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Riker et son équipe se retrouvent prisonnier d'un hotel reproduisant l'histoire d'un roman de gare...

épisode sympa j'aime bien ce genre d'intrigue

J'aime bien également ce genre d'épisodes un peu surréalistes,ca me rappelle un peu certains épisodes de TOS genre "spectre of the gun".On y voit les membres de l'equipe d'exploration dans leurs uniformes colorés,toujours serieux et professionel,face a des personnages en costume d'epoque,c'est souvent amusant et on assiste a des situations inédites.

Comme je l'avais dis pour " le clown" (the thaw) voyager 2x23, j'aime bien ce genre d'épisodes , ceci pas seulement pour les séries star trek. Il s'agit de faire perdre un peu pied aux spectateurs , ceci en s'éloignant du certaine "routine " de la série . On se retrouve donc dans un monde onirique dans lequel nos héros n'ont aucune maîtrise sur les événements, ceci toute fois au début. Cet épisode de next gen est particulièrement réussit , ceci dit c'est pour la plus part du temps le cas, pour moi, quand on donne un peu plus d'importance au personnage de Riker. :badge:

Je viens de le revisionner.
Curieux qu'on ait traduit le titre par "Casino Royal" alors que le titre du livre dont tout est sorti est "Hotel Royal".
Ca me rappelle un peu le début de Voyager, l'entité extraterrestre qui fait une erreur avec un peuple moins évolué et qui essaie de réparer comme elle peut, avec son niveau de compréhension. Dommage pour l'équipage de la fusée spatiale du 21é siècle qui se retrouve entraîné à des années-lumières de chez eux, obligé de subir le caprice involontaire d'une force supérieure.
La scène de Data jouant au blackjack pour plumer le casino est bien délirante !

je suppose que casino royal se veut une référence à james bond ? où le james date d'après ST ?

Qui sait ?
En tout cas c'est un épisode avec une histoire originale et intéressante, on se demande comment ils vont pouvoir s'en sortir...

Je n'ai rien trouvé qui puisse faire allusion à 007...

C'est vrai qu'il est pas mal mais je me demande bien quelle est l'espèce qui a crée ce dôme

le mystère restera entier.
Par contre, moi , ça me fait beaucoup plus penser à DS9 qu'à VOY ou TOS !
J'ai l'impression de voir un épisode fun DS9 et ce n'est pas pour me déplaire. La classe, le charme, le plaisir du strass américain des années 20 est toujours un bon moment.

Beaucoup de plaisir dans ce scénario bien traité et là , les acteurs se régalent, enfin deux acteurs, Frakes et Spiner.
Quel cabotin celui-là ici ! Excellent Data !

J'ai beaucoup aimé, je note 8

Au début de l'épisode, Picard parle à Riker de l'énigme du mathématicien français Fermat. Il dit que cela fait 8 siecles que les mathématiciens de tout poils se cassent les dents dessus et que lui s'y essaie aussi.
Or cet épisode a été tourné en 1988.

Pas de bol, l'énigme n'aura duré (que) 3 siècles car 6 ans après le tournage, elle a été résolue :
http://hebdo.nouvelobs.com/sommaire/notre-epoque/009496/la-fin-de-l-enigme-de-fermat.html

mbuna a écrit:

Au début de l'épisode, Picard parle à Riker de l'énigme du mathématicien français Fermat. Il dit que cela fait 8 siecles que les mathématiciens de tout poils se cassent les dents dessus et que lui s'y essaie aussi.
Or cet épisode a été tourné en 1988.

Pas de bol, l'énigme n'aura duré (que) 3 siècles car 6 ans après le tournage, elle a été résolue :
http://hebdo.nouvelobs.com/sommaire/notre-epoque/009496/la-fin-de-l-enigme-de-fermat.html

J'ai pensé à la même chose lorsque j'ai vu l'épisode ... en dehors de cela l'épisode est très plaisant ... data avec le stetson et ses mimiques, on voit qu'il s'est amusé sur cet épisode

Il était pas mal du tout cet épisode, bel intrigue, un data plutôt "chanceux" et baleze, pour rééquilibrer les dés comme il l'a fait

Data trop la classe sur le lancé des dés, un vrai show    

Pas mal ça manque un peu d'explication mais l'equipage se positionne bien dans l'environnement

L'aspect le plus intéressant de l'épisode est sa note de bas de page sur l'histoire des mathématiques concernant le dernier théorème de Fermat, toujours non prouvé en 1989 lors de la réalisation de l'épisode, et qui n'aurait toujours pas été prouvé au 24ème siècle.  Qui aurait alors deviné que le théorème, après plus de 350 ans, serait prouvé en 1995 ?

Je mentionne cette note de bas de page dans un épisode qui, autrement, ne présente presque aucun intérêt ou mérite.  Après que l'équipage de l'Enterprise ait trouvé un morceau de débris spatial de la NASA datant du milieu du 21e siècle et l'ait relié à une planète voisine, Riker, Data et Worf se sont téléportés et ont pénétré dans un mystérieux bâtiment.  À l'intérieur, ils trouvent une représentation extraterrestre d'un hôtel casino du XXe siècle, inspirée d'un "roman de seconde zone" de l'astronaute de la NASA qui avait survécu, et utilisée comme modèle par des extraterrestres pour lui construire une oasis au milieu d'un environnement stérile et inhabitable.  Il s'agit d'un classique de TNG, une pièce d'époque sans autre intérêt que son divertissement.

La première phrase du roman était "C'était une nuit sombre et orageuse", et l'épisode met en évidence le fait que le roman est un déchet avec des personnages superficiels et des clichés sans fin.  Je suppose que c'est pour couvrir le fait que cet épisode, en tant qu'épisode de TNG, a des personnages peu profonds et des clichés sans fin.  Sérieusement, ça a dû être une sacrée réunion d'écrivains :  "Faisons un épisode qui parle de mauvais clichés et de dialogues boiteux pour ne pas avoir à écrire quelque chose qui soit vraiment bon !"  Apparemment, ils ont compris qu'en faisant remarquer que l'intrigue est nulle, cela l'excuse d'une certaine manière.  L'équipe d'exploration se retrouve coincée dans l'hôtel et ne peut pas s'échapper, sans aucune raison, sauf qu'il s'agit d'un mystère de type "Twilight Zone" qui a des règles arbitraires et aucune explication satisfaisante. Dans cette série, cela fonctionnait. Car elle était basé sur ce principe. Dans ST ça ne fonctionne pas. Sauf peut-être dans TOS.

C'est un épisode assez vide. Qui laisse une goût amer dans la bouche. Allez, un petit cadeau. Je lui offre un magnifique... 3/10. Il ne vaut pas plus.

J'ai noté 7. Plaisant, intriguant, notamment pour les circonstances et la finalité, qu'on ne connaîtra jamais.

Sans avoir de portée quelconque, ce fut agréable à suivre. Mention spéciale à Data en jouer à la fin, avec son petit air arrogant sans avoir l'air d'y toucher, et à la tronche dégoûtée de Picard lisant le roman.

T'es vraiment pas difficile à combler. S'il était sortie dans TOS, je n'aurais rien dit. Mais on est dans TNG. C'est un épisode mauvais dans tout les sens du terme.

Pas difficile à combler ? Ça dépend de mon ressenti pour les épisodes, comme nous tous. Va donc voir ma note de l'épisode suivant et je te retournerai le compliment

J'ai un vague souvenir de cet épisode et, en effet, le ressort est un peu (beaucoup) usé.
Peut-être que ça passait à l'époque où c'est sorti.
Mais à la nôtre...
J'avais trouvé ça lourdingue.

Intérêt limité mais l'atmosphère est tellement pesante.

J'ai mis 5 à cet épisode.

Tiens, en relecture en VOST, ça m'a fait un autre effet.
On renoue ici avec une vieille tradition de TOS, mais d'une façon un peu plus subtile que dans la première saison.
Le thème de la planète qui fait revenir dans le passé (et qu'est-ce qu'il peut être kitch, cet hôtel !) à partir d'un roman.
Le côté américano-centré fait sourire et passe assez mal chez moi.
C'est comme si on ne connaissait de la terre que les States et Paris.
Vive notre nombril.
D'un autre côté, le premier public auquel la série s'adressait était étasunien.

Riker semble avoir hérité de certains traits de Kirk.
Pas seulement par son côté joli-coeur qui n'est pas présent ici, mais aussi par ses oeillades amusées quand il atterrit dans une monde aussi déjanté que la reconstitution d'un mauvais roman de gare.

On se demande bien ce que faisait ce roman, sous cette forme papier dans une astronef du XXIe siècle.
Je lis mes bouquins sur une liseuse électronique.
Il y avait pourtant des bouquins sur ordi dans TOS, si je ne m'abuse.
Ça et l'écran épais de l'ordi de Picard fait absence de projection. Un peu dommage quand on a vu des portraits holographiques et des projections 3D d'il y a quelques épisodes.

Lourima a écrit:

On se demande bien ce que faisait ce roman, sous cette forme papier dans une astronef du XXIe siècle.
Je lis mes bouquins sur une liseuse électronique.
Il y avait pourtant des bouquins sur ordi dans TOS, si je ne m'abuse.

Certes, il m'arrive aussi de lire sur tablette, mais je continue à lire des livres papier également. Parfois je lis un livre numérique puis j'achète sa version papier, parce que je l'ai tellement aimé que je veux pouvoir en toucher la matière ou l'observer dans ma bibliothèque. Ce n'est pas rationnel bien sûr.

Ça me rappelle ce dialogue entre Picard et Data dans First Contact :

Citation :

PICARD: It's a boyhood fantasy, Data. I must have seen this ship hundreds of times in the Smithsonian, but I was never able to touch it.
DATA: Sir, does tactile contact alter your perception of the Phoenix?
PICARD: Oh, yes. For humans, touch can connect you to an object in a very personal way. It makes it seem more real.
DATA: I am detecting imperfections in the titanium casing. Temperature variations in the fuel manifold. It's no more real to me now than it was a moment ago.

(Je ne connais pas la VF mais je suppose que ça se traduit à peu près par :

Citation :

PICARD : C'est un rêve d'enfant, Data. J'ai dû voir ce vaisseau des centaines de fois au Smithsonian, mais je n'ai jamais pu le toucher.
DATA : Monsieur, le contact tactile modifie-t-il votre perception du Phoenix ?
PICARD : Oh, oui. Pour les humains, le toucher peut vous connecter à un objet d'une manière très personnelle. Il le rend plus réel.
DATA : Je détecte des imperfections dans la coque en titane. Des variations de température dans le collecteur de carburant. Ça ne me semble pas plus réel qu'il y a un instant.

Ce n'est pas un livre, mais l'idée est là je trouve.

Bref, je pense que ce type d'attachement émotionnel à la matière et au toucher ne disparaitra pas complètement avant longtemps.

Dans ma fanfiction (désolé, j'veux pas faire d'auto-promo mais c'est des sujets que j'y aborde donc je trouverais dommage de ne pas en parler) j'explique qu'en général les gens lisent sur un PADD, mais que parfois ils synthétisent les livres pour les lire et les recyclent après avoir fini. je présente les personnes qui conservent les livres dans les bibliothèques comme marginales (sans connotation négative).

Pour ce qui est des bouquins papier dans Star Trek, ce n'est pas première fois : on a les Mayweather qui possèdent un livre papier "Gangs of Chicago ?", qui donnera son intrigue à un épisode de TOS (un bon retcon, sur le coup), et Kirk qui les collectionne, dans TWOK. Ce n'est peut-être plus la norme à l'époque mais il peut rester des originaux.

Moi-même, qui possède des milliers de bouquins, je lis très peu sur ordi et n'achète toujours que des versions papier. Les rétrogrades ont encore de beaux jours devant eux, faut croire !

J'aime les versions papier, quand ce sont de belles éditions, jolie reliure, illustrations, etc. Mais pour un livre de poche, la liseuse est plus pratique.
La question reste : que fait un roman de gare de trente-sixième catégorie en version papier, sur ce vaisseau ?
A moins que ce ne fut le livre de chevet de la chère bonne-maman décédée du cosmonaute ... difficile à justifier.