Des effets physiques sur l’environnement


Dans la plupart des maisons où la chercheuse s’est déplacée pour enquêter, elle a pu relever des manifestations physiques provoquées selon les témoins par des entités invisibles. Ainsi, dans cette demeure à l’ouest de Québec, « les miroirs se mettent subitement à trembler, les rideaux s’ouvrent et se ferment de manière anarchique, et les portes claquent sans raison ». Dans la plupart des maisons supposées hantées, les habitants ont également des problèmes avec les appareils électriques, le téléphone, la radio qui se met à fonctionner toute seule… Parfois c’est même la voiture qui subit d’étranges pannes en série, que les garagistes ont bien du mal à expliquer ! Bien d’autres événements curieux sont quotidiennement constatés : lumière qui s’allume et s’éteint sans intervention humaine, vitres qui se cassent sans raison, horloges qui s’arrêtent de fonctionner, ou qui sonnent à la mauvaise heure, etc… Dans quelques cas étudiés, les locataires de la maison sentent d’étranges odeurs, la plupart du temps désagréables. Les divers ‘symptômes’ décrits dans l’ouvrage se sont produits à plusieurs reprises, parfois en présence de la chercheuse, qui conclut que ces manifestations physiques « ne relèvent sûrement pas de l’imagination des habitants ».

Des apparitions à vous glacer le sang


Dans plusieurs habitations supposées hantées, les occupants ont connu la désagréable expérience de se retrouver nez à nez avec un spectre ; il est intéressant de noter que dans la majorité des cas, l’entité apparaît rarement en entier. Souvent, l’apparition n’a pas de bras ou pas de jambes, parfois seule la tête est visible. Curieusement, ce sont souvent des enfants qui sont les plus sensibles à ce genre de visions dérangeantes, comme ce jeune garçon de 10 ans qui raconte avoir vu « une dame marcher au plafond, et des boules de lumières qui tournent en forme d’ellipse »… Quant à Judith, une adolescente de 14 ans, elle voit de temps à autre « un enfant rose sur fond bleu sortir de sa garde-robe. Elle sent que l’entité – un petit garçon - veut être son ami ». Elle en fait d’ailleurs une description très précise : « l’enfant est blond avec la peau rose et porte un pantalon et un débardeur bleu. Son pantalon est en jean délavé. Il y a toujours du rose dans le décor ; des fois, l’enfant ne fait que passer devant moi, parfois il me parle mais je ne peux pas me souvenir de sa voix ni de ce qu’il m’a dit ». Une autre jeune femme d’une vingtaine d’années a aperçu dans sa maison « une forme blanche dans un cadre de porte de l’une des pièces. Cela lui faisait penser à un T-shirt flottant dans les airs comme si un être invisible le portait. Le fantôme devait mesurer environ 1,63 m ». Parfois, ce sont justes des voix désincarnés qui se font entendre : voix d’homme chantant dans la salle de bains, pleurs d’enfant dans diverses pièces de la maison, cris de femme venant de la cave…

Un baiser hors norme
C’est l’histoire un peu folle et surtout émouvante de M. et Mme Ray. Nous sommes en Angleterre, à Telford dans le comté de Shropshire. 10 jours après avoir mis au monde son premier fils, Mme Ray est frappée par une attaque cardiaque, la plongeant dans un profond coma qui durera deux ans. Aucun médecin ne s’est risqué à prédire son réveil, plus les mois passaient et plus le coma pouvait durer indéfiniment. Son époux a essayé un grand nombre de méthodes : lui faire écouter de la musique, les pleurs de son enfant, raconter de vieilles anecdotes, aucune n’a fonctionné. Un jour, résigné, M. Ray demanda à sa femme de lui donner un dernier baiser, imaginez sa surprise lorsqu’en touchant ses lèvres, Mme Ray lui rendit son baiser. Aujourd’hui, Mme Ray n’est pas encore rétablie, elle souffre d’une perte de la mémoire partielle et a du rejoindre une unité spécialisée.

B.K

la belle au bois dormant!!!!! j'ai l'oeil qui pleure

ESPRIT, ES-TU LA ?


1993. En Angleterre, dans un village nommé Scole, se déroule une séance de spiritisme. Un esprit se fait soudain entendre par la voix du médium : « Mon nom est Manu. L’équipe d’entités que je représente est composée de plusieurs milliers d’esprits depuis les autres royaumes de l’existence. Nous allons travailler avec votre groupe pour apporter une preuve très concrète de la réalité de ces autres royaumes. Notre plan est de développer de nouvelles méthodes de communication entre les dimensions, en utilisant l’énergie ». En signe de bonne volonté, l’esprit matérialise un cadeau sous les yeux des assistants : une pièce de monnaie ancienne. C’est ainsi que tout commença… Premières séances, premières entités Un an auparavant, un couple de médium arrangea une cave consacrée uniquement aux phénomènes paranormaux. Aucune lumière du jour ou de la lune ne devait y pénétrer. Ce local fut inauguré en présence de 20 personnes. Le médium Steward Alexander produisait des apparitions à partir d’une substance émanée de son corps et modelée par les esprits, l’ectoplasme. La première séance fut un succès, mais d’autres sessions se soldèrent par des échecs. Enfin, une matérialisation du père défunt d’un participant apparut, pleinement reconnaissable. Elle se laissa embrasser par son fils et prononça quelques mots. D’autres médiums se joignirent au groupe. Des bruits, des objets déplacés puis des messages par le canal des médiums annoncèrent de nouveaux développements de plus grande ampleur. Les entités désincarnées paraissaient principalement avoir vécu en Occident, et devinrent vite des présences amicales et familières avec lesquelles les assistants pouvaient… plaisanter ! La plupart se faisaient appeler par leur prénom et déclaraient avoir été des chercheurs en différents domaines. L’entité Manu semblait diriger les recherches et il déclara provenir du Pérou ; il se faisait aider d’enfants de l’ère victorienne lors de la matérialisation d’objets. Le groupe comptait aussi un ancien religieux irlandais nommé Patrick McHenna, un être jovial qui appréciait la bonne chère de son vivant, un énigmatique homme de science prénommé Joseph, un ancien guerrier Hindou ‘spécialisé’ dans les techniques de méditation et de guérison spirituelle, un homme d’affaires toujours traumatisé par sa mort durant la première guerre mondiale, un médecin prénommé Edwin, une porte-parole nommée Emily Bradshaw parlant avec l’accent bien éduqué d’Oxford… Les expérimentateurs ‘vivants’ soupçonnent que ces identités recouvrent des pseudonymes, car les indications données étaient souvent trop vagues pour donner lieu à des investigations.

La Science étudie de près le phénomène


Des scientifiques connus participèrent aux expériences et rédigèrent des comptes-rendus que l’on peut consulter. Outre des figures appartenant à des sociétés spirites, nous pouvons citer David Fontana en tant que psychologue spécialisé dans les états altérés de conscience, le chercheur Rupert Sheldrake, célèbre biologiste anglais étudiant les facultés extrasensorielles et métaphysiques, Ralph Noyes, ancien Sous-Secrétaire à la Défense dirigeant un département sur les OVNI… D’autres étaient des ingénieurs en électricité, des astrophysiciens, des mathématiciens, des médecins de différentes spécialités, et même des criminologues et des illusionnistes chargés de déjouer toute supercherie. Certaines de ces personnalités pouvaient être chercheurs indépendants, membres de la NASA, ou experts dans des établissements prestigieux de recherches. Ces scientifiques élaboraient le protocole des expériences et contrôlaient leur conformité. Afin de déterminer si une manifestation possédait bien les caractéristiques requises par la Science, les expériences étaient répétées dans les mêmes conditions avant d’être authentifiées et validées par une commission d’experts.

L'INSOLITE DU JOURVol à la KlingonCOLORADO SPRINGS,
Colorado (AP) -- La série culte "Star Trek" fait des dégâts collatéraux
chez les malfrats. Deux épiceries du Colorado (ouest des Etats-Unis) en
ont fait les frais après avoir été braquées par un homme qui a menacé
les employés avec un sabre semblable à celui que portent... les
guerriers Klingon.La police a annoncé mercredi que dans la
première épicerie, l'homme avait raflé un butin dont le montant n'a pas
encore été déterminé mais que 25 minutes plus tard, il avait dû
repartir bredouille du deuxième magasin.Ces deux hold-up n'ont fait aucune victime, a déclaré le lieutenant David Whitlock de la police du Colorado.Le
site Internet StarTrek.com précise le sabre Klingon est une arme à
pointe double en forme de croissant mesurant environ un mètre. La
police n'a donné aucun détail sur le matériel qui composait ce sabre.

ndr : les klingons sont parmi nous, ça y est, on est dans First Flight !!!!

merci archy pour cette nouvelle!!
mais ç'est pas moi ni mms

Des conséquences visibles à plus de 1500 km


Aussitôt, la région est la proie d’un monstrueux incendie et des débris incandescents montent à 20 km d’altitude. Des couchers de soleil de couleurs inhabituelles sont signalées ce jour-là dans de nombreux pays incluant l’Europe de l’Ouest, la Scandinavie et la Russie. On a estimé à posteriori que plusieurs milliers de tonnes de poussières furent ainsi soulevées dans l’atmosphère, créant un énorme nuage qui, quinze jours plus tard, viendra assombrir le ciel de la Californie… Récemment, un savant russe, Vladimir Shaidurov, de l’Académie des Sciences de Russie, n’hésitait même pas à imputer à l’événement le réchauffement climatique actuel : selon lui, « l’explosion causa une agitation considérable des hautes couches de l’atmosphère et changea sa structure ». Ainsi, la destruction des nuages de la haute atmosphère aurait correspondu au début du réchauffement. Sur le coup, le nuage en forme de champignon, reflétant les rayons du soleil, fit dire aux habitants des régions lointaines encore dans la nuit que le ciel s’était « embrasé ». La Gazette astronomique d’Anvers rapporta : « à ce moment, l’horizon, depuis le nord-ouest jusqu’au nord-est, semblait être en feu. La lumière était parfaitement fixe, sans jets ni pulsations ». À Londres, à Paris, « on put lire un texte imprimé ou consulter sa montre » en pleine nuit (rapport contemporain dans la revue « Nature » reproduit dans « The Times » de Londres). À Moscou, un photographe réalisa des clichés sans magnésium dans l’obscurité : ceux-ci, parfaitement clairs, constituent les seuls documents d’époque. On pensa, tout d’abord, qu’un volcan s’était réveillé quelque part sur la Terre. Car cela rappelait aussi les symptômes rapportés lors de l’éruption du Krakatoa en 1883. Quant à l’onde sonore, elle fut perçue à plus de 1500 kilomètres du lieu de la catastrophe. Au bord du lac Erz, à 230 km, ce fut « un grondement à la fois sourd et très violent » ; à Kansk, à 800 km, « comme un coup de canon ». Des baromètres sensibles en Angleterre détectèrent l’onde de choc atmosphérique. La secousse qui ébranla le sol fit deux fois le tour de la Terre si bien que cela conforta le pronostic qu’il s’agissait d’un phénomène sismique. Il y eut un raz-de-marée sur les nombreux lacs et rivières des environs. Y eut-il des victimes humaines ? Longtemps, la légende prétendit que non, accréditant un véritable miracle. Mais peu d’information filtrait depuis la Russie pré-soviétique à cette époque. On parle aujourd’hui de quelques tentes avec leurs occupants nomades Evenki « incinérés ». En vérité, il dut bien y en avoir des blessés et peut-être des morts… En effet, le souffle de l’explosion balaya toute la contrée et son haleine brûlante fut ressentie fort loin. À Vanovara, l’effet thermique fut ressenti à travers plusieurs épaisseurs de vêtements au point de les roussir et causer des brûlures sur la peau sous-jacente. À 40 km de l’impact, des hommes furent « projetés en l’air » et « transportés » sur plusieurs centaines de mètres. À 200 km, des chevaux attelés à une charrue « tombèrent à genoux ». Selon les experts, ce sont 10 à 20 mégatonnes (millions) de T.N.T. qu’il aurait fallu pour produire un tel effet, plus parlant encore, plusieurs centaines à un millier de bombes atomiques équivalentes à celles d’Hiroshima et Nagasaki… À 1000 km du point de l’épicentre de l’explosion, l’observatoire d’Irkoutsk enregistra un séisme de magnitude 4,5 à 5 et rapporta d’inhabituelles perturbations dans le champ magnétique terrestre et des tempêtes magnétiques analogues à celles produites lors des tests nucléaires dans l’atmosphère. La station sismique de Saint-Pétersbourg (Petrograd, à l’époque) enregistra aussi des secousses consécutives à l’explosion.

20 ans pour constater les dégâts


Une première expédition locale pénétra bien l’année du sinistre dans le périmètre touché, mais on n’en garde aucune trace, tout ayant été détruit au cours de la révolution russe. Les autorités semblèrent se satisfaire du fait que, fort heureusement, cela était survenu en un endroit « aussi isolé et déshérité » du territoire. On parla de la chute d’une météorite géante et on s’en accommoda… Ce n’est qu’en 1927, après 6 ans de préparation (!), que la première expédition d’étude fut organisée par Leonid Koulik, de l’institut météorologique de Russie et de l’Académie des Sciences Soviétiques. Il aurait été envoyé par Lénine lui-même sous le prétexte inavoué de recueillir les tonnes de fer et de métaux précieux de ladite météorite pour l’industrie soviétique plutôt que par curiosité scientifique. Or, arrivé sur les lieux, que constata-t-il ? Une vaste zone circulaire de 50 km de diamètre aplatie avec des millions d’arbres renversés au sol et carbonisés dans une disposition dite « radiale » à partir de l’épicentre qu’il put localiser ainsi à 65 km au nord de Vanavara. Là, les arbres restaient debout ébranchés « comme des poteaux télégraphiques » ! Comment une météorite a-t-elle pu produire un tel désastre ? Koulik fut désarçonné de ne pas découvrir de cratère à l’épicentre de l’explosion. Pas de point d’impact, donc rien à récupérer dans l’immédiat ! Peut-être la météorite s’était-elle enfoncée dans le sol marécageux mais la récupérer là n’était pas à l’ordre du jour ; des mesures magnétiques et des forages effectués au cours d’autres expéditions (1928 et 1939) échouèrent pour localiser quelque chose. Commence alors une longue controverse sur le scénario qui a pu causer la grande explosion de la Toungouska, controverse qui perdure encore en 2008. Était-ce bien un phénomène naturel ? Pas moins de 77 explications différentes en ont été données. Intéressons-nous aux principales

OVNI sur Brienne
Ce n’est pas un avion ou un bout de lune, Patrick habitant de Brienne en est persuadé. Alors qu’il rentrait de Troyes, son regard a été attiré par une vive lumière dans le ciel. « Il était aux environs de 20h45. J’arrivais aux abords du collège, quand j’ai vu cette tache. Elle se situait à l’ouest de Brienne-le-Château et paraissait statique, même si je pense qu’elle était très éloignée de la commune. Dans tous les cas, cette lueur émettait une lumière particulièrement intense ». Patrick ne croit pas aux rencontres du troisième type, il se saisit de son appareil photo et prend plusieurs clichés de la lumière afin de l’envoyer à la gendarmerie et aux services de météo France. Mais s’il ne sait pas ce que c’est, il sait ce que la lumière n’est pas « je connais le secteur, il n’existe pas d’antenne à cet endroit. Ce n’était pas la lune non plus : j’ai regardé, elle se trouvait dans mon dos. Quant à un avion, j’en ai déjà vu : ça bouge, ça clignote et … ça n’émet pas une telle couleur ».

Source : l’Est Eclair

Existence d’une 4ème dimension ?


L’un des précurseurs dans ce domaine est sans conteste le physicien allemand, J. C. F. Zöllner (1834-1882), de l’Université de Leipzig. Obnubilé par cette notion de passage à travers la matière, il inventa en 1878 une théorie à la mesure de l’enjeu, qu’il publia sous le titre de « La Physique transcendantale » ; il y est envisagé que l’opération de « pénétration solide/solide » puisse impliquer d’autres dimensions de l’espace que les 3 dimensions traditionnelles reconnues. Les faits qui l’avaient conduit à la certitude de l’existence de cette quatrième dimension, dont la réalité lui avait été « parfaitement prouvée excluant imposture, truquage et prestidigitation », provenaient de quelques médiums du temps ; comme l’Américain Henry Slade (1835-1905), qui, devant lui, avait réalisé en 1867 des nœuds dans une corde scellée à la cire aux deux bouts sur une planche, sans y toucher. Une variante concerna des lacets de cuir, qui furent de même fixés et cachetés. Zöllner les couvrit de ses mains. « Bientôt, il sentit un souffle froid et les lacets de cuir remuèrent sous ses doigts. Les mains de Slade n’avaient pas bougé et étaient restées à 20 ou 30 cm de la planche. Au bout de trois minutes, en retirant ses mains, Zöllner trouva les lacets entrés l’un dans l’autre en formant quatre nœuds ». Certes, le ‘truc’ pour défaire un faux nœud sur une corde est bien connu, mais il est difficile de faire l’inverse ! Surtout sans préparation…

Slade, un spirite doué…


Henry Slade, selon Zöllner, était capable de faire traverser une table par des pièces simplement posées dessus. Plus spectaculaire encore, il dématérialisa en plein jour un guéridon maintenu en l'air par psychokinésie, et celui-ci reparut au bout de 5 à 6 minutes, subitement à mi-hauteur, chutant bruyamment et se disloquant. Ces expériences convainquirent Zöllner que ces objets, dans leur phase invisible immatérielle, passaient par la quatrième dimension. Dans des essais de vérification, « Zöllner prit des coquilles d’escargot de grandeur différente et d’enroulement contraire, afin de voir si le passage dans la quatrième dimension changerait le sens d’enroulement. Mais une des coquilles traversa la table sans que rien ne se produisit ». Zöllner reçut le soutien de Sir William Crookes (1832-1919), qui expliqua le prodige en ces termes : « les atomes de la matière traversante doivent passer par les interstices qui séparent les atomes de la matière traversée » ! Lui-même et son épouse avaient été les témoins, en 1880 (avec le célèbre médium « victorien » D. D. Home (1833-1886)), du passage d’un bouquet de fleurs à travers une table, ce qui les avait beaucoup impressionné. Or si ces affirmations paraissent totalement incompatibles avec le sens commun et les données scientifiques en vigueur, on trouve régulièrement, même aujourd’hui, des rapports de phénomènes inexplicables qui tournent autour du même problème : faire traverser la matière solide par quelque chose de matériel.

Armageddon
Nous connaissons tous Apophis, l’astéroïde le plus célèbre qui aurait une chance sur quarante cinq mille de nous tomber dessus en 2036. Il semblerait que si nous évitions la catastrophe, un autre gros cailloux pourrait bien frapper la terre d’ici 100 ans. 1999 RQ36 découvert il y a plus de dix ans et que l’on croyait inoffensif serait le futur meurtrier. Une découverte faite par des chercheurs de l’Université de Pise en Italie où par de nouveaux calculs ont démontré qu’il existait un risque de 1/1400 pour les années 2169 à 2199. Si la menace est lointaine, l’action de l’homme pour faire dévier la trajectoire de l’astéroïde devra se réaliser plus tôt que prévu. Une fenêtre de tir serait envisageable entre 2060 et 2080.

B.K

Dame blanche ?
Un lecteur du Post.fr a mis en ligne une photo représentant peut-être une Dame Blanche. Le cliché a été pris en novembre dernier en Bretagne près de Roscoff. Il semble ne pas avoir été le seul à être victime d’une telle apparition puisqu’il déclare « notre hôtesse bretonne me dit comme si c'était tout à fait naturel: "Tiens tu as pris la Dame Blanche !" ».

Source : lePost.fr

La collision des deux satellites inquiète l’ESA


Survenu le 12 février, la collision entre le satellite russe hors service et un des satellites opérationnels de la constellation Iridium a montré l’urgence de nettoyer l’espace des débris importants. L’ESA souhaiterait, pour éviter toutes collisions, créer son système de surveillance de l’espace, puisque le système américain a clairement montré ses limites en étant incapable de calculer la trajectoire d’un gros débris en orbite. Sachez que près de 10 000 objets de plus de 10 cm polluent l’espace.

B.K
méme la tout est polluer............

La Nasa en 50 dates


La NASA est mondialement connue pour ses activités aérospatiales alors qu’elle œuvre dans plusieurs domaines comme l’astronomie, l’astrophysique, la chimie et les matériaux, l’ingénierie, la géophysique, la météorologie, la biologie, l’exobiologie, les mathématiques, l’informatique, les sciences sociales et même la régulation du trafic aérien. La célèbre agence, bien qu’elle appartienne au domaine civil, a participé à de nombreux projets militaires pour lesquels elle a collaboré avec l’U.S Air Force. 29 juillet 1958 : Naissance officielle de la NASA. 1er octobre 1958 : début des opérations. 28 mai 1959 : Les singes Able et Baker découvrent l’espace après la chienne russe Laika. 5 mai 1961 : Alan Shepard est le 1er cosmonaute américain envoyé dans l’espace. 20 février 1962 : 1er vol orbital américain autour de la Terre. 21 juillet 1969 : 1er alunissage. Neil Armstrong sur la Lune. 11-17 avril 1970 :? Un réservoir d’oxygène explose lors de la mission Apollo 13. La catastrophe est évitée de peu. 13 novembre 1971 :?Lancement de Mariner 9, 1er satellite artificiel de la planète Mars. 14 mai 1973 :?Lancement de la station Skylab 1. 1er équipage à bord du 25 mai au 2 juin 1973. 3 décembre 1973? : 1er survol de Jupiter par la sonde Pioneer 10. 15-24 juillet 1975 : 1er vol commun Apollo-Soyouz. 20 juillet 1976 :?Atterrissage de Viking 1 sur Mars. 1977 : Décollage des sondes Voyager 1 et 2. Elles sont envoyées aux confins du système solaire. 4 décembre 1978 : Pioneer-Vénus 1 se satellise autour de Vénus. 12 avril 1981?: 1er vol de la navette américaine Columbia. 18 juin 1983 : Sally.K.Ride devient la première américaine dans l’espace. 25 janvier 1984 :? Ronald Reagan annonce la construction de la 1ère station spatiale permanente. 6 avril 1984 :? Navette Challenger. Première réparation d’un satellite en orbite. 30 août 1984 :? 1er vol de la navette Discovery. 24 janvier 1986 :?La sonde Voyager 2 survole la planète Uranus. 28 janvier 1986 :? La navette Challenger explose juste après son décollage. 7 astronautes décèdent. 4 mai 1989 : ?Lancement de la sonde Magellan vers Vénus depuis une navette spatiale. 25 août 1989 :?La sonde Voyager 2 survole la planète Neptune. 18 octobre 1989 :?Lancement de la sonde Galileo vers Jupiter depuis une navette spatiale. 24 avril 1990 :?Lancement du télescope spatial Hubble. 3-11 février 1994 :?1er vol d’un cosmonaute russe à bord d’une navette spatiale américaine. 27 juin – 7 juillet 1995 :? 1er amarrage d’une navette spatiale à la station MIR. 7 août 1996 :?Découverte de traces de vie fossilisées dans la météorite d’origine martienne ALH84001. La NASA dément. 4 juillet 1997 :?Mars Pathfinder et Sojourner atterrissent sur Mars. 11 septembre 1997 :?Mars Global Surveyor détecte la présence d’un champ magnétique sur Mars. 15 octobre 1997 :?Lancement de Cassini à destination de Saturne. 6 janvier 1998 :?Lancement de Lunar Prospector en orbite polaire. 29 janvier 1998 :?Signature des accords de coopération internationale pour la future station spatiale. 20 novembre 1998 :?installation du 1er module de la station spatiale internationale. 22-27 juillet 1999 :? Lancement du télescope spatial en rayons X Chandra. 23 mars 2001 :?Rentrée de la station Mir dans l’atmosphère. 1er février 2002 : Mars Odyssey? entame son programme d’observation de la Planète rouge. 3 juillet 2002 : Échec du lancement de la sonde Contour vers les comètes Encke et Schwassmann-Wachmann.? 1er février 2003 :?La navette Columbia explose lors de son entrée dans l’atmosphère. 7 astronautes périssent. 1er janvier 2004 :? La sonde Cassini-Huygens se place en orbite autour de Saturne, 7 ans après son lancement. 2 janvier 2004 : Récupération de la sonde Stardust? et des échantillons de la comète Wild 2. 3 août 2004 : Lancement de Messenger vers Mercure. 3 juillet 2005 :?La sonde Deep Impact analyse le noyau de la comète Tempel 1. 14 janvier 2005 : ?La sonde européenne Huygens transmet les premières images de Titan. 12 août 2005 :?Lancement de Mars Orbiter. 15 janvier 2005 :?Retour de Stardust et récupération des échantillons de particules de vent solaire. 19 janvier 2006 : Lancement de New Horizons vers Pluton. 30 septembre 2008 : Des chutes de neige sont observées pour la première fois sur Mars. 2020 : Première expédition lunaire depuis 1972. 2037 : Peut-être le 1er homme sur Mars.

La NASA à la conquête de l’espace


L’histoire de l’Agence Spatiale Américaine est étroitement liée à celle de l’Union Soviétique, devenue Russie. Créée pour contrer l’avancée russe avec le lancement de Spoutnik, la NASA n’a jamais relâché sa vigilance vis-à-vis de son concurrent russe. Et la compétition n’a jamais cessé, malgré les vols communs et la collaboration sur la station spatiale internationale. Pour preuve, la NASA se voit octroyer un budget de 20,2 milliards de $ soit 2,6 milliards de plus que les prévisions. Pour quelles raisons ? Pour pouvoir négocier avec les Russes l’achat des vaisseaux Soyouz et des cargos de ravitaillement automatiques Progress pour assurer l’accès à l’ISS entre 2012 et 2016, période durant laquelle les Etats-Unis seront tributaires des Russes. Les Américains ne possèderont plus de vaisseaux à compter de 2010 et jusqu’en 2016, date d’exploitation des vaisseaux Constellation/Orion… S’il fallait résumer les 50 ans de conquêtes spatiales de la NASA, il faudrait rappeler cinq étapes marquantes dans la découverte de l’espace : * La conquête de la Lune répartie sur 6 missions Apollo (11, 12, 13, 14, 15, 16 et 17) avec 12 astronautes qui ont foulé son sol entre 1969 et 1972. * Les missions d’exploration vers les autres planètes du système solaire. Les premières images de Jupiter sont envoyées par Pioneer 10 en 1973, en 1978, Pioneer-Vénus 1 se satellise autour de Vénus, Voyager-2 survole Uranus en 1986 et Neptune en 1989, lancée en 1997 la sonde Cassini-Huygens se place en orbite autour de Saturne et Messenger est lancé vers Mercure en 2004, Huygens pénètre dans l’atmosphère de Titan en 2005… et la liste est longue. * La lutte pour rester à la pointe de la technologie avec des télescopes spatiaux à l’image d’Hubble, fruit d’un partenariat avec l’Agence Spatial Européenne, un télescope réflecteur à deux miroirs couplés à des spectromètres et à trois caméras (une à champ étroit, une à large champ et une infrarouge) qui a permis de nombreuses découvertes. Parmi les plus spectaculaires la collision de deux galaxies, la collision de la comète Shoemaker-Levy 9 avec Jupiter, l’observation de l’accélération de l’Univers ou encore le champ profond de Hubble contenant à lui seul plusieurs milliers de galaxies. Il faut également citer le télescope infrarouge Spitzer, lancé en 2003 capable de percer les nuages interstellaires pour découvrir de nouvelles étoiles et galaxies et observer des planètes externes et astéroïdes, et le télescope spatial Chandra lancé en 1999 chargé d’enregistrer les rayons X en provenance de l’Univers pour identifier les trous noirs et autres objets célestes. Il est composé de 8 miroirs à surfaces paraboliques et hyperboliques. * La conquête de Mars qui débute en 1969 avec le lancement de Mariner 6 et 7, suivi en 1976 par l’atterrissage de Viking 1, en 1997 par l’atterrissage de Mars Pathfinder et Sojourner pour une expédition d’exploration de la planète. Il faudra attendre 2004 pour une nouvelle expédition robotisée avec Rover Spirit et Rover Opportunity qui transmettront une masse de données importantes. En 2005, Mars Reconnaissance Orbiter transmet des images de la planète Rouge, Phoenix débute en 2008 son observation du climat martien et ses recherches de traces hydriques. Mars Science Laboratory est d’ores et déjà programmé en 2009 pour rechercher des traces de vie et faire une étude géologique approfondie du sol. Les données collectées sur Mars, deuxième planète la plus étudiée après la Terre, encouragent la NASA à programmer un vol habité vers la planète rouge pour 2037. * La mise en place de la Station Spatiale Internationale (ISS). La toute première station spatiale internationale a vu le jour sur le papier à l’initiative de Ronald Reagan en 1984. 14 ans plus tard, le module russe Zarya, premier élément de la Station Internationale, est lancé. Les Etats-Unis fournissent l’essentiel du matériel et collaborent avec la Russie, le Canada, le Japon, l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la France, l’Italie, la Norvège, les Pays-Bas, la Suède et la Suisse. L’ISS devrait être achevée d’ici à 2010. Il faudra 40 vols pour assembler la centaine d’éléments et constituer cette station de 1200m3, composée de six laboratoires et d’une centrifugeuse. Elle pourra héberger un maximum de 7 astronautes. Les enjeux scientifiques sont énormes : expérimentations biologiques et de physique fondamentale en micro apesanteur, observations et analyses de la Terre et de l’Univers.

QUESTION: et combien d'années de mensonges?????

Le premier téléphone écolo


Samsung est sans conteste l’une des vedettes du MWC, comprenez « Mobile World Congress ». Le géant Sud-Coréen a bluffé les adeptes de la téléphonie mobile en dévoilant le Blue Earth, un téléphone doté de capteurs lumineux capable de se recharger avec la lumière naturelle ou artificielle. Samsung va encore plus loin puisque cet objet écolo a été fabriqué à partir de plastique recyclé et garanti sans substances toxiques. D’après le constructeur, il faut compter une heure et demie de charge pour téléphoner une demi-heure, et plus de dix heures pour recharger complètement la batterie. Côté design, le Blue Earth reste dans le moule en adoptant une ligne simple et un écran tactile. Pour le moment Samsung n’a pu annoncer aucune date de sortie, ni de prix de vente.

B.K



bravo a samsung

Un OVNI géant survole la Sibérie orientale
Les habitants de Tchita (sud de la Sibérie orientale) ont eu la surprise de voir un objet volant non identifié d’une taille quasiment équivalente à celle d’un Boeing 747. Les témoins parlent d’un OVNI d’une couleur anthracite, n’émettant aucun son ni lumière, sa forme serait proche d’un triangle irrégulier aux bords arrondis. Une apparition qui a fait la Une des médias russes en début de semaine. L’enquête est toujours en cours pour les ufologues qui prévoient de réinterroger les témoins. D’après les informations des ufologues russes, une base secrète d’OVNI serait cachée quelque part dans les vastes espaces de la Sibérie.

B.K

ovni non !!!appareil ultra secret oui!

Une vie extraterrestre sur Terre
Pour Paul Davies, physicien et cosmologue de l’Arizona State University « la présence d’une vie extraterrestre sur Terre est une possibilité ». Ce scientifique tente depuis toujours de remettre en cause l’avis des astro-biologistes qui ont toujours considéré une autre forme de vie sur une autre planète. Pour Paul Davies l’apparition de la vie sur Terre se serait produite en plusieurs fois. « Si un organisme au fonctionnement biochimique complètement étranger du nôtre était découvert son statut de preuve d'une seconde genèse sur Terre serait à étudier », explique le physicien.

La genèse du Big Bang dans la Science


Peu connus, les 2 véritables pères du concept du Big Bang sont le physicien russe Alexander Friedmann (1888-1925), qui en 1924 évoque l’idée d’un grand boum à l’origine d’une fuite éperdue et omnidirectionnelle des divers corps célestes à partir d'un lieu initial, et l'abbé Georges Lemaître (1894-1966), qui en 1927 imagine l’explosion d’un atome primitif qu’on peut rapprocher de ‘l’œuf primitif’ de toutes les grandes traditions. Mais il faut attendre 1948 pour que le concept soit repris par 3 grands physiciens dans un numéro du… 1er avril de la très sérieuse revue ‘Physical Review’ ! Il s'agissait de rendre compte de travaux mathématiques sur le processus par lequel les différents éléments chimiques ont été créés au début de l’Univers. Or, les équations menaient à une gigantesque explosion qui évoquait la bombe H, alors à l'étude. La date de parution et la signature des auteurs en forme d'abécédaire: Alpher-Bethe-Gamow (alpha-beta-gamma) témoigne cependant du peu d'intérêt que les 3 compères portaient à leurs spéculations, qui n’eurent d’ailleurs pas grand retentissement jusqu’en 1950. À cette date, l'un des plus farouches opposants à cette idée d’explosion initiale, Fred Hoyle, utilisa le terme de ‘Big Bang’ pour la ridiculiser lors d'une émission télévisée. Ironie du sort, cette image caricaturale ( car le Big Bang n'est pas une explosion mais une expansion ), frappa si fort les imaginations qu’elle commença à faire son chemin dans l’esprit des cosmologistes et du grand public !

Création de l’Univers : d'où venons-nous?


Cette interrogation semblait vouée à hanter indéfiniment la pensée humaine jusqu'au jour où, en 1929, grâce au télescope Hooker du Mont Wilson, l'astrophysicien américain Edwin Hubble apporte un support expérimental à la théorie inflationniste de l'Univers ; il montre que toutes les galaxies du cosmos - y compris la Voie Lactée - s'éloignent les unes des autres à une vitesse proportionnelle à leurs distances respectives. Peut-on alors retracer l'évolution de l'Univers en remontant à la source et ainsi préciser notre origine ? En effet, en remontant au ‘commencement’, toutes les étoiles devaient être groupées ensemble en un conglomérat de plus en plus dense, devenu à l'extrême limite un point indéfini de l'espace-temps, un point qui contenait tout et n'occupait spatialement rien ! Cette vérité fantastique peut-elle nous délivrer de nos angoisses métaphysiques quant à notre provenance ? Selon la théorie du Big bang, nous venons de nulle part en même temps que de partout, et sommes nés de rien qui a donné Tout, au temps zéro puisque les dimensions temporelle et spatiale n'existaient pas avant le Big Bang…

L’Atlantide retrouvée grâce à Google Ocean
Cette image pourrait dévoiler la zone de la légendaire cité engloutie : l’Atlantide. Un rectangle de la taille du pays de Galles, dans l’océan Atlantique. Une image qui surprend par les lignes qui s’entrecroisent au point de nous indiquer ce qui semble être une carte d’une grande métropole. Une grille qui intrigue les océanographes et les géophysiciens ; elle est apparue sur Google Ocean, une extension de Google Earth qui combine les relevés marins aux images satellites. Pour le Dr Charles Orser, conservateur de l’Université d’archéologie historique de l’État de New-York, la découverte est fascinante. « Le site est l’un des lieux les plus importants proposés pour l’emplacement de l’Atlantide, tel que décrit par Platon. Même si il s’avère être géographique, ceci mérite un examen plus approfondi » a-t-il précisé. Google a déclaré que les lignes entrecroisées étaient des données de sonars, recueillies par des navires qui cartographiaient les fonds marins.

Par B.K

Ovni en Argentine
Le 24 janvier dernier, de nombreux automobilistes situés dans la zone de Cascallares, une région proche de Buenos Aires, ont subitement stoppé leurs trajets pour voir un OVNI en basse altitude. Armés de leurs téléphones portables, de nombreux témoins ont pris en photos l’étrange appareil. Cristian Soldano a fait encore mieux, disposant d’une caméra avec vision nocturne, il a tourné une vidéo disponible depuis peu sur Internet. On y voit l’objet lumineux perdre de l’altitude au point d’être presque au niveau du sol.

Par B.K

Un hôpital britannique hanté !



Un exorciste aurait été convoqué au Derby Royal Hospital après que des employés aient vu un fantôme près de la morgue. On ne parle pas ici de quelques témoins, mais d'un nombre très élevé de plaintes d'agents hospitalier apeurés. Un fantôme qui prendrait l'apparence d'un homme vêtu de noir, qui hanterait les salles et passerait à travers les murs. Un membre du personnel a déclaré: «Plusieurs personnes ont vu une figure masculine habillé en noir de la tête aux pieds errant entre les chambres et à travers les murs - en particulier dans les départements, près de la morgue."



B.K

Record d’observations d’OVNI au Canada
Un organisme bénévole basé à Winnipeg a comptabilisé le nombre d’observations rapportées d’OVNI en 2008 sur le sol Canadien. D’après leurs archives, les Canadiens auraient vu pas moins de 1004 OVNI en 2008, un record depuis la création de l’organisation en 1989. Pour ces ufologues cela ne prouve pas l’existence des extraterrestres (et de leur amour pour le Canada), mais qu’il existe suffisamment de rapports pour que la science soit plus préoccupée par le sujet. Pour les membres de l’organisation ce record existe pour plusieurs raisons. La première reste l’augmentation massive de déchets dans l’espace et une passion pour l’astronomie en hausse. D’après leurs archives, l’observation la plus étrange et intéressante a eu lieu en 2008 à Wadena, lorsque deux automobilistes ont du stopper leur voitures car un objet métallique gris volait au-dessus de la route devant eux.

B.K