Lourima a écrit:

Elle a pas évolué, la FUP ?

Si mais même s'il y a évolution, il restera toujours des ras-de-casquettes, plus cromagnon qu'autre chose.

Tu parles de TOS, le problème c'est que souvent les gens jugent avec les critères de leur époque et non celle où l'histoire a été écrite (ou tournée)

Comme le dit si-bien, le youtubeur canadien de 'l'histoire nous le dira', maintenant on reproche à l'esthétique TOS de donner une féminisatin à outrance des femmes, notament avec les mini-jupes mais à l'époque la mini-jupe était en soit un symbole de libération et surtout de revendiquation pour le gent féminine.

Et puis il y toujours dans un sens comme dans l'autre les justeauboutistes, je prend le mouvement MeToo par exemple, autant j'étais et suis toujours d'accord avec le principe du mouvement, le viol et les agression sexuelles sont des crimes impardonnables et malheureusement sous-traité, mais autant sur ça je ne suis d'abord, sur d'autre aspect...
Sous la pression du mouvement MeToo et d'autre similaire, la WB à désidé de retirer de son catalogue tous les dessins-animés où apparaissaient le personne de Pepe, caricature de français ayant la drague un peu lourde il est vrai, mais surtout l'enlever la poitrine (ou minimisez cele-ci) des personnages de ses dessins animés.

\\// Longue vie et toute ce genre de chose
Saga

PS : Cette histoire de WB et de poitrine me fait penser à une blague de Coluche, qui parlant de la censure à la TV (à l'époque ont ne parlait pas encore ce close culture) disait " Les pauvres jeunes filles, elles vont paniquer à leurs premières règles, chaque fois qu'on en parle à la TV le liquide est bleu."

Je n'aime pas non plus le prêt-à-penser, FB qui censure les oeuvres d'art et la pudibonderie étasunienne empreinte d'hypocrisie jusqu'au cou.
(Style on crie à la pédophilie quand un gars de 19 ans couche avec sa copine qui en a 17, mais on ne met pas d'âge minimal au mariage au niveau fédéral et dans certains états on voit des gamin.e.s de 12 ans se marier avec l'accord d'un juge et des parents )

TOS était marquée par son époque et on a vu la même vidéo (je l'ai même vue deux fois)
Mais là, tu es aux commandes, c'est toi qui écris, on a quitté ce monde de TOS, de Kirkamour, et il y a même eu d'excellentes fan-vidéos qui ont repris les mêmes personnages en enlevant cette couche de misogynie tout en gardant les mini-jupes.

Lourima a écrit:

tu es aux commandes, c'est toi qui écris,

Exact, mais si je suis l'auteur, et donc par conséquences si je gére chaque personnage, je me donne la license d'intégré dans les différents personnages des caractères différents, et dans mon histoire, le garde des cellules est un gros con, misogyne et sans doute un peu raciste aussi.

Souvient toi le garde des cellules de la base (j'ai oublié) où MacCoy est enfermé dans le film "A la recherche de Spock" qui regarde Sulu de haut, et qui pue le complexe de supériorité par tout les pores.

Où l'amiral Norah Satie dans l'époside TNG 421 : Audiences

De plus dans l'histoire l'atitude du garde n'est pas gratuite, c'est son comportement qui enerve Sarko et donc peu la rendre plus réceptive au pouvoir de persuation de U'Ural, c'est le principe du bon et du méchand flic, on peu même imaginer que c'est U'Ural lui même qui exaspère le côté négatif du garde et le pousse à être ce qu'il est avec Sarko, c'est une prossibilité, ce n'était pas mon idée, pour moi c'est un gros con, c'est tout.

Ce n'est pas le premier que je mets dans mes histoires dans "Navire en feu" il y en a aussi un beau, pas le même les époques ne correspondes pas.

De plus si chaque personnage devais avoir une caractère et/ou un comportement par rapport à moi, il n'y aurait pas de méchant, et les amours serait plutôt uniquements masculines. C'est peut-être pourquoi sans doute je me refuse à écrire du slash, à part dans "L'amour que l'on vous porte" sans conteste un slash mais léger dans l'approche, je ne suis pas Leila Kalomi.

\\// Longue vie et bon fini la pose, je reprend le turbin.
Saga

.      Enterprise, passerelle

.      - « Capitaine. »Dit Kapache dès qu'Hariman eut franchi les portes du tubo-lift. « Capitaine, j'en aie assez, l'équipage aussi, ils croient voir U'Ural partout et plus tous ses dysfonctionnements. L'isolement n'a rien donné, je propose de la débarquer. »
.      - « Nous sommes encore à 7 heures de la base 12, j'ai bien peur que nous devions le supporter jusque-là. »
.      - « Par nécessairement, nous pouvons l'installer dans une navette, programmer celle-ci pour un trajet vers la base, il mettra le double du temps qu'avec nous, mais nous en serons débarrassé pour un temps, et cela donnera du temps à la base 12 pour ce préparer à le recevoir. »
.      - « Vous êtes si pressé de le voir débarquer ? » Demande Harriman.
.      - « Pas vous ? » Répond Kapache.
.      - « Bien si vous croyez que c'est la meilleure solution, je donne mon accord. »
.      - « Merci Capitaine. »

.      - « Passerelle à engineering »
.      - « Engineering ? »
.      - « Programmer une navette longue distance pour un vol direct vers la base 12, qu'elle soit prête à partir dans 15 minutes. »
.      - « La base 12 ? » Demande l'ingénieur au bout du fil, surpris que l'on programme une navette pour se rendre au même endroit que le bâtiment.
.      - « La base 12, oui, exécution. »
.      - « À vos ordres, Monsieur. »

.      Une fois la communication coupée, le second se tourne vers le capitaine.
.      - « Vous lui dite, ou je le fais ? »
.      - « Non cela va, je m'en occupe » Répond Harriman, au grand soulagement du Premier officier.

.      Entreprise, quartier de détention.

.      - « Ordinateur, lumière. » Ordonne Harriman face à l'obscurité qui règne dans la cellule.
.      Immédiatement la cellule s'éclaire.
.      - « Capitaine U'Ural... » commence Harriman, avant de se rendre compte que la cellule est vide.

.      Pendant ce temps, au hangar aux navettes, alors que la chef ingénieure termine la programmation du vol, une violente décharge d'énergie fuse de la console centrale.
.      Face à la soudaineté de la décharge, la jeune femme ne peut que lancer un vibrant « Au feu » avant de s'écrouler sur le sol de la navette.
.      Heureusement malgré l'inaction des systèmes anti-incendie, alarme elle a retenti et moins de 30 secondes plus tard, les premiers secours arrivent. Une chance pour la chef qu'au vu de son importante, le hangar a une permanence anti-incendie.
.      - « Que c'est-il passé ? » Demande le chef de la sécurité un fois arrivé.
.      - « La chef était en train de travailler sur la navette, lorsque l'incendie s'est déclaré. » Répond l'un des hommes de permanence tout essayant de voir à travers l'épaisse fumée.
.      - « Elle est blessée ? »
.      - « Je l'ignore, Carl et Sirra sont à l'intérieur. »
.      Juste à ce moment Sirra, l'un des deux sauveteurs sort de la navette en soutenant la chef, visiblement sonnée.
.      - « Alors ? »
.      - « Elle a été sonnée par l'explosion, mais à part ça, je crois qu'elle n'a rien. L'incendie est sous contrôle. »
.      - « Amenez-là à l'infirmerie. » Ordonne le chef de la sécurité.
.      - « Mais non, je n'ai rien et le second veut... » Bafouille la chef ingénieur.
.      - « À l'infirmerie. C'est un ordre Chef. »
.      Sur l’entre-faits le capitaine et le second sont également arrivé sur place.
.      - « Comment est-ce arrivé ? » demande Harriman.
.      - « Nous ne savons pas encore, probablement une décharge d'énergie, je vous enverrais mon rapport une fois que j'en serais plus. » Répond le chef de la sécurité, vexé qu'une fois de plus on lui demande d’émettre des conclusions sur des événements qui viennent juste d'arriver.
.      - « Si je ne savais U'Ural en cellule, je pencherais pour lui en attribué la responsabilité » Dit Kapache.
.      - « Justement, il n'y est plus. » Répond Hariman.
.      - « Quoi. Comment est-ce possible ? »
.      - « Je l'ignore, mais le fait est là, lorsque je suis arrivé au quartier des détentions, sa cellule était vide et le garde n'a aucune explication. »
.      - « Il faut le retrouver coûte-que-coûte. » Dit Kapache avant d'interpeller le  chef de la sécurité à l'intérieur de la navette. « Chef, laissez deux hommes ici pour surveiller que le feu ne reprenne pas, et avec tous les hommes disponibles fouiller le bâtiment, il faut retrouver U'Ural à tout pris. »
.      Kapache n'a pas encore finit sa phrase que l'intercom siffle.
.      - « Capitaiiine, un dossiiier estampiiyé 'Riien que pour vos yeux' vient d'arriver pour vous depuis Starfleet Command, je l'aiii transférer dans vos quartiiiers. » Annonce M'Lor'Ine.

.      Enterprise, passerelle

.      - « Capitaine. »Dit Kapache dès qu'Hariman eut franchi les portes du tubo-lift. « Capitaine, j'en aie assez, l'équipage aussi, ils croient voir U'Ural partout et plus tous ses dysfonctionnements. L'isolement n'a rien donné, je propose de la débarquer. »
.      - « Nous sommes encore à 7 heures de la base 12, j'ai bien peur que nous devions le supporter jusque-là. »
.      - « Par nécessairement, nous pouvons l'installer dans une navette, programmer celle-ci pour un trajet vers la base, il mettra le double du temps qu'avec nous, mais nous en serons débarrassé pour un temps, et cela donnera du temps à la base 12 pour ce préparer à le recevoir. »
.      - « Vous êtes si pressé de le voir débarquer ? » Demande Harriman.
.      - « Pas vous ? » Répond Kapache.
.      - « Bien si vous croyez que c'est la meilleure solution, je donne mon accord. »
.      - « Merci Capitaine. »

.      - « Passerelle à engineering »
.      - « Engineering ? »
.      - « Programmer une navette longue distance pour un vol direct vers la base 12, qu'elle soit prête à partir dans 15 minutes. »
.      - « La base 12 ? » Demande l'ingénieur au bout du fil, surpris que l'on programme une navette pour se rendre au même endroit que le bâtiment.
.      - « La base 12, oui, exécution. »
.      - « À vos ordres, Monsieur. »

.      Une fois la communication coupée, le second se tourne vers le capitaine.
.      - « Vous lui dite, ou je le fais ? »
.      - « Non cela va, je m'en occupe » Répond Harriman, au grand soulagement du Premier officier.

.      Entreprise, quartier de détention.

.      - « Ordinateur, lumière. » Ordonne Harriman face à l'obscurité qui règne dans la cellule.
.      Immédiatement la cellule s'éclaire.
.      - « Capitaine U'Ural... » commence Harriman, avant de se rendre compte que la cellule est vide.

.      Pendant ce temps, au hangar aux navettes, alors que la chef ingénieure termine la programmation du vol, une violente décharge d'énergie fuse de la console centrale.
.      Face à la soudaineté de la décharge, la jeune femme ne peut que lancer un vibrant « Au feu » avant de s'écrouler sur le sol de la navette.
.      Heureusement malgré l'inaction des systèmes anti-incendie, alarme elle a retenti et moins de 30 secondes plus tard, les premiers secours arrivent. Une chance pour la chef qu'au vu de son importante, le hangar a une permanence anti-incendie.
.      - « Que c'est-il passé ? » Demande le chef de la sécurité un fois arrivé.
.      - « La chef était en train de travailler sur la navette, lorsque l'incendie s'est déclaré. » Répond l'un des hommes de permanence tout essayant de voir à travers l'épaisse fumée.
.      - « Elle est blessée ? »
.      - « Je l'ignore, Carl et Sirra sont à l'intérieur. »
.      Juste à ce moment Sirra, l'un des deux sauveteurs sort de la navette en soutenant la chef, visiblement sonnée.
.      - « Alors ? »
.      - « Elle a été sonnée par l'explosion, mais à part ça, je crois qu'elle n'a rien. L'incendie est sous contrôle. »
.      - « Amenez-là à l'infirmerie. » Ordonne le chef de la sécurité.
.      - « Mais non, je n'ai rien et le second veut... » Bafouille la chef ingénieur.
.      - « À l'infirmerie. C'est un ordre Chef. »
.      Sur l’entre-faits le capitaine et le second sont également arrivé sur place.
.      - « Comment est-ce arrivé ? » demande Harriman.
.      - « Nous ne savons pas encore, probablement une décharge d'énergie, je vous enverrais mon rapport une fois que j'en serais plus. » Répond le chef de la sécurité, vexé qu'une fois de plus on lui demande d’émettre des conclusions sur des événements qui viennent juste d'arriver.
.      - « Si je ne savais U'Ural en cellule, je pencherais pour lui en attribué la responsabilité » Dit Kapache.
.      - « Justement, il n'y est plus. » Répond Hariman.
.      - « Quoi. Comment est-ce possible ? »
.      - « Je l'ignore, mais le fait est là, lorsque je suis arrivé au quartier des détentions, sa cellule était vide et le garde n'a aucune explication. »
.      - « Il faut le retrouver coûte-que-coûte. » Dit Kapache avant d'interpeller le  chef de la sécurité à l'intérieur de la navette. « Chef, laissez deux hommes ici pour surveiller que le feu ne reprenne pas, et avec tous les hommes disponibles fouiller le bâtiment, il faut retrouver U'Ural à tout pris. »
Kapache n'a pas encore finit sa phrase que l'intercom siffle.
.      - « Capitaiiine, un dossiiier estampiiyé 'Riien que pour vos yeux' vient d'arriver pour vous depuis Starfleet Command, je l'aiii transférer dans vos quartiiiers. » Annonce M'Lor'Ine.

.      - « Ordinateur, ouvre le dernier dossier « Rien que pour vos yeux » qui m'est destiné, code Harrima 0 1 1 6 1 2 1 1 »
.      - « Dossier ouvert »
.      Le capitaine parcoure le dossier, enfin si l'on peut appeler dossier ce qui avait reçu au vu du peu de renseignements qu'il contient. Une vague photo d'U'Ural au temps où il était encore vivant et deux trois renseignements sans aucune utilité.
.      À ce moment comme cela commençait à devenir une habitude, la lumière baisse fortement et U'Ural apparaît dans le dos d'Harriman.
.      - « Capitaine, ainsi vous refusez de toujours de m'écouter »
.      - « Je vous ai écouté U'Ural. »
.      - « Et vous n'avez rien fait encore, vous ne prenez sans doute pas mes menaces au sérieux, l'incendie dans le hangar aux navettes qui à manquer coûter la vie à plusieurs de vos hommes devrait vous prouver que je suis très sérieux. Je veux que Tuvok soit tué. »
.      - « Sachez que rien ne pourra me forcer à tuer le lieutenant Tuvok »
.      - « Qu'est-ce donc que la mort d'un homme surtout lorsque l'on considère que c'est la vie de centaines d'autres êtres qui en dépendent ? » Demande U'Ural.
.      - « Le lieutenant Tuvok est plus qu'un officier. » Répond Harriman en tapant du plat de la main sur son bureau. « C'est un membre de mon équipage. »
.      - « C'est très dommage capitaine peut-être êtes-vous en train de commettre une injustice à son égard en somme. Je peux donner à son corps l'immortalité en échange de la possibilité de me réincarner. Je veux le corps de ce vulcain et je l'aurais. Laissez-moi vous rappeler que si vous accepter, seul le vulcain mourra mais si vous refusez, vous, l'Enterprise, son équipage tout entier sera détruit. Faite vite, le temps s'écoule capitaine. Nous approchons des coordonnées que je vous ai données. »
.      À ce moment, la porte des quartiers Harriman s'ouvre brutalement sur le second.
.      - « Capitaine nous avons...»
.      Surpris par la présence d'U'Ural, Kapache ne fini pas sa phrase, pendant quelques secondes le temps se fige, avant que le second reprenant ses esprits, tourne la tête vers la coursive.
.      - « Enseigne venez tout de suite. »
.      Une fois l'enseigne de la sécurité à l’intérieur, il ordonne.
.      - « Remettez le capitaine U'Ural en cellule, mettez-lui des entraves et postez deux gardes, deux gardes qui ne pourront pas le quitter des yeux ne serraient ce qu'une seconde. Et s'il essaye de s'échapper, autorisation de faire feu. »
.      Phaseur à la main, le garde de sécurité s'approche du romulien lui faisant signe avec son arme de se diriger vers la porte.
.      Une fois celui-ci sorti, Kapache attendit quelques secondes afin de laisser le capitaine s'expliquer sur la présence d'U'Ural dans ses quartiers, sans réponse, le second prit la direction de la porte lorsqu'il fut stopper par le capitaine.
.      - « Thomas, quant au juste franchirons-nous les limites du secteur ? »
.      - « D'ici plus ou moins trois heures.»
.      - « Rien d'autre Capitaine ? » Demande Kapache devant le mutisme d'Harriman.
.      - « Non... non... rien d'autre... »
.      Une fois le second sortit, Harriman visiblement affecté par les événements, sort d'un tiroir de son bureau son arme de service et se dirigeant vers le petit coffre-fort de ce bureau, l'ouvre et y enferme l'arme.

.      Pour la vingtième fois depuis le début de sa garde, l'enseigne Nivelles regarde le prisonnier entravé sur sa couchette, et comme s'il sentait le regard de l'officier de sécurité, U'Ural tourne la tête vers lui et sourit.
.      Sourire tellement anxiogène que l'officier ne peut s'empêcher malgré les ordres du Premier officier de tourner la tête.
.      Mal lui en prit car à ce moment sans que personne ne puisse jamais expliquer la chose le romulien disparaît purement et simplement de la cellule pour se retrouver devant la porte menant à la coursive.
.      Immédiatement, obéissant aux consignes reçues, Nivelle sort son arme de service et tire sur le prisonnier, d'abord en mode paralysant et devant l'inefficacité du tir en mode létal.
.      Sans plus d'effet d’ailleurs

.      Ce fut d'abord le signal de l'alerte jaune qui sortit Harriman de sa rêverie, ensuite la sonnerie du communicateur de son bureau.
.      - « Commandeur Kapache pour le capitaine ? »
.      - « Qu'est qu'il a Commandeur ? » Répond Harriman en tiquant sur le fait que son second a donné son grade afin de rendre la conversation plus officielle.
.      - « C'est U'Ural, il c'est échappé, encore une fois. »
.      - « Restez loin de cet homme-là. »
.      - « Pourquoi donc ? » Demande Kapache
.      - « Je vous demande de le faire, et ordonnez au Lt. Tuvok et faire de même , ayez confiance. »
.      - « Pourquoi essayez-vous de protéger cet homme ? »
.      - « Ce n'est pas lui que je protège, c'est l'équipage de l'Enterprise et surtout du Lt. Tuvok »
.      - « Capitaine, je trouve que cette comédie à assez duré » Conclut le second en coupant la communication avant qu'Harriman ne puisse répondre.
.      Surpris par ce comportement en dehors de tout protocole, Harriman se lève, se rend près du coffre-fort où est enfermé son arme de service, l'ouvre et la récupère avant de la remettre à l'intérieur et de verrouiller la porte.
.      Retournant à son bureau, le capitaine reprend le maigre rapport envoyé par Stafleet, en sors la photo représentant U'Ural et l'observe attentivement, cherchant pour une énième fois une solution à son problème.

.      Confiant en ses pouvoirs de dissimulation, U'Ural traverse le vaisseau, lorsqu'au détour d'une coursive...
.      - « Stop restez où vous êtes. » Ordonne l'homme d'équipage.
.      Un moment surpris U'Ural arrête, se tourne vers l'homme qui le menace de son arme puis lentement se retourne et va pour continuer sa route.
.      - « Halte ou je dire. » Hurle l'homme d'équipage, avant de mettre sa menace à exécution.
.      Frappé en plein dos par la décharge du phaseur et a contrario des autres fois où il a été touché par ces mêmes armes, U'Ural vacille et tombe au sol. Avant de disparaître purement et simplement.
.      - « Où est-il ? » de demande l'homme d'équipage en palpant le sol de sa main. « Où êtes-vous ? ... U'Ural où êtes-vous ? » hurle l'homme visiblement choqué par ce qui vient de se passer, avant de partir en courant tous en continuant à crier le nom du capitaine Romulien.
.      Lorsque les autres membres d'équipage chargés des recherches, attiré par les tirs, rejoignent le tireur pris de panique, ils trouvent celui-ci courant toujours sur le pont, et tirant à l’aveuglette.
.      - « Que ce passe-t-il ? »
.      - « Je vais vous trouvez U'Ural, vous trouver et vous tuer. »
.      - « Allons calmez-vous, il n'y a personne ici »
.      - « Laissez-moi, il est là tapi dans l'ombre, je dois le trouver et le tuer. Tu as entendu U'Ural... je vais te trouver... et te tuer... te tuer... te tuer... »
.      Attirer par le tumulte de plus en plus d'hommes d'équipage arrive, suivi par Kapace.
.      - « Que ce passe-t-il ? » Hurle le second afin de couvert les cris du forcené.
.      - « Te tuer U'Ural, te trouver et te tuer. » Répète encore plusieurs fois l'homme avant que ses collègues arrivent à le maîtriser.
.      - « Vous, vous et vous, conduisez-le à l'infirmerie » Ordonne Kapache, « Les autres, continuez les recherches. »
.      Presque simultanément dans une autre section du bâtiment, la scène se rejoue.
.      En effet apercevoir la silhouette du romulien, en train de franchir une porte, deux autres membres d'équipage ordonnent.
.      - « Capitaine U'Ural, restez où vous êtes, ou nous ouvrons le feu. »
.      Contrairement à la fois précédente, le romulien coopérer et laisse les deux hommes s'approcher.
.      Une fois à hauteur du romulien, l'un des deux hommes actives l'interphone mural.
.      - « Commandant, nous l'avons retrouvé, pont 13, intersection A14-A15, devant la porte de la réserve. »
.      - « J'arrive. » Réponds Kapache

.      Moins de deux minutes plus tard le second accompagné de deux autres gardes arrivent à l'intersection.
.      À ce moment, profitant de la seconde de distraction qu'a provoquée l'arrivée de Kapache, U'Ural pousse violemment les deux gardes, ouvre la porte et s'engouffre dans la réserve.
.      Immédiatement les hommes d'équipage présents tirent en direction de celle-ci, mais trop tard la porte c'est refermée.
.      - « À mon commandement ouvrez la porte, mais faite gaffe il est dangereux et nous prépare peut-être un sale coup. » Dit Kapache.
.      - « Ouvrez. » Ordonne ensuite le second après avoir du coup d'oeil vérifiez que ses hommes sont en place et fait signe aux autres qui maintenant accouraient de partout de rester sur place.
.      L'arme solidement ancrée dans sa main droite, le garde désigné ouvre violemment la porte de la main gauche.

.      Tous dans la coursive étaient sur leurs gardes, en effet la réserve n'ayant d'autres sorties, ils risquaient de se trouver face à un U'Ural désespéré, à moins qu'une fois encore celui -ci n'ait disparus.
.      Rien de tout cela cependant.
.      U'ural se tenait là devant eut immobile, le regard dans le vide pendant quelques secondes avant de s'écrouler comme une masse.
.      - « Mort. » Dit Kapache.
.      - « Éjectez-le dans l'espace. » Ordonne Harriman arrivé entre-temps.
.      L'enterprise n'étant pas en danger immédiat, danger venant de l’extérieur ou du cadavre et celui-ci étant extérieur à la Fédération, le protocole voulait que la dépouille après avoir été mis en stase soit remmené au plus proche poste Romulien.
.      - « Capitaine ? » Demande Kapache surprit par l'ordre.
.      - « Immédiatement, c'est un ordre. » Confirme Harriman.

.      Une fois l'inhumation dans l'espace, si l'on peut parler d'inhumation tellement la chose fut expédiée, Kapache prend le chemin de la passerelle alors qu'Harriman lui regagne sa cabine.
.      Il est perplexe, cela c'est terminé trop vite, trop facilement, et alors qu'il en est là de c'est pensée il remarque bien en vue sur son bureau, un mini-padd, celui que le Romulien avait dérobé à l'Enseigne Sarko et une arme de service, son arme de service, qu'il connaît bien alors qu'elle devrait être à l'intérieur du coffre-fort de ses quartiers.
.      - « U'Ural.... U'Ural est encore là, quelque part et c'est sa façon à lui de lui dire qu'il réclame encore la tête de Tuvok. »
.      - « Ordinateur, cap et position ? »
.      - « L'Enterprise se situe aux points 17.34.11.21.25 et suit le cap 281.150.042. »
.      À l'énoncé des coordonnées, Harriman saisit le padd et doit bien se rendre à l'évidence, il est proche, tout proche des coordonnées de l’ultimatum d'U'Ural.
.      - « Capitaine au lieutenant Tuvok, veuillez vous rendre sans délais dans mes quartiers. »

.      Moins de cinq minutes plus tard, le lieutenant Tuvok se présente à la porte de la cabine d'Harriman.
.      - « Entrez. » Ordonne le capitaine au son du buzeur.
.      - « Capitaine, vous avez demandé à le voir, » Demande Tuvok
.      - « En effet. » Répond Harriman, en levant son arme.
.      - « Capitaine... » Fait Tuvok interloqué par le comportement Harriman, avant de continuer après quelques secondes de réflexion. « Cela a-t-il un rapport avec la présence à bord ces dernières heures du Romulien appelé U'Ural.
.      Tout vulcain qu'il est, Tuvok n'en a pas moins un fort instinct de conservation, de plus plusieurs années a côtoyé d'autres races, y compris des humains, lui ont appris à déchiffrer le langage corporel de ceux-ci et visiblement le capitaine est au prise avec un violent dilemme.
.      Dans ce genre de situation il sait aussi que maintenir le contact est primordiale.
.      - « Capitaine, quelle que soit la suite des événements, je crois avoir le droit d'en savoir plus.
.      Pour toute réponse, Harriman relève son arme des quelques centimètres encore, avant de la lancer violemment en direction du vulcain, qui l’attrape au vol et dans un geste précis enclenche la sécurité alors qu'au même moment le capitaine s'affale sur son fauteuil l'air complètement épuisé.
.      - « Puis-je espérer une explication capitaine ? » Demande Tuvok
.      Après quelques secondes, le capitaine relève la tête prêt à parler mais n'en a pas le temps.
.      L'alerte rouge vient de s’enclencher.
.      - « Le capitaine est demandé d'urgence sur la passerelle. Je répète. Le capitaine est demandé d'urgence sur la passerelle. »

.      - « Rapport. » Ordonne Harriman dès son entrée sur la passerelle.
.      - « Signature inconnue sur les détecteurs de proximités. Droit devant. » Répond Kapache
.      - « M.  Goldstein ? »
.      - « Analyse en cours. » Répond la jeune femme, à la question rhétorique. « J'ai un résultat, d'après l'ordinateur, il s'agit de la signature d'un bouclier occulteur Romulien classe 6. »
.      Dans une situation de crise, si deux officiers supérieurs sont présents avec le moins gradé de quart, le plus gradé, dans notre cas, doit préciser s'il prend les commande ou s'il laisse l'officier de quart continuer la manoeuvre.
.      - « Monsieur ? » Demande Kapache devant l'inertie du capitaine.
.      Aucune réponse d'Harriman,... encore trois secondes et juste au moment où le second d'initiative va prendre le commandement, Harriman réagit enfin.
.      - « Restez à la manoeuvre second. »
.      - « Oui, capitaine... Navigateur, diagramme tactique sur écran. »
.      Aussitôt la vue extérieure de l'espace est remplacée par une succession de lignes horizontales, verticales et courbes. Et au milieu de celle-ci un point rond.
.      - « Ordinateur identification. »
.      - « Bâtiment romulien de classe Suette, identification probable ZUB444, en trajectoire d'interception. Important risque d'attaque. »
.      - « Tactique, préparez une solution de tir pour trois torpilles, et préparez-vous à faire feu à mon signal. »
.      - « Solution de tir pour trois torpilles, oui monsieur. » Répond l'officier Marruu en confirmation de l'ordre.
.      - « Lt. M'Lor'Ine ouvrez un canal. »
.      ...
.      - « Inutile Commandant il reste sourd à nos appels. »
.      - « Il fait feu. » Préviens l'officier tactique, « Contre-mesure enclenchées... Il repasse sous bouclier occulteur. Tir de riposte monsieur ? »
.      - « Ouvrez le feu. »
.      Immédiatement des tubes lances torpilles, trois traits de mort se dirigent vers le vaisseau Romilien, pendant ce temps les torpilles ennemies se sont dangereusement approchée mais sont heureusement déviées et détruites par les contres mesures envoyés par l'Enterprise.
.      - « Torpilles ennemies détruites. Les nôtres continuent... l'ennemi réapparaît... ils lancent ses propres contre-mesure... sans effet... il s’occulte de nouveau... impact. »
.      Normalement mais qui l'a-t-dit de normal dans cette histoire, une gerbe de plasma incandescent devrait illuminer l'espace, mais ici rien, touché de plein fouet par les torpilles de l'Enterprise, le ZUB 444 disparaît purement et simplement. »
.      - « Vue extérieure, recherche de débris et d'éventuelle trace de vie. » Ordonne Kapache.
.      - « Rien Monsieur » Répond Marruu après vérification de ses instruments.
.      - « Bien, alors que.. ; » Commence Kapache avant de s’arrêter surpris par l'image visible sur le grand écran.
.      Sur celui-ci le capitaine U'Ural se tient droit comme flottant dans l'espace.

.      - « Comment avez-vous pu détecter mon bâtiment et tel type d'arme avez-vous utilisé contre moi. » Demande U'Ural.
.      - « Les boucliers occulteurs ne sont plus un obstacle pour nos détecteurs. » Répond Harriman, ce qui n'est pas vraiment la vérité, contre un bouclier aussi ancien que le classe 6 c'est vrai, par contre avec nouveaux modèles... mais ça, U'Ural n'a pas besoin de le savoir. « Et des torpilles de classe Mark 6, contre lesquelles aucune contre-mesure n'est efficace. »
.      Face à eux U'Ural semble réfléchir longuement avant de reprendre la parole. « Messieurs désolés de vous avoir importuné. Je me rends compte enfin que j'allais commettre une grave erreur. Il m'a fallu jusqu'à maintenant pour accepter le fait que dès le début il y avait une faille dans mon plan. Oh.. je réussirais encore à perturber les fonctions de votre vaisseau pour l’amener à sa destruction, mais à quoi cela servirait-il ? Je dois reconnaître que trop de temps c'est passé, je n'ai plus les moyens de poursuivre ma mission. Ainsi messieurs, je prends congé et je retourne dans mes ténèbres. »
.      Sur ces derniers mots, U'Ural se retourne et se dirige vers le fond de l'espace, avant de disparaître complètement.
.      - « Marruu ? » Demande Kapache
.      - « Rien monsieur, aucune trace. » Répond l'officier.
.      - « Je ne crois pas qu'il revienne jamais, dans notre monde. Il n'y a pas de place pour lui, il a fini par s'en rendre compte. » Intervient Harriman.
.      - « Demora, cap sur la base la plus proche, distorsion 5. » Ordonne le second avant de demande à voix basse au capitaine. « Mais c'était quoi cette mission, de quoi parlait-il ? »
.      - « Je l'ignore mon ami, je l'ignore. »

Ouf enfin finie, en fin de compte je dois rester sur le récit court