Bon, faut donner à César ce qui reviens à César, c'est un bon film. LE rythme est bon, l'intrigue est bonne. C'est original parce qu'il y a plus d'un personnage principale. Jodie Foster dans le rôle de la méchante est délicieuse. Tout a fait crédible: elle a l'air totalement prête à tout pour préserver son mode de vie.

Où je tique c'est que : encore la pensée magique, on se fout dans la "me**, on met la planète en poubelle, par notre mode de vie de année actuelle, (c'est à dire maintenant) et faute d'avoir appris, ne serait-ce qu'a ramasser ses poubelles ( l'hygiène fait en sorte que les maladie de propage moins... Allloooooooo, il y a quelqu'un au bout de la ligne), on attends telle la becqué que tout nous tombe cuit dans le bec. et que les problèmes que l'on se créé se résolve. Le pire c'est que Elysium en dedans de 3 mois ressemblerais à la Terre. En tout cas peut-être que mon regard sur l'avenir est noir.

Pour conclure, reste que si vous avez une soirée au cinéma passer, Elysium reste un bon choix.

Bon Cinéma

Un scénario qui ressemble à "Nuage" TOS.

Un film que je n'ai pas encore vu, mais qui au vue du résumé, n'est absolument pas un film de science fiction mais bien une réalité déjà consommée.

Nous sommes en train de prendre des photos de tout ce qui se trouve en dehors de notre bocal, la Terre. Il est évident que les missions martiennes tombent dans la fosse médiatique avec quelques années lumières de retard.  

Mais le nuage (pyramide de nuages) existe déjà partout et pour tout le monde, pour peu que l'on se donne les moyens de le percevoir.

On imagine bien une vaste restructuration qui impactera toutes les perceptions et où la pauvreté ne sera plus perçue à travers l'humain mais à travers la géographie des ressources et des énergies.

Le petit jardin D'ADN sera probablement (de nouveau ?) recrée dans une confédération des paysans unis.  

Finalement c'est le réalisateur de District 9 ( excellentissime film ) qui a fait Elysium. À mon sens, District 9 a beaucoup plus de profondeur... Elysium marque le passage du réalisateur par le moule Hollywoodien. Espérons que Neill Blomkamp résistera le plus longtemps possible aux multiples passages à la machine à laver.