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Un télépathe si puissant que le discours intérieur de chacun est cacophonie dans sa tête...

Un vaisseau vivant sans équipage, sans but...

Une rencontre...

à voir

Un épisode comme je les aime, plein de mystères, la recherche de son épanouissement, sans compter le petit piment avec les Romuliens, l'intrigue bien ficellée. J'ai apprécié.

Je met un 9

Un excellent synopsis et un épisode de ce qui fait le défaut principal de VOY pour moi : une excellente idée de scénario mais faiblement exploitée, pas assez appuyée.

Le Tin Man est formidable , ce concept fantasy que l'on retrouve dans Farscape ou Bab5 de chevaucher un animal ici spatial mais doté d'une intelligence énorme , la fusion avec l'animal.
Garantie, cette fusion, par un bétazoïde prodige rejetant l'humanité qui plus est, c'est d'une grande poésie.

Les Romuliens sont bienvenus , mais on ne les voit que trop peu.
C'est effectivement un petit piment T'Luvik, je suis d'accord.

Cependant la sauce prend très bien même si le connu des fans d'ENT Harry Groener (ici Tam Elbrun) en rajoute et contraste avec le talent de Stewart. Cette inégalité de ton ne me fait pas tirer ma larme et me ramène dans l'aspect soap du show, mais je reste très sensible et envouté par l'histoire qui elle est formidable.

Je note 8 pour la superbe poésie du scénario.

Archy a écrit:

Cependant la sauce prend très bien même si le connu des fans d'ENT Harry Groener (ici Tam Elbrun) en rajoute et contraste avec le talent de Stewart. Cette inégalité de ton ne me fait pas tirer ma larme et me ramène dans l'aspect soap du show, mais je reste très sensible et envouté par l'histoire qui elle est formidable.

Je ne suis pas d'accord avec toi. La performance d' Harry Groener est au diapason de l'ensemble du cast. Personnellement personne ne m'émeut quand il fait une dépression carabinée. Parce que c'est ici le cas de Tal Elbrun, c'est une dépression.. C'est un gars en perpétuelle dépression qui ne cherche justement pas la compassion ou l' empathie d'autrui , donc par écho celle du spectateur. Harry Groener a parfaitement saisit la nature de son personnage et arrive parfaitement à retranscrire ce sentiment de désarroi, presque d'impuissance à supporter les "misères du mondes".. C'est pour cela qu'il se sent si bien avec Data, c'est pour cela qu'il s'unit à un personnage aussi solitaire et imcompris que lui que le Tin Man..

La fin n'est pas un sommet d'émotion , mais de soulagement, C'est quasi un instant Zen. Par contre, ce qui me noue la gorge est la dernière scène entre Data et Deanna Troi.. Quand elle sert Data dans ses bras et regarde les étoiles ensemble & que la "machine" lui dit : " L' enterprise est le lieu ou il appartient" . D'un coup, on sent que Data n'est pas un être aussi solitaire que ça.

C'est la touche Michael Piller : Le drame des personnages invités grandissent les personnages principaux. Tin Man est un grand épisode sur la solitude.

c'est un point de vue qui te fait analyser sa dépression comme un bon jeu d'acteur.
Pour moi, elle est loin d'être intense ou dramatique au contraire de ce que les dialogues veulent nous faire ressentir, je ne "sens" chez cet acteur à ce moment là qu'une représentation de lui-même , sans grand contrôle de ses gestes ou de sa voix.
Il a besoin de rouler des yeux ou d'élever son volume de voix sans donner aucune caractérisation du personnage là ou Stewart n'a besoin que de lever les sourcils.

Cet instant zen dont tu parles, je le comprends dans cet épisode au vu de l'évolution du scénario mais allons, qui nous le fait ressentir sinon le rappel qu'il peut nous faire dans notre propre histoire ?

Non, je ne sens pas ce partage que peut nous amener à éprouver Spiner ou Stewart, cette compassion si forte par la maîtrise de leur art. Ici, je ne le sens que par la madeleine de Proust, par la résurgence dans ma propre histoire de ma condition de solitude.
Et je dois l'avoir vécu beaucoup plus intensément que Groener ne nous la donne.

C'est l'intrigue et le symbole du Tin Man qui me touchent ici. Oui la fin est particulièrement zen mais quelle discordance face à l'énergie que tente de nous donner Groener et ce calme Olympien, serein, cette détente en soi de Spiner , qui , en quelques secondes, me convainc bien davantage.

J'ai adoré cet épisode, franchement.

C'était vraiment bien écrit, l'intérieur de Tin Man qui me rappelle Moya (Archy a mentionné Farscape plus haut!), Tam qui vit une situation inconfortable et qui trouve du réconfort auprès de Data et Tin Man. Super performance de Harry Groener.

Une pincée de romuliens enragés pour dynamiter l'épisode, j'adhère.

Par contre, déçue que la mort de Tam n'ait pas affecté Deanna plus que ça, c'était son patient quand même !

On ne sait pas s'il est mort !
D' ailleurs cela est bien precise a la fin !
Peut etre qu'ils sont partis pour un voyage sans fin !
Ils viennent juste de se trouver tout ca pour mourrir ensemble ?
C'est peu probable a mon goût !

Un très bel épisode, auquel j'ai mis 8.

On ne peut que qu'éprouver de la compassion envers le télépathe surpuissant, qui doit composer en permanence avec les pensées du reste de l'univers (ou en tout cas de tous les gens dans un rayon de plusieurs centaines de mètres) sans avoir les moyens de s'en protéger.

En cela, il vaut mieux être Vulcain que Bétazoïde : les Vulcains ne sont télépathes que par contact, la plupart du temps, mais ils sont capables d'ériger des "boucliers mentaux". Ce qui ne semble pas être le cas des Bétazoïdes.

Le côté union parfaite entre ces deux êtres imparfaits est très bien rendu, ai-je trouvé.

Ceux qui me connaissent maintenant ne seront pas surpris
quand je dis que cet épisode interfère avec mon expérience
personnelle.

La fin était on ne peut plus prévisible : le spécialiste rejoint
la créature et ils fusionnent, voilà ...

Plus étonnant la compréhension de Data qui à la fin de
l'épisode développe des capacités de psychologue.

Déçu car trop prévisible et puis en fin de compte, c'est
l'échec de la mission.

J'ai mis 5 (avis personnel).