-

Sans être mauvais, cet épisode ne m'a pas emballé plus que ça...

Le concept du vaisseau générationnel est intéressant en soit, mais l'histoire d'amour de Harry et la "rébellion" sont trop prévisibles...

J'ai noté 5.

Alors là cet épisode est une plaie !
Donc dans le code Starfleet , il y a un protocole pour avoir des relations sexuelles avec les space babe ( ou boys si on est de l'autre bord ).. Une régle que le Captain Kirk aura violé une bonne centaine de fois dans sa carrière.. Franchement , si il devait se présenter à Bones à chaque fois qu'il saute sur une gonzesse venue d'ailleurs

N'importe quoi.. et ça tombe encore sur le petit scarabée d' Harry Kim.. Il reste le puceau du navire, le petit dernier, l'enseigne fraîchement sorti de l' académie.. Voilà ce qui m'énerve au plus haut point dans Voyager : Les personnages sont juste des stéréotypes sur pattes qui n'évoluent pas.. Et puis toute cette morale bien réac' autour du sexe me débécque, elle finit par transformer Janeway en mère supérieure d'un couvent Jésuite venu de l'espace ... Beuurk

Je suis d'autant plus dégouté de cet épisode parce qu'il est écrit par Michael Taylor, auteur de chef d'oeuvre subversif pour DS9 comme Things Past.DS9.5 ou In The Pale Moonlight.DS9.6, ou encore ce diamant brut qu'est The Visitor.DS9.4 .. C'est aussi l'un des meilleurs auteurs de BSG2003 & de Caprica ... Comment a t'il put écrire un épisode aussi rétrograde, ça me dépasse.. Fallait peut être payer ses factures.

Pire épisode ! ..et Frak you Janeway ! : vive le sexe avec les spaces Babes dans Star Trek :

on va dire que le règlement aura changé entre les deux époques (vu la distance temporelle, environ 110 ans, c'est plausible ).

c'est juste que dans cet épisode, Janeway est pour le moins raide voire "coincée". du reste, c'est son caractère a priori, vu qu'elle sera ainsi durant toute la série... ici, elle est en forme !

Pauvre petit Harry, malade d'amour pour sa belle alien ! Enfreignant les protocoles avec le pote Tom qui essaie de le couvrir.
C'est amusant quelque part.
Ce qui l'est moins, c'est le goulag de l'espace. Coincés sur un vaisseau qui joue à la chenille en ajoutant des éléments, les Varo sont aussi enfermés dans leur tête que dans leur vaisseau.

C Moi où Star Trek Voyager nous fait une Leçon de Moeurs, digne du Moyen-Âge ?!
Et voilà qu'ils ont un Demandeur d'Asile...à qui ils font du chantage pour ne pas le dénoncer à ses Autorités... Ce n'est pas très humanitaire...
Je trouve que JaneWay devient de plus en plus Rock'n'Roll...dans ces petits airs...

Ces remarques en font un Épisode des plus Intéressants, dans la mesure où elles sont corrigés... Personne n'a raison de décider pour Autrui, même une Majorité !
De plus cet épisode évolue sur fond d'une vraie attirance amoureuse, et d'un Véritable Amour...dont Kim & Tale ne veulent pas guérir...et on les comprend...malgré et contre les réactions de Belle-mère de la Capitaine Carabosse...mais qui ne peut rattraper ce qui courre et courre...La Maladie d'Amour...


9/10

Scène initiale recherchée visuellement.
Paris casé, ce serait donc Kim qui joue les jolies cœurs (avec toujours autant de chance ). Mais je dois dire que cette fois il a très bon gout.
L'occasion d'en apprendre plus sur les protocoles d'accouplement inter-espèces , probablement appelée "jurisprudence Kirk".

Pour le reste, épisode qui traine en longueur sur l'amourette de Kim.

Au final, tout ceci n'est qu'un grand prétexte pour nous faire comprendre que Kim a évolué en cinq ans. Tout ça pour ça.

5/10

A côté des amourettes de Kim qui enfreint le sacro-saint règlement pour passer d'agréables moments dans les bras d'une lumineuse belle alien, il y a tout de même une autre trame, celle de l'enferment d'un peuple sur lui-même.
Et c'est encore le cas de certaines nations sur terre. Il y a donc un sujet d'actualité qui est traité à travers la science-fiction, ce qui est un trait récurrent dans TOS et Star Trek.