un épisode pas trop mal, juste un peu long.

Jordi qui fait face au deuil de sa mère. Elle a juste disparut alors doit il garder espoir ? Le jeu avec Data est pas mal, et encore une fois on voit l'évolution de Data qui aide Jordi à désobéir. Je comprend tout à fait ce besoin de Jordi d'être sûr, comme il le dit s'il ne fait rien il s'en voudra toute sa vie.

Et puis son côté neerd, le voilà dans une interface pour contrôler une sonde à distance...

j'ai mis 7

Je trouve que l'histoire est bien ficellée, mais cet épisode n'a pas beaucoup d'attraits (selon mon avis bien sûr).
Que dire de plus ? J'ai mis un 6

L'épisode commence avec un Jordi sans Visor... on se demande pourquoi et il est dans des conditions épouvantables... un humain ne pourrait pas survivre... alors il y a anguille sous roche... C'est qu'il est au commande d'une sonde de travail si on veut, à laquelle il est relié comme dans une réalité virtuelle...

Ça part bien je trouve... surtout si on se replace à l'époque de la diffusion original. Donc durant tout l'épisode quand c'est Jordi sans le Visor c'est la sonde et quand c'est le vrai Jordi c'est qu'il a son visor...

Bon départ...

Épisode qui parle du deuil ou de comment on réagit devant l'évidence de la perte de quelqu'un de cher. Jordi refuse de conclure à la disparition de sa mère, que celle-ci sois morte alors que son père se résigne.

Marrant l'oeuvre qu'écoute Data dans laquel il y a 43 minutes de silences... pour pleinement écouter le silence... pendant lesquels Jordi lui cause de ses angoisse vis à vis la disparition de sa mère... il aurait juste manqué que Data lui demande de se taire pour écouter le silence...

Sa mère apparait... mais pas sur le bon vaisseau ... bizarre... c'est peut-être une communication d'étranger que la sonde à fait interpréter à Jordi comme le contact avec l'image de sa mère. Évidement Jordi est sur que c'est sa mère et le reste de l'équipage pense qu'il a eu une hallucination. Ce qui m'amène la question est-ce que quand on a hallucination, on peut concevoir que c'est une hallucination... que la réalité que l'on voit n'est pas vrai. C'est "être ou ne pas être" finalement...

Jordi travail fort pour expliquer sa vision... mais ça regarde mal pour lui. L'explication qu'il donne est assez tiré par les cheveux... beaucoup de si...

Je me demande bien si c'est sa mère ou non qui lui a apparut. A ce moment de l'épisode... on sait pas... ça peut-être n,importe quoi. Faut dire que dans l'espace, il y a des possibilités qui n'existe pas sur la Terre. Sur la Terre, à notre époque... hiii on considererait qu'il fait une grave dépression... c'est pour dire... mais on est dans un future ou les choses ont changées ou on a vu tellement plus que ce qui est accepté dans notre réalité à nous du 21ieme siècle...

Donc re contact avec sa mère... ou quelqu'un qui est sur la planète... mais quelque choses me dit que c'est pas sa mère... Sa mère n'exprime aucun sentiment de joie à la vue de son fils... trop bizarre... et voilà c'était pas sa mère... c'était des êtres subspaciaux... me semblais bien... mais pas méchant. semble-t-il mais c'est pas fini... et oui c'était une espèce pacifique.

Si Jordi avait accepté le deuil de sa mère, tout ça n,aurait jamais été vécu... et l'espèce subspatial serait morte... comme de quoi rien n 'est inutile dans ce cas...

je met un 8.. j'ai passé un bon moment

Attention à l'ortographe , c'est Geordi pas Jordi.

Revenons à l'épisode. Un petit 7.

Si on devait sortir une tendance de cette 7ème et ultime saison de TNG, c'est que celle ci fait la part belle à la vie privée des personnages, leur liens de familles, leur petits jardins secrets avoués et inavoués.
Aprés Data qui réglait ses comptes avec son frère Lore, c'est au tour de Geordi de nous parler de ses parents, sa mère en particulier, à travers le thème du deuil.

Interface n'invente pas de nouvelles choses sur Geordi, mais crée des éléments qui font sens avec sa personnalité que nous connaîssons aujourd'hui . Nous découvrons donc un Geordi qui fut l'objet d'une attention particulière de la part de ses parents , sans doute à cause de son handicap, qui n'a jamais vraiment "quitter le nid familial" ( sa mère cherche toujours à le caser par exemple ), et ne cherche pas non plus à le quitter, là ou son père a déjà abandonner tout espoir de revoir sa femme. Geordi n' abandonne pas . Il a cette foi naïve typiquement Trekienne, que les capitaines de Starfleet peuvent battre n'importe quel scénario impossible.
C'est ainsi qu'il ne se pose pas de question, quand il voit sa mère lui demandait son aide dans un lieu plus qu'improbable.

Ce n'est pas tant le deuil qu'il est question ici, mais plutôt de l'absence de deuil, puis que je vous rapelle que l' Héra, le vaisseau de la mère de Geordi n'est pas détruit, juste "porté disparu".. C'est à dire que même si il est considéré perdu par Starfleet, il restera toujours une infime note d'espoir qu'il soit retrouvé.

Hélas cette thématique est parasité par un élément science fictionelle qui dévoile trop tôt son artificialité. Lorsque l'on voit le message de la mère de Geordi, nous découvrons une femme joviale, chaleureuse et pleine d'amour pour son fils. Son double lors de la mission de sauvetage est froid, distant, monocorde. On sent la supercherie à plein nez et on est étonné que Geordi ne la découvre pas en même temps que nous.

Ce qui marche le mieux sur ce thème se retrouve paradoxalement à bord de big D avec sa "nouvelle famille". Mais dans pareille configuration , Je préfére largement l'intimité, Data & Riker , que la psychanalyse ampoulée de Deanna Troi.

Petit bémol aussi, j'ai du mal à me faire à un Geordi sans visor..C'est un peu Wolverine sans ses griffes, Superman sans sa cape.

Buckaroo a écrit:

Attention à l'ortographe , c'est Geordi pas Jordi.

ok j'vais tâcher de faire gaffe
je corige déjà dans l'intro...
à ce propos comment ça s'écrit "redgie" (pour barcley) et "lwaxana" ?

Citation :

Ce n'est pas tant le deuil qu'il est question ici, mais plutôt de l'absence de deuil

Je dirais plutot du refus de faire le deuil dû à l'absence de preuve tangible, mais on chipote

lael chekov a écrit:

à ce propos comment ça s'écrit "redgie" (pour barcley) et "lwaxana" ?

Dans TNG on nomme Barclay "Reg" et non "Redgie" et Lwaxana pour Troi mère.

Hum il me semble qu'il est aussi surnommé Redgie, mais c'est ptet une dif entre la VO et la VF

Hum c'est bien possible... A vérifier !

Hum !
Au XXIe siècle on a inventé des appareils téléguidés munis de caméras.

C'est là qu'on touche du doigt le manque de capacité de projection.
Pourtant cette capacité de projection, elle est bien là dans l'existence de Data.

Une faiblesse de TNG : on conçoit un androïde parfait, incapable d'être répliqué.
On ne peut pas concevoir un robot moins perfectionné réplicable.

Tout de même l'idée de coupler un humain à une sonde fait qu'on est bien dans un scénario SF.

La difficulté de faire son deuil quand il y a disparition et pas de cadavre est très réelle. C'est tout de même étonnant que Data entre dans le jeu de Geordie.

Le coup de l'entité trompeuse, on l'avait vu venir de loin.

Episode peu crédible : un être humain et une sonde sont 2 choses
bien distinctes. La sonde ne voit pas, la sonde ne peut intervenir
sur des corps etc ... tout ceci ne tient pas.

D'accord, c'est un prétexte pour nous montre Levar Burton avec
ses vrais yeux ?

Ou plutôt la 1ère étape pour devenir un Borg

Reste la thématique de la mort d'un parent, j'ai trouvé
le comportement de chacun des amis et collègues de
Laforge très juste : Riker, D Troi, Dr Crusher et Data

J'ai mis 5.