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Episode au premier abord sympathique, mais qui hélas n’exploite pas toutes les possibilités licencieuses de son sujet : les femmes esclaves d’Orion. Malgré quelques déhanchements lascives de la délicieuse Cyia Batten ( la Ziyal originelle de DS9 ) rien ne serait cacher la pauvreté des dialogues , & le lieu commun des situations. Gentil , inodore , propre sur lui . Reste l’idée assez pertinente de faire que chez les Orions, les esclaves ne sont pas ceux que l’on croit. Encore une fois, une idée mal , voir pas du tout exploité. Ca manque beaucoup de second degré & d'humour salaces, mais une fois de plus Trip sauve le jour. Ce gars devient de plus en plus cool et fédérateur.

60% d'avis favorable.

Un stand alone bien foutu, où l'on apprend les dessous du fonctionnement de la société orionne, loin des clichés dont j'ai eu peur qu'on nous abreuve dès le début de l'épisode.

Trip à l'honneur, encore une fois, avec en point de mire un avenir avec T'Pol qui ne fait désormais plus de doute. Et le fait qu'il ait déjà demandé son transfert sur l'Enterprise amenuise quelque peu la déception de l'avoir vu revenir si tôt pour des raisons qui semblaient boiteuses.

C'est toujours aussi plaisant de suivre ton exploration de cette série. J'ai hâte de lire ton avis sur le prochain arc.

Normalement, je devrais en parler demain soir

Un épisode qui me fait grandement penser à "Mudd's women" (TOS).

En effet, on y retrouve les hommes de l'Enterprise qui sont sous "l'emprise" de la beauté diabolique de trois femmes, arrivées sur le vaisseau grâce a un marchand.

Je n'ai jamais aimé ce genre d'épisode, les dialogues sont inintéressants et patosse au possible, les personnages guest sont en cartons, et au final le but de cet épisode est stérile.

Je lui mets un petit 2 pour les femmes-esclaves d'Orion (qui ont eu leur première référence dans "The Cage")

Moi j'ai aimé pour ce côté "girls power". Passer d'une présentation "femmes-objets" à "véritables dirigeantes d'Orion, dans l'ombre", ça retourne complètement le cliché initial.

Minos a écrit:

Moi j'ai aimé pour ce côté "girls power". Passer d'une présentation "femmes-objets" à "véritables dirigeantes d'Orion, dans l'ombre", ça retourne complètement le cliché initial.

J'aurais été d'accord avec toi si ça avait été le cas. Mais, hélas, elles sont bien à la solde de Harrad-Sar et, finalement, reste ses esclaves du début à la fin.

Elles et lui travaillent ensemble, mais je ne suis pas certain qu'elles lui soient subordonnées. D'autant qu'Harrad-Sar lui-même reconnaît que ce sont les femmes orionnes qui commandent aux hommes.

L'Ulysse des temps super-moderne a rencontré ses sirènes.
Le thème est bien exploité.
On développe la mythologie des Orionnes.
Au fait, Archer, féru de marine : un corsaire n'agit pas pour son propre compte, il est commandité une puissance officielle, contrairement au pirate.

Ceci n'explique pas pourquoi on ne s'est pas servi de la tête d'Archer quand il était à bord du vaisseau d'Orion. Pourquoi a-t-il fallu toute cette mise en scène ?

La référence à une planète du système Berengarinus où vivraient des fragons de 100m, c'est une référence à qqchose dans Tos ? Parce que ça ne me dit rien du tout..

Scénario cousu de fil blanc.. les menthes religieuses prennent le controle des fragiles humains.

Le remplaçant de Tucker complétement demeuré qui se laisse embobiner en deux temps trois mouvements jusqu'à s'opposer à lui. Il n'a pas le coffre, on l'a compris, Tucker va reste, on l'a compris, pas la peine d'insister.

Bref, un peu grotesque. Il aurait suffi de les sédater et les enfermer..

Seul "intérêt" de l'épisode est la relance de la romance Tpol-Tucker.

5/10