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"L'Enterprise-D fait l'expérience d'une perturbation spatio-temporelle et reçoit peu après un signal de détresse de la planète Vandor IX.
C'est sur cette planète que le professur Paul Manheim travaille sur le continuum espace-temps."

Encore un épisode temporel..
Comme le dit la femme du professeur Manheim à la fin, "j'ai beau être un fantôme de ton passé, je ne suis pas un passe-muraille Jean-Luc !" Manière ironique de demander où se trouve la sortie du holodeck.

Ce fameux professeur a découvert le moyen de modifier le continuum, afin de pouvoir ouvrir un passage vers une autre dimension...comme il fallait s'y attendre, l'expérience n'est plus contrôlée et l'Entreprise va devoir refermer la brèche.
Cette épisode permet surtout à notre cher Jean-Luc de refermer comme il se doit une brèche sentimentale, celle de son ancienne relation avec la femme du professeur.Il avait eu peur de s'engager des années auparavant et s'était enfui (on peut le dire) pour rejoindre la fédération et avoir la carrière qu'on lui connait.
La brèche temporelle sera colmatée par Data (et non pas fermée, aberration comme il le souligne), le seul capable de se synchroniser correctement et de choisir à quel moment agir.

Un épisode qui relate parfaitement une expérience scientifique qui devient incontrôlable, et qui peut avoir une incidence importante, et qui plus est, sur le continuum, les évènements,...
C'est un épisode intéressant.

ah oui c'est vrai, il était sympa celui là

et il montre Picard sur un autre jour du genre qu'il n'est pas qu'un officier de star fleet

J'adore le jeu de Stewart et ici, il révèle encore ds palettes insoupçonnées. Comme son regard brille, à l'air jeune, comme sa bouche peut en un plissement refléter des émotions fortes comme la surprise ou le renoncement, comme l'amour ou la tristesse.
Stewart est ici un énorme monsieur.
Alors oui , la brêche temporelle est le prétexte de cet épisode, et effectivement, la breche sentimentale est le fond.
Et j'adore.

J'aurais aimé qu'on développe davantage la réaction de Crusher, c'est le bémol de cet épisode par contre les décors sont superbes !
L'accent français en V.O. d'Edouard le barman va merveilleusement bien avec ce Paris du futur que j'aurais aimé voir davantage, ainsi que la résolution du mini drame métaphorique de la fille esseulée à la table à côté de celle de Picard.

Une très bonne musique, une excellente mise en scène, des acteurs parfaits, un scénario sur deux niveaux qui commence à se complexifier au fur et à mesure que TNG progresse, bref que du bon.

Je note 9
Un très bon moment Trek pour moi

Un épisode particulier à mes yeux, c'est mon premier vrai épisode TNG. Comme je l'ai dit dans un autre sujet, je suis un fan de Casablanca dont le script ici , reprend les grandes lignes. C 'est aussi un épisode que j'ai découvert à l'Hopital et sous morphine. je vous laisse imaginer l'effet, j'étais plutôt dans la quatrième dimension à ce moment là, que j'ai cru que les Data qui se triplaient à l'écran étaient le fruit de mon imagination ! La 3D sans les lunettes !!

Cet épisode m'a donc profondèment marqué, tant et si bien qu'à la sortie de l'hosto, je n'avais plus qu'un seul désir découvrir TNG . Ca tombé plutôt bien , Star Trek First Contact sortait sur les écrans !

A noter aussi que Michelle Philips qui joue Ingrid Berg.. Euh pardon , Jenice Maheim n'est d'autre que la chanteuse des Mamas & Papas .. Vous savez California Dreaming...

Je me rallie à l'avis général, un épisode très sympathique à regarder, avec une histoire personnelle et une intrigue bien SF comme je les aime.

J'ai aussi tendance à voir les limites du personnage de Deanna dans cet épisode, symptomatique de son manque d'apport. D'ailleurs elle se fait jeter dans les cordes par Picard (lorsqu'elle lui propose une pseudo-psychanalyse au début de l'épisode) puis par Beverly (lorsqu'elle veut en savoir plus sur ce qu'elle ressent pour le Capitaine).
Bref, ni le Capitaine, ni Beverley n'ont besoin d'elle et lui font bien sentir. J'adore ! gnark gnark. Mais pourquoi suis-je si méchant ? gnark gnark

Un épisode au double sujet interessant, et comme vous dites ça se rejoint : brèche dans le temps et dans le cœur d'un vieil homme (enfin vieux, façon de parler. Il dit que c'était y'a 20 ans, il en aurait donc 40 ??? Il faut plus que ça).

Comme le dit si bien Archy, le jeu de Stewart est encore une fois superbe, très prenant. On devine tout ce qui lui passe par la tête -et le coeur. Bravo

Côté histoire du temps détraqué oulà, c'est le genre d'épisode où tu te dis "j'ai rien compris" Parce que quand ils se croisent dans l'ascenseur (moment très fun) ils se voient. Donc là y'a deux moments-temps qui se mélangent, et je reste perplexe à savoir si on est passé dans un monde parallèle ou pas, peut être rien que quelques instant puis tout reprend son court. assez vertigineux en tout cas.
J'ai adoré quand Data qui dit qu'il n'est pas désorienté, et l'autre Data qui répond moi non plus

Bref un 9 pour moi

Une catastrophe dans un centre de recherche scientifique ouvre une fissure "dans une autre dimension" et déclenche des effets étranges sur l'espace et le temps. Les effets se font sentir à plus d'une année-lumière de l'Enterprise, provoquant la répétition de brefs instants. L'Enterprise fait des recherches et découvre que les expériences du brillant (et déterminé) professeur Manheim ont terriblement mal tourné. Seuls lui et sa femme Jenice ont survécu au désastre. Changement de personnage : Jenice était un ancien amour de Picard, avant de s'embarquer avec Starfleet, il y a plus de 20 ans.

C'est le premier épisode de manipulation du temps de TNG (et pas le dernier), et comme les épisodes de ST le montrent, il est trop simple, direct et arbitraire pour que nous soyons vraiment fascinés. Il y a quelques gags amusants liés au temps, comme lorsque Data, Riker et Picard attendent un ascenseur à turbines, pour se retrouver à l'attendre à nouveau, tout en étant dedans. La scène la plus intéressante de la série. À tel point qu'elle mériterait un sujet à elle seule pour en débattre. Avons-nous vu le passé ou le futur ?

La solution de la "crise" est trop simpliste, sans énigmes intrigantes à résoudre pour les personnages ou le public. En gros, ils donnent à Data un bidon qu'il colle dans une salle des miroirs ; problème résolu. Même si la scène est magnifique. Parlez de vos solutions bien ennuyeuses pour faire face à une "porte vers une autre dimension" peut-être que ce sera exploité dans PIC.

Parlons d'un point positif. Y a Michelle Phillips des Mamas and Papas ! Et ça, c'est cool.

L'histoire est un peu intéressante, car son seul avantage est qu'elle tente d'explorer un peu la jeunesse de Picard. Voici un jeune homme qui avait peur d'être attaché par une femme et donc condamné à une vie ordinaire ; je suppose que certaines histoires sont intemporelles. Mais j'en ai assez des séances de conseil ennuyeuses de Troi. D'abord, elle confronte Picard sur le pont au sujet des sentiments personnels qu'elle ressent de lui. Plus tard, elle demande à Crusher (pas avec autant de mots) comment elle gère sa jalousie envers Jenice. Il est temps que quelqu'un dise à cette Bétazoïde intrusif de se tenir à l'écart des affaires personnelles des autres afin que cela n'affecte pas le fonctionnement de l'équipage.

Un épisode sympa, mais sans plus qui ne mérite pas plus de 5.

J'y ai vu des choses intéressantes, aussi j'ai mis 7. On découvre de mieux en mieux les capacités du holodeck et je trouve ça sympa. Le coup des distorsions temporelles était pas mal aussi, et je ne peux m'empêcher de me poser une question : vu qu'il y avait trois Data pour résoudre le problème, lequel est revenu ? Le "vrai" ? Ou les trois ont-ils chacun réussi, retournant chacun vers sa propre dimension.

En apprendre plus sur Picard fut chouette aussi, avec ce rendez-vous manqué plus ou moins honoré.

Un bon moment.

"Amour gloire et ... temporalités"

Impressionnant ce vécu de présences multiples.

L'Ambigüité du Professeur Mannheim :
Ces expériences sont extraordinaires mais
elles le font terriblement souffrir.

J'ai mis 7 à cet épisode.

Je suis un peu restée sur ma faim. J'aurais voulu qu'on creuse davantage le thème de la distorsion du temps et des brèches entre les mondes parallèles (difficile de ne pas penser à Pullman, A la croisée des mondes) et au désordre qui s'en suit, plutôt que de s'épancher sur les amours déçues de Barbie et Dr Steel.

Mon mari est à l'agonie, le temps part en lambeaux et tout ce que j'ai de plus pressé à faire, c'est d'aller demander à mon ex pourquoi il m'a posé un lapin ... mouais, mouais !

C'est assez amusant de regarder le passage du Holodeck en V.O. avec un serveur qui peut très bien parler comme un Français et un Jo-louc Picâh qui y arrive moyen.
La fille sur la terrasse qui attend son petit ami qui viendra pas, je me suis demandée si elle était vraiment habillée, parce que son top faisait l'effet d'un cache-minimum.


Dans l'ensemble, l'épisode est plutôt pas mal.

La V.O. ça peut être sympa des fois mais pas avec ST
parce que justement le personnage en 1ère ligne
c'est Jean-Luc Picard et il est français.

D'où la gêne occasionnée quand on est soi-même français.