sortir grâce à son don pour l’esquive et la course à pied. Et maintenant, il avait gradé au rang de capitaine et transférer sur DS3 en attendent que son vaisseau arrive. En parlant du vaisseau. L’USS Hammer NX-81563 était un projet particulier de starfleet. L’idée était de créer un engin à la fois pour l’exploration et pour le combat contre des forces supérieures. L’engin qui en avait résulté était très déstabilisant. Vu de dessus, il avait la forme générale de la classe normway, mais de côté, il était aussi dans les mêmes proportions que le defiant. Son avant en /\_/\ lui avait valu le surnom de vampire. Sa grande particularité était ses nacelles à géométrie variable. Non pas comme celle de la classe Intrepid. Le Hammer pouvait rentrer ses nacelles dans la coque et les cachés derrière un solide blindage. A son bord, il emportait un équipage de 30 officiers et 300 membres. Il fait 60 mètre de haut, soit 20 ponts, 620 mètre de long, et 275 mètre de large. Il peut atteindre la distorsion 9.8 pendant 36 heures. A son bord il y avait une navette d’entraînement, deux vaisseau de la classe Danube, deux navette delta, et trois navette de type 6, 7, 8, 9. Son armement était impressionnant, 18 bande de phaseurs pour une puissance de 25000 TeraWatts. 8 lance-torpilles à photons avec un stock de 92 torpilles. 2 lanceurs d’antimatières complétaient son armement. Il posséde deux bouclier, un de 850620 Terrajoules et un secondaire de 560800 Terrajoules. Une coque en Duranium/Tritanium de 1 mètre d’épaisseur le mettait à l’abri en cas de perte des boucliers. Sa propulsion est un modèle standard et robuste de starfleet et son système informatique était séparé en deux système fait pour fonctionner l’un sans l’autre. Les ingénieurs qui l’avaient conçu avaient aussi jugé utile de mettre deux salle des machines.
« Le capitaine Brügger est demandé au dock 2 » fit le combadge. Uh ? Ah oui, le Hammer… Pensa-t-il par dessus les résidus d’éthanol qui commençait à encrasser son cerveau. Il n’avait pas vus le temps passer, ni ses consommations d’ailleur, combien il y a de verre ? Merde, j’ai pas bu tous ça ?. Il paya ses consommations et tenta de tituber le moins possible vers le dock 2. Arriver au dock 2, il fut reçu par le pilote de la station. « Capitaine, le vaisseau est à vous. L’équipage vous attend» « Ouais, D’accord. » Il avait préparé un beau et long discours pour cette occasion, mais sa nervosité et l’alcool l’avaient complètement effacé de sa mémoire. Sébastien traversa donc les couloirs où quelques personnes s’activaient à réparer ou ajuster les derniers réglages avant le départ. Arriver à ce qu’il pensait être la porte de l’estrade, il entra… Pour se retrouver toute à l’arrière de l’équipage, qui l’attendait en regardant l’estrade. « Zut, demi-tour » pensa-t-il avant d’entendre son second l’appeler à travers la salle. « Merde ! » 330 paire d’yeux se tournèrent vers lui, et il leur répondit par un petit sourire qui se transforma en un rictus gêné. Sébastien traversa la salle et monta d’un bond sur l’estrade avant de remarquer l’escalier. « Re-merde » Il s’approcha du micro et essaya de broder un discours potable. Plus tard, sur la passerelle, il s’effondra sur son siège et se demanda ce que penserait son équipage. Difficile de faire plus désastreux. « Capitaine ? Capitaine ?, Quel cap devons-nous prendre ? » demanda le pilote. Sébastien l’observa. « C’est quoi votre nom ? » « Lieutenant Ferebra » Fit l’andorienne. Sébastien profita qu’elle se levât pour admirer sa silhouette. Voilà une fille magnifique. Il avait toujours eux un faible pour les andoriennes, leur silhouette était vraiment gracieuse. « Rasseyez-vous, faites les manœuvres de sortie et mettez le cap sur l’étoile Mu Aquitia » Brügger fit le tour de la passerelle avec les yeux. À côté de l’andorienne, le copilote se préparait, c’était un humain moyen, les cheveux roux et des yeux bruns. O’Killeny, voilà comment il s’appelait. Sur la console de tir, un bolien gardait un œil sur le radar. Sébastien cru se rappeler que son nom est Bot. A la console technique, un jeune homme vraisemblablement d’origine chinoise s’activait. Kyrio Sumato qu’il s’appelait. Lorsque le turbolift s’ouvrit une klingonne entra. Elle avait quelque chose de bizarre, mais quoi ? Elle est rousse. Et elle a des grands yeux verts. Et elle porte un uniforme de médecin. Ça, c’est vraiment bizarre. « Commander Zurtaï. Mon capitaine, bienvenu à bord » « Mais que suis-je venu faire ici ? » se demanda Sébastien. La pilote l’informa que le cap était mis. « Bien, alors en route » Fis le capitaine en pointant son index et son majeur vers les étoiles de l’écran. |
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| Sujet: Chapitre trois Sam 05 Avr 2008, 20:54 | |
| Chapitre 3 Mu Aquitia Journal de bord du capitaine Date stellaire 70984.23(18 mai 2393 10h30) « Ça fait quatre jours que je suis au commande du Hammer et déjà, j’ai l’impression de m’être engagé dans une drôle d’aventure. J’ai fait une entrée remarquée, le vaisseau tiens sans doute plus par miracle que grâce aux ingénieurs, qui font de leur mieux. Des problèmes apparaissent comme des champignons dans une cave humide, saleté de prototype. Franchement, à mon retour j’irais bien botté quelques culs pour avoir osé lancé cette croûte sans plus de vérifications. Et il y a quelque chose de bizarre ici, que la médecin chef soit rousse passe encore, mais que se soit une klingonne… »
Dans l’immensité de l’espace, à quelques années-lumière des frontières de la fédération des planètes unies, un curieux vaisseau naviguait plein gaz vers l’étoile Mu Aquitia. Au mess, un capitaine était bien pensif devant sa chope de chimay. « Du Du Dut. Le capitaine est demandé sur la passerelle » Sans même y penser, Sébastien pris sa chope et se dirigea vers le turbolift. « Passerelle » Pendant que les lumières défilaient, le capitaine continuait de broyer du noir, pendant quatre jour, il avait dû faire au moins six fois le tour du vaisseau, les pannes se suivaient les une après les autres, il n’avait presque pas dormi et était sur le point de passer pour un alcoolique incapable auprès de son équipage. Ce qui était déjà le cas. Les lumières et le ronronnement s’arrêtèrent. Puis les portes s’ouvrirent sur… Le grand hall. Encore une panne. « Ordinateur, j’ai dis passerelle, bridge, ou encore brücke si tu veux » Les portes se refermèrent et le turbolift repris sa course. Pour s’arrêter devant la passerelle. « Sumato, envoyer une équipe s’occuper des turbolifts » « Bien messieur » Sébastien s’assit, posa sa chope et demanda : « Pourquoi vous m’avez appelé n°1 ? » « Nous venons de capter un curieux message capitaine, il s’agit d’un signal de détresse. » « Oui ?, Et alors ? » « Eh bien monsieur, ce signal date d’il y a 150 ans et à cette époque, aucun vaisseaux terrien ne s’étaient approché de cette zone à moins de 120 année-lumières. » « Ah ouais, ça fait une trotte. Combien de temps avant d’arrivé ? » « Environ 1 heure capitaine. » Répondit le pilote.
1 heure plus tard, le hammer fendait l’espace en direction de Mu Aquitia. L’étoile Emplissait l’écran de la passerelle et les postes scientifiques du vaisseau ramassaient les informations à la pelle pour les analyser. « Etoile de classe G, assez proche du soleil. Les scanneurs détectent 6 planètes en orbite, une seul de classe M. Elle est un peu plus grande que la Terre, mais moins massive, 0.97G pour être précis. » Emilia Jones, l’officier scientifique en chef du Hammer, débita d’autres renseignements secondaires à l’adresse du capitaine puis se concentra sur ses instruments. « Bon, commander Ferebra, mettez le cap sur cette planète. Monsieur Sumato, c’est de quelle planète que venait votre signal ? » « De la planète où nous allons. » Sébastien réfléchis, il fallait montrer à l’équipage qu’il avait les capacités. « Lancer y une sonde et lorsqu’elle sera revenue, réunion en salle des officiers pour analyser les données. »
Une dizaine de minutes plus tard, tous les officiers étaient réunis dans la salle de briefing. Je remarque que je n'ai pas encore dis grands choses sur l'équipage côté officiers, je vais donc remédier à se détail. La salle de briefing était de forme de cercle, au milieu, une table en forme de fer à cheval se dressait. Entre les deux bouts de table, une petite estrade avec le siège pour le capitaine trônait. Assit sur son siège, Sébastien jeta un coup d'œil à la ronde et se remémora quelques informations sur les personnes présentent. Il y avait pour commencer son premier officier, Grégoire Dupont, 1 mètre 89 pour 93 kilo de muscle, il avait une voix très basse et un visage rond et bonne enfant avec des cheveux bruns coupé cour et des yeux marrons. Sans oubliez une carrure d'épaule qui l'obligeait à se mettre de travers lorsqu'il voulait passer une porte. Il avait un caractère jovial et un brin innocent qui rendait difficile le mensonge chez lui. A coté de lui se trouvait Telos Lapp, un bajoran responsable des analyses et communications. Il avait un visage fin et triangulaire, des cheveux mi-long brun très foncé et des yeux presque noirs. Il faisait 1 mètre 67 et son uniforme qu'il aimait portez serré moulait une musculature fine. Venait ensuite K'Lep, une vulcaine au corps harmonieux qui cachait une force peu commune. Elle avait un caractère qui faisait peu appelle à la logique pour une vulcaine. En plus de ses oreilles pointues, elle avait des cheveux d'un blond magnifique héritée de son arrière grand-mère qui était humaine et des yeux bleu avec un regard à congelé le feu. Enfin, Emilia Jones compléta l'assemblée. Officier scientifique, elle allait expliquer les données quelle avait réunie. D'origine indienne, elle avait une peau brun clair et des yeux légèrement bridé. Elle mesurait 1 mètre 61 et son poids ne vous regarde pas. Des cheveux d'un noir de jais lui descendait jusqu'au bas du dos et son regards noirs analysait froidement son monde. D'un pas énergique, elle se dirigea vers l'écran. « Voici Mu Aquitia IV, une planète de classe M, une pesanteur de 0.97G, elle est 1.5 fois plus grande que la Terre, cette différence de pesanteur s'explique par un noyau moins riche en métaux. Environ 45% de sa surface est émergé. Les terres sont séparées en quatre petit continent très éloignés, un seul nous intéresse, celui d'où provenait le signal de détresse. Il s'agit du continent nord. Il y a une civilisation de type humanoïde qui s'y est développée. Ils sont à peu près au stade de la renaissance terrienne d'après les observations au télescope. Le signal provient d’une chaîne de montagne vers la 47ème parallèle. Elle se situe dans une vallée encaissée, il y a une ville de petite taille qui s’y trouve. » Ayant terminé son monologue, Emilia retourna à son siège, Sébastien réfléchis un instant et se décida. «Bon, vus que les habitants de cette planète ressemble surtout au humain, l'équipe devra se composer de terrien. Ceux que j'appellerai devront allez à l'infirmerie pour se déguiser. N°1, vous venez, vous aussi Jones – Sébastien tapa sur son insigne- Von Brunnen, rendez vous à l’infirmerie. K'Lep, trouvez un humain dans la sécurité et faite en sorte qu'il s'y connaisse en histoire et en escrime, on ne sait jamais. Allons voir cette balise de détresse. » Sébastien se leva et laissa les autres officiers comme deux ronds de flancs qui s’attendaient à pouvoir donner leurs avis et leurs recommandations.
Une heure plus tard, le groupe se trouvait en salle de téléportation. Le capitaine Brügger portait une tunique verte sur une chemise blanche, des braies et des bottes de cuir brun. Par-dessus, une grande cape de fourrure à capuchon le protégeait du froid. Il avait estimer que portez une épée ne serait pas une faute de goût et il arborait fièrement un sabre d’archer terrien du 15ème siècle. Mais prudent, Sébastien avait mis sous sa cape un phaser et un tricorder. Son officier en second portait une tenue faite de fourrure et de cuir clouté, a sa ceinture, il s’était contenté de prendre un gourdin. Son phaser et son tricorder était caché dans ses bottes bien rembourrée de fourrure. Le jeune garde désigner par K’Lep était plutôt trapu et large d’épaule. Il avait des yeux vert et des cheveux noirs. Lui aussi était bien emmitoufler dans sa tenue de fourrure, mais pour l’instant, il cuisait à petit feu en attendant la téléportation. Jones arriva avec son attirail de scientifique, une longue discutions fut nécessaire pour qu’elle ne débarque pas avec l’attirail complait d’analyse et c’est en boudant qu’elle ne prit que son tricorder qu’elle cacha sous sa tunique de fourrure. Von Brunnen entra, il avait la carrure qu’ont attendait d’un ingénieur allemand. Un ventre que l’embonpoint commençait à déformer, des cheveux bouclé blond, des yeux bruns et une moustache façon brosse à cheveux. Il avait été vêtu de la tenue de cuir et de fourrure que presque tout le monde portait, excepté le capitaine qui aimait se distingué. Tous avaient été magnifiquement déguisé par le docteur Zurtaï. Ils avaient une ligne de petits piquants qui descendait depuis le haut du nez jusqu’au menton et deux lignes noir qui leur descendaient depuis sous les yeux jusqu’aux coins de la bouche. Une fois près, l’équipe monta sur le téléporteur et fièrement Sébastien se retourna, fixa le chef de la téléportation et son ordre lui resta en travers de la gorge. « Un ferengi ? » Fit-il en levant un sourcil. « Lieutenant Log à votre service capitaine » Répondit fièrement le ferengi en souriant. « Cinq à téléporter, énérgie… » Dans un son de petites clochettes, l’équipe disparut. |
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| Sujet: Chapitre quatre Dim 29 Juin 2008, 17:34 | |
| Chapitre 4 Le mystère du village mystérieux… L’équipe se rematérialisa dans une forêt d’arbre qui ressemblait étrangement à des pins. Tous le sol était couvert d'une neige immaculée. Pas très loin, une falaise les dominaient. Tout le paysage alentour était recouvert par une neige immaculée où quelques traces indéterminées apparaissaient. Comme par magie les tricorders apparurent dans les mains et tous se mirent à scanné la zone et à recueillir des informations. « Aucun agent pathogène dans l’atmosphère. Niveau de radiation quasi inexistant et pas d’activité énergétique autre que celle de la balise. » Commença le lieutenant commander Jones. Le capitaine prit donc une grande goulée d’air frais, qui se transforma en quinte de toux lorsqu’un malheureux insecte passa trop près de son nez. Pendant se temps, Von Brunnen tournait en rond avec son tricorder, finalement, il trouva se qu’il cherchait et l’engin lança quelques tilles joyeuses. « Le signal de détresse provient de cette direction, capitaine. » Le visage encore un peu cramoisi, Sébastien se tourna vers le groupe et donna l’ordre de partir. L’équipe passa quelque buisson et se mis à longer la falaise qui se rétrécissait pour formé l’entrée d’une vallée. Une fois arrivé sur un petit versant en hauteur, nos héros purent observer un magnifique spectacle. La vallée en question faisait bien 10 kilomètres de long, pour 1 kilomètre de large, les bord de la vallée montaient en pente douce avant de devenir de magnifiques falaises au tons rouge qui culminaient à plus de 500 mètres. Longeant la vallée, un fleuve bleu-vert coulait jusqu'à un lac lisse aux tons turquoise qui évoquait les îles du pacifique malgré la glace qui scintillait. Et dans le ciel, Mu Aquitia brillait de mille feu et éclairait tous d’une lueur blanche laiteux dû au faite que cette étoile était moins vielle que le soleil. Le capitaine remarqua un village plus bas, et lança : « Nous devrions aller voir au village s’il ni aurait pas des trucs intéressants a découvrir sur la population local ». L’enseigne de la sécurité ajouta. « Bien capitaine, mais je me permets d’ajouter que nous devrons impérativement rester groupé » « Mais oui, mais oui, ne vous inquiétez pas mon garçon » Jones regarda un moment le village et lança : « Nos combage devraient nous permettre de communiquez avec les indigènes, toutefois, il sera nécessaire de les faire parlez un peu avant pour que l’ordinateur puisse décoder leur langage. » Le groupe se mit en route au petit pas vers le village, le second eut beau faire remarquer que le premier contact est un pas difficile et qu’il serait plus sage d’étudier la planète depuis l’orbite, mais le capitaine se permit de l’envoyer balader. Le groupe mit environ une heure pour arriver au village, entre temps, ils passèrent d’abord par une forêt puis découvrir une route enneigée qu’ils longèrent jusqu’au village, la route était bordée de champs et de potager désert envahit par le gel. Seules quelques cultures survivaient sous es sortes de serres primitives. Jones passa un moment a fureter dedans en ramassant toute les plantes qu’elle trouvait en poussant de petites exclamations joyeuses et des remarques sur ce qu’elle découvrait. Une palissade en bois entourait le village, la porte était entrouverte et pas un seul bruit ne s’en échappait. « Je n’aime pas ça, c’est trop calme pour un village de campagne. » fit remarquer le second. « Allons, un peu d’entrain que diable, n’êtes vous pas joyeux a l’idée de découvrir une nouvelle civilisation ? Ces coutumes pittoresques, sa manière de penser, ses artisans, et tout ? ». Répondit le capitaine tous sourire. « Je trouve que le commander à raison, c’est sinistre, si on revenaient demain ? » Demanda le jeune enseigne de la sécurité. « Quant a moi, j’ai des échantillons à analyser » Fit Jones. « Et on est sensé rechercher la provenance du signal de détresse » remarqua Brunnen. « Non mais dit donc, c’est qui le capitaine à la fin ? Je décide qu’on explorer le village alors on l’explore. » Et d’un pas qui ce voulait digne, le capitaine passa la porte. Le groupe se regarda et se lancèrent quelques regards de fatalisme avant d’entrer à leur tour. Une rue large et pavée menait de la porte à la place du village. De chaque coté de la rue, d’étranges maisons la bordaient, elles étaient de forme cylindrique avec un toit en forme de demi-sphère. Un escalier en faisait le tour pour amener le visiteur jusqu'à la porte d’entrée au deuxième étage.l’ensemble de chaque maison était plus large que haut, ce qui leur donnait une apparence trapue. Sur la place, il n’y avait aucune activité. Quelques étals de marchandises renversés traînaient et sur une sorte de gibet, une corde se balançait. Des chariots abandonnés jonchaient les rues et les portes des maisons étaient grandes ouvertes. Une boule de paille traversa la place devant nos héros et une enseigne, probablement d’auberge, grinça sur ses chaînes avant de tomber. L’enseigne de la sécurité se tourna vers le capitaine. « Je crois que ce village est abandonné. » « Parfait, alors vous m’accompagner enseigne. Dupont, aller avec Jones et Brunnen et explorer le village, scanner tous ce que vous pouvez, et fouillez, je veux que vous réunissez le maximum de données et d’objets pour nos scientifiques. » Le capitaine et l’enseigne prirent une rue adjacente et la longèrent. Grâce aux tricorders, ils cartographièrent le village et scannèrent différents objets en vue d’une recréation holographique ultérieur. Ils étaient occupé a scanné se qui ressemblait à un vase, décoré avec une écriture bizarre et des scènes explicites que je m’abstiendrait de vous décrire, lorsqu’un cris retentit. Sébastien se leva d’un bond et se lança dans la direction d’où venait le cri, l’épée brandie. L’enseigne sur ses talons, et plus prévoyant, avait saisi son phaser. Ils tournèrent quelques ruelles et tombèrent sur une avenue plus large. Là, le lieutenant commander Jones était à terre, et au-dessus d’elle, se trouvait une créature humanoïde qui se retourna en entendant le capitaine débouler en hurlant. Techniquement c’était un humanoïde de Mu Aquitia III, c’est-à-dire qu’il avait la ligne de petits piquants, qui partait d’entre les eux yeux, pour descendre jusqu’au menton, et les deux ligne noirs qui descendaient depuis le dessous des yeux jusqu’aux coins de la bouche. Mais là s’arrêtait la ressemblance. Au lieu de la peau blanche, il avait la peau brun vert, un peu comme celle d’un cadavre. Sa rangée de cornes étaient si développée qu’elles ressemblaient à un lit de fakir. Et des canines monstrueuses sortaient de sa bouche. A ses mains et ses pieds, au lieu d’ongles d’une taille normale et honnête, il y avait des griffes à l’air aussi coupants que des rasoirs. La créature poussa un cri strident qui vrilla les tympans du capitaine et de l’enseigne, puis, sans prévenir, elle fit un bond surhumain avant d’atterrir sur le capitaine qui tomba à la renverse. Fort heureusement pour le capitaine, il leva d’instinct son épée, qui se ficha en travers de la cuisse de la créature. Elle sauta en arrière et mi-sautant, mi-marchant à quatre pattes, elle monta en hauteur et retira l’épée sans montrer le moindre signe de douleur ou d’inconfort. Pourtant la lame lui avait transpercé la cuisse de part en part. Elle voulu sauter sur l’enseigne, mais celui si fit feu avec son phaser et sous le choc, la bête le rata complètement et atterrit en souplesse sur le pavé. « Je vous avait dit pourtant de mettre votre phaser sur paralysie. » Fit le capitaine en se relevant et en dégainant son phaser. « Mais c’est ce que j’avais fait ! » « Phaser sur paralysie maximale ! » L’enseigne et le capitaine firent feu sur la créature qui bascula en arrière et se releva pour partir en vitesse. Elle tomba alors sur Dupont et Von Brunnen qui tirèrent tous les deux par réflexe. L’humanoïde fut pris de tremblement, mais resta bien conscient. Les quatre firent feu. La créature tomba inconsciente. Le groupe s’approcha de Jones, elle gisait sur le sol, inconsciente. Plusieurs bleus marbrait sa peau et une profonde trace de morsure se voyait sur son épaule droite. Sébastien frappa son combage dans sa cape et demanda. « Docteur Zurtaï, téléportez vous immédiatement vers nous, Jones est blessée ! » Le capitaine se tourna vers la créature et la regarda, elle était toujours inconsciente, mais au vus de ce qu’elle avait fait, il valait mieux prendre quelque précaution. Sébastien fouilla une maison et ressortit avec d’épaisses lanières de cuir avec lesquelles ils attachèrent l’humanoïde. Le docteur Zurtaï se matérialisa vers el groupe et s’avança prestement vers le lieutenant Jones. Elle sortit son tricorder et le balada un moment au-dessus du corps étendu, il émit très vite des bips-bips inquiétants. « Il faut la transporter d’urgence à l’infirmerie, et prenons aussi l’humanoïde. J’aurais besoin de lui pour analyse, je crois que sa morsure est empoisonnée. » Effectivement, la morsure sur l’épaule de Jones commençait a se boursoufler et ses veines saillaient et étaient toute noir. Le capitaine tapa sur son combadge et ordonna. « Brügger à Hammer, sept à téléporter d’urgence à l’infirmerie. Énergie ! » Dans un petit bruit de clochette le groupe disparut. Une fois à l’infirmerie, Jones fut mis sur une couchette et la créature étendue sur la couchette dans une zone protégée et maintenu sur le lit par un champ de force. Par précaution, un deuxième champ de force fut mis pour isoler la zone du reste de l’infirmerie. Zurtaï se retourna en faisant la moue. « C’est mauvais signe, ses signes vitaux se destablises, infirmière, passer moi 10cc d’inoprovaline et 30cc d’hyperzine. » Les injections ne semblèrent pas faire d’effet toutes ses veines saillaient à étaient noire, sa peau commençait à grisonner. Mais ses muscles étaient étrangement calmes. Soudain elle ouvrit les yeux. Le docteur s’avança vers elle et demanda. « Ça va lieutenant Jones ? » La suite se passa rapidement et laissa un grand choc a tous. Jones se retrouva debout sur la couchette sans avoir donné l’impression d’être passé par les positions intermédiaires. Elle se mit à cracher un peu comme un chat en colère et se jeta sur la klingonne, la renversant, et tenta de la mordre. Par réflexe, le docteur lui lança son poing dans le menton et déséquilibra Jones qui ne sembla pas souffrir du coup, elle partit mi-courant, mi-sautant, et défonça une cloison puis entra dans un tube de jeffreys. Les ennuis commençaient. |
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