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N'y allons pas par quatre chemin :
NUL !!!

j'ai déjà vu cet épisode et en milles fois mieux et émouvant ,le classique Children Of Time.DS9.6.

Rien n'est à sauver dans ce remake qui tombe dans les pièges que son illustre ainé avait réussit à éviter: Tomber dans la guimauve et le ridicule.. Ridicule donc se charge notre Jolene Blalock qui grimé en momie, cabotine plus que d'habitude!

Un espace de vide sidéral que doit traverser le NX avant de rejoindre le conseil Xindi.. .. Juste les 2, 3 Kaboom final viennent me tirer de ma torpeur.

Dommage, car le script original de Mike Sussman était bien plus intriguant que ça. A l'origine c'était le NX 02 Columbia que venait du passé & non cette réplique neneu & morose du NX 01...

1 % d'avis favorable

Un stand alone qui vient se glisser dans le final de la saison, et qui n'apporte que peu de choses. Et pourtant, que c'était bon, contrairement à celui sur les Reptiliens sur la Terre de la fin du XXème siècle !

Une anomalie, une erreur de calcul et pouf, l'Enterpise se retrouve 117 ans dans le passé. Et 117 ans plus tard, cet Enterprise-là vient à la rencontre du "vrai" pour lui éviter de commettre la même erreur. Évidemment, l'équipage n'est plus le même : le vaisseau est devenu un vaisseau multi-générationnel. Son capitaine est Lorian, fils de T'Pol et de Trip. Superbe second rôle pour cet hybride humano-vulcain, touchant quand il discute avec son père, plus jeune que lui de quelques décennies^^.

On y trouve également des descendants de Phlox, de Mayweather et de Hoshi, par exemple. Mayweather, ayant su qui fut la mère de ses enfants, a des idées derrière la tête dans le "présent". Hoshi, elle, a su qu'elle avait eu deux enfants et connaît les prénoms, mais refuse de savoir qui est le père : ça tuerait tout le romantisme. Quant au pauvre Reed, il a appris qu'il n'avait eu ni femme ni descendant, et cela le vexe profondément, même si Hoshi essaye de le consoler en lui rappelant qu'il n'y avait qu'un tiers de femmes dans l'équipage. Inévitablement, des hommes allaient rester sur le carreau. Maigre consolation pour Reed. Ceci dit, comme on le sait, il est entièrement dévoué à son travail mais en dehors de cela, il ne s'intéresse à rien et n'est par-là même pas très intéressant, voire psycho-rigide quand il s'y met. Sa réaction qui consiste à inviter à sa table dans le mess la première belle femme venue est amusante : va-t-il réussir à changer son destin ?

Quant aux deux T'Pol, leur rencontre est l'occasion pour l'ancienne d'appuyer sur deux points : elle ne guérira jamais des séquelles de la drogue et devra apprendre à vivre avec ses émotions. Et elle insiste sur l'importance de Trip pour elle.

Sur un registre plus lié à l'intrigue, les Xindis, dans l'épisode précédent, avouent ne pas savoir combien de vaisseaux Starfleet a dans le coin, et Lorian apprend à Archer qu'il en a croisé plusieurs fois, même s'il a toujours pu s'esquiver. D'où le doute des Xindis...

Un épisode sans conséquence, mais plutôt touchant.

J'ai aimé cet épisode assez émotionnel, qui touche au destin des membres de l'équipage...cette autre version de l'Enterprise est réussie, avec les descendants de la plupart des personnages.

Je l'ai trouvé touchant, mais qui, sur la fin et comme pas mal d'épisodes, m'a laissé sur ma faim : on ne reparlera plus jamais de cet autre Enterprise, ni de son équipage. J'aurais voulu en savoir plus à un moment ou l'autre.

Je te ressortirais bien la remarque de T'Pol à Archer à ce sujet, à savoir que du coup, ce futur n'a jamais existé, sauf que la réponse d'Archer laisse à réfléchir : "Dans ce cas, comment se fait-il que nous nous souvenions d'eux ?"

Tout à fait exact ! Donc en un sens, ils existent bien^^

Un superbe épisode en mode "et si...". On est dans le contexte du monde parallèle. Mais pas comme on a l'habitude de le voir dans Star Trek. Ici, les deux mondes se croisent. Car ce qui n'est pas encore un monde parallèle est appelé à le devenir. Nous y voyons pour la première fois la création d'un univers alternatif à celui que nous suivons. Et ceci est vraiment passionnant. Nous nous retrouvons alors avec deux Enterprises. Semblables et pourtant si différents. La théorie d'Archer à la fin est très intéressante. Mais la réflexion de T'Pol n'en est pas moins. Elle ouvre une autre voie. Seraient-ils un paradoxe temporel ?

Et comme j'adore ce genre d'épisode, je lui offre les 10++ de l'

L'Enterprise une affaire familiale ...

On comprend Lorian dans sa logique de protéger la terre
mais il va trop loin : L'Enterprise n'attaque pas L'Enterprise !!

L'attitude de T'Pol face à Tucker est compréhensible.

Rien de sûr concernant la conversation de T'Pol à T'Pol
(Comment ne pas penser à Spock dans le Star Trek de 2009) :
il s'agit d'un futur probable mais pas d'un futur certain.
T'Pol (celle du présent) a les clé en main pour choisir son
avenir.

J'ai mis 6 à cet épisode (un peu de sérieux : L'Enterprise ne
combat pas l'Enterprise).

*clés

Zut ... un paradoxe temporel !
Je ne les aime pas trop, mais ici ça passe.
L'Enterprise contre l'Enterprise ... quelque part c'est un juste retour des choses qu'on vole des injecteurs à Archer le pirate.

Par contre T-Pol vieillie artificiellement ... on dirait une marionnette du Muppet Show .
Le vieillissement par maquillage n'était vraiment pas maîtrisé à l'époque.

C'est amusant de voir ce qu'aurait pu devenir l'équipage dans le cas d'espèce : hybridation, fils de Trip en de T'Pol, la descendance de Phlox !

Pas compris l'intérêt de dire que les vulcains et les humains n'étaient pas compatibles et que ce serait Flox qui aurait "inventé" un procédé pour les mêler ? Du coup, Spock est un bébé éprouvette ?!  
Surtout que ça n'apporte strictement rien à l'intrigue. Totalement dispensable, inutile et problématique.

Situation de départ déjà vue, mais le développement était original. Ici, pas de conflit éthique en devant choisir entre se sauver ou faire survivre ses descendants, vu qu'ils semblent ne même pas s'apercevoir qu'ils courent au suicide. Un peu étonnant que les descendants n'aient pas pensé que l'aventure les effacerait de l'histoire. Mais bon, cette question n'est pas non plus tranchée (rien d'ailleurs n'indique qu'ils n'existent pas toujours et ont survécu au combat).
Mais encore une fois on voit les limites de STE par rapport à DS9 et TNG. On évite de creuser les sujets éthiques et on les sacrifie ainsi que (parfois) la crédibilité du scénario pour ajouter plus de rebondissements et action.

Archer qui semble de plus en plus désespéré, usé, malgré la lueur d'espoir que constitue son alliance avec Degra.

Au final, situation et épisode dispensable. Et avec cette histoire de croisement artificiel inventé par Flox.. ça n'a pas la moyenne pour moi.

4/10