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Épisode excellent. un 10

Le Docteur fait face au succès. Un peuple découvre à travers lui la musique. Il découvre avec tout l'humanité possible que chacun peut-être remplacé par un meilleur (moment douloureux pour lui). Mais que la vie continue malgré tout et que les amis, les vrais sont toujours là.

Un des meilleurs épisodes de la série....

L'équipe se connait a merveille et l'interaction entre les acteurs est grandiose. Les répliques entre le Docteur et B'Elanna reste un pur bonheur. Robert Picardo nous montre une fois de plus quel talent il a.

En plus l'histoire est vraiment sympa. De voir comment le Docteur évolue fasse au succès et se transforme en une Super Star... puis la désillusion.

A voir et revoir sans modération...

Allez je vais dire : un episode d'anthologie. 10+

C'est le meilleur épisode du Docteur avec Tinker Tenor Doctor Spy de cette même saison 6. C'est aussi un épisode en forme de fable allégorique qui rapelle furieusement l'espiéglerie de La Série Originale. Idée géniale de caster des gens de petites tailles pour personnifier les Quomarians. L'un d'entre eux n'est nul autre que Paul Williams aka Swan du film culte Phantom Of The Paradise.

Bob Picardo est au sommet de son art , & tient de main de maître la nature tragi comique de son personnage.
Dommage que la dernière saison fasse regresser le personnage à ce point.

Je viens de revoir l'épisode, et ne peut que me répéter.... à voir et revoir...

Bien plus que Robert Picardo qui excelle dans son rôle qui lui va à merveille, l'épisode réuni tous ce qui me plait dans Star Trek. De l'humour, de l'ironie, du tragique...mais surtout, une superbe histoire.

Est montré à quel point la gloire peut venir vite, mais repartir encore plus vite. On voit vite la glorification des autres, mais oublions tout aussi vite l'amour et l'attention que nous portent nos proches. La dernière lettre de son peut-être plus fidèle fan est touchante... signée Seven of Nine.

Dsl je suis moins enthousiaste que vous ... vous le docteur chanter (et avoir un certain succés), d’accord sur le premier 1/4 ... ensuite cela m'a plus lassé qu'autre chose

Ce n'est pas le meilleur épisode de Voyager mais l'un des meilleurs du Doctor et de l'actor.

oui tout à fait, mais aussi une réflexion sur le fait que dans l'art rien ne dure et que l'on est dépassé par des meilleurs... c'est le cycle de la création je pense. Et finalement c'est le temps qui décide ce qui en valaient la peine

Dax a écrit:

oui tout à fait, mais aussi une réflexion sur le fait que dans l'art rien ne dure et que l'on est dépassé par des meilleurs... c'est le cycle de la création je pense. Et finalement c'est le temps qui décide ce qui en valaient la peine

Lorsqu'on écoute les œuvres de Verdi, Puccini, Bellini, Donizetti et compagnie, j'ai l'impression que tous les grands ténors se rejoignent, convergent vers l'essentiel, l’œuvre elle même. La personnalité passe au second plan parce que paradoxalement, lorsque l’œuvre prend le dessus, alors c'est que le chanteur était très bon mais certes pas irremplaçable. Dans le domaine de l'opéra je pense que l’œuvre dure, c'est le Ténor qui meurt mais souvent à cause du temps aussi

Je ne l'avais pas vu dans ce sens là, mais Virtuoso peut être aussi vu comme une critique des goûts plus que volatile du public de masse.

Vedette un jour, Has been le lendemain. C'est l'art qui dure, pas les modes préfabriquées. Le doc tombe dans une mode préfabriquée, il est victime de cela, du star system. Il aurait dut comprendre plus tôt que les Quomorians n'avait pas le goût à la musique, pour eux ça ne représente que des variations mathématiques.. Faut voir le Doc de substition & ses chants tout pourrave..

Je ne pense que le Doc soit un grand ténor, comme Data n'est pas vraiment un virtuose du violon non plus. Ils ne font que compiler plusieurs influences. Cela aurait dut ne rester qu'une passion.

Bon ben ... mettons un pour la jolie voix et l'idée de la copie du programme holographique.

J'aime beaucoup l'opéra, le bel canto, mais le champ de photons agrémenté d'un champ de force couplé à un programme, ça reste à bord d'un vaisseau pour faire la fonction pour lequel il a été créé : médecin de bord.
Et le capitaine doit d'abord veiller à la santé et au bien-être de son équipage. Pas à faire plaisir à des sous-programmes qui sont censé donner une personnalité à un amas de photons.

Donc madame l'extra-terrestre a bien raison de créer une copie. Ça remet le programme à sa place !

Le seul point positif est qu'une espèce qui se pense supérieure découvre tout à coup qu'elle a raté l'invention de la musique.

Mazette ! Cette Épisode d'anthologie porte bien son nom...et je vois que je ne suis pas le seul à l'apprécier à sa juste valeur...
Il porte tellement de thématiques humaines réalistes... comme la tendance qu'on a souvent de ne pas reconnaître les Mérites d'une personne à sa juste valeur, voire de ne pas apprécier que ces Mérites soit mis en valeur...comme s'il fallait que bourré de talent, il faille presque se cacher ?! Très drôle l'attitude du Doc à ce propos excipé par la Qomar, comme depuis le début de sa Ralation avec cette espèce plutôt prétentieuse et arrogante...ce qui ne sont pas à proprement parlé des signes de grande Intelligence...
Il n'y à rien à redire, tellement cet épisode est parfait...
Robert Picardo est remarquable dans ce Rôle de Maestro...sans doute une passion profonde...
L'intrigue pseudo amoureuse est parfaite dans ses intentions à peine mal comprise...pour le Doc...
Le Concert D'Adieu avec cette Interprétation de "Rondine al Nido" du ténor Agostino Castagnola* dans la bouche du Doc, est une merveille d'Émotions...comme le message très affectueux de Seven Of Nine à son Ami le Docteur...

Les jeux d'acteurs étaient parfaits dans leurs différentes partitions...très touchant...

On comprendra que les Qomar étaient plus intéressés par les performances harmoniques & mathématiques, qu'artistique...je doute même qu'ils ne sachent jamais ce qu'est l'ART !?
L’Hologramme amélioré vocalement m'a fait penser à la Diva Pavalaguna, pour les capacités vocales, mais en plus rudimentaire et sans Mélodie pour faire que le son soit un Chant Musical...

MAGISTRALE...évidemment 10+...Quelle Maestria...Évidemment j'aime l'Opéra aussi

* Version d'Augostino Castagnola ici

Veuillez excuser le lieutenant Torres, dit le docteur, sa connaissance de la musique se limite ...
Mais la vôtre aussi est limitée, docteur. Parce que, tout ce que j'ai entendu jusque-là, c'est de la musique occidentale.
J'aime beaucoup l'opéra, bien moins le jazz, mais à côté de ça, que fait-on de la musique du monde ? D'Asie ? d'Afrique du Nord ? d'Afrique sub-saharienne ? etc.

C'est ce qui me marque pour le moment dans ce troisième visionnage de la série : le manque de diversité ethnique.
TOS avait tenu à représenter différentes ethnies : Sulu, le japonais, Chekov, le russe, U'hara, la swahili.
Mais d'où viennent Kathryn, Tom et Kim ? Tous du même coin.

Le Dr se laisse monter la tête par une civilisation qui ne connaissait pas la chanson et qui l'érige au rang de superstar. Réaction surprenante du Dr qui se laisse berner par sa nouvelle notoriété. Naif, idiot.

Episode plus profond qu'il n'y parait. Se dessine la question (lancinante depuis le début de la série) des droits du Docteur (et par delà, des hologrammes).

La belle claque dans la figure que reçoit le Dr avec la création d'un double holographique. Largement méritée. Il va devoir ramer pour se rabibocher avec l'équipage qu'il a abandonné.

Du mieux dans l'accent du Dr quand il chante en italien.

9/10