Juste un pti mot pour dire que j'adore la chute finale de cet épisode (sans ça il serait d'un classique pénible). Là on a de l'originalité, et une mentalité vraiment 'autre'. J'aime bien cette idée d'un peuple mathématique, communicant comme des ordinateurs tout en ne devenant pas des androïdes inhumains.

J'avais beaucoup aimé cet épisode,Picard et Riker y ont la vedette et ils sont trés efficace.C'est aussi dans cet épisode qu'apparait la ravissante Minuet.Un des bons épisodes de la premiére saison.

Julius a écrit:

J'avais beaucoup aimé cet épisode,Picard et Riker y ont la vedette et ils sont trés efficace.C'est aussi dans cet épisode qu'apparait la ravissante Minuet.Un des bons épisodes de la premiére saison.

Ahhh Minuet
Très joli épisode, l'une des premières phrase construite de Worf

Je crois que c'est mon épisode préféré dans la saison 1... J'adore l'idée d'un peuple qui a tellement développé l'informatique qu'ils se sont tranquillement transformés. La communication entre les deux de la même paires est très intéressante... des fois ça va si vite dans ma tête que j,aimerais avoir le petit gadget pour que mes doigts aille aussi vite que mes idées...

Question: je me demande bien quel peut-être leur mode de reproduction... quel peut bien être la place de l'ordi la-dedans... J'avoue je suis bouche-bée...

"Un aveugle qui apprend à faire de la peinture à un androïde, ça vaut bien quelques pages dans le manuel d'un grand historien."

ça c'est du Star Trek

j'ai bien aimé aussi, un peuple original, peu décrit mais séduisant, une guest de qualité ( Carolyn McCormick), des dialogues très bons, des décors généraux sympas (tout droit sortis de Star Trek 3), que du bon.
La french touch me ravie aussi.

A savoir, on retrouvera l'espèce Bynarie citée dans ENT dans le célèbre "Regeneration"
Et l'épisode TNG "Future's imperfect" fera un grand écho à cet épisode.

Du très bon Star Trek, c'est pour moi un épisode "vitesse de croisière" , je met un 9, j'ai beaucoup aimé.

J'ai bien aimé aussi cet épisode, avec les Binaires qui qont vraiment originaux, l'histoire est bien tissée, les jeux de rôles agréables,...
Que du bon pour moi, donc je met un 9

Un bon épisode mais quand même un peu longué... 8 pour moi

Bon épisode ... mais il n'est pas logique que les binaires n'aient pas confiance en ceux pour qui ils travaillent

8

Non c'est justement toute la saveur de l'épisode.

Les Binaires c'est 1 & 0 , C'est oui ou non , il n'y a aucune place pour le peut être. C'est justement cette infinitésimale
que Starfleet puisse dire non qui les pousse à voler l' Enterprise .

Un de mes épisodes favoris. Dans le meilleur et le plus mémorable des épisodes de la saison 1, l'Enterprise accoste à la base stellaire 74, où ils font corriger un certain nombre de problèmes informatiques alors que la plupart des membres de l'équipage partent en permission à terre. Quatre Bynars, d'une race particulière (non binaire ), aident à effectuer les réparations. Ils sont tellement interconnectés avec leur technologie informatique qu'ils se parlent directement entre eux en code numérique à grande vitesse. Les Bynars représentent la première espèce extraterrestre originale, bien conçue et vraiment intrigante de la série. Le mystère qui entoure les Bynars est vraiment fascinant.

Rirkeramour est de retour. Et, on peu le dire, c'est un épisode Rikerien. Mais il est amusant. Avec "11001001", nous voyons enfin la série tourner à plein régime, avec tout ce qui s'y rattache, de l'intrigue au personnage, en passant par l'utilisation judicieuse de la technologie et l'action. Nous avons l'impression que ce sont de vraies personnes dans un univers réel. L'univers peut être fictif, stylisé et fantastique, mais l'histoire croit en elle-même et les personnages semblent réels. Les Bynars, qui ont un but caché, distraient Riker avec une simulation de holodeck dans un salon de jazz de la Nouvelle-Orléans du milieu du 20e siècle, qui met en scène un public d'une personne - la belle et charismatique Minuet.

Les scènes du club de jazz créent à elles seules un petit univers atmosphérique si convaincant qu'elles nous entraînent complètement dans l'arc émotionnel de l'histoire - la question de savoir si un personnage de holodeck peut être si réel que Riker peut en tomber amoureux. Picard visite également cette simulation de holodeck, et pour la première fois peut-être dans la série, nous le voyons lui et Riker comme des personnes en trois dimensions plutôt que simplement "le capitaine" et "le premier officier". Ironiquement, cette percée en 3D est jouée contre un personnage de holodeck.

C'est marrant de voir l'épisode en vo et d'entendre sir Stewart dire: "au fond nous sommes tous Parisiennes".

Pendant ce temps, les Bynars volent l'Enterprise en mettant en scène une catastrophe technique imminente qui nécessite l'évacuation immédiate du navire. C'est une mise en scène qui est en quelque sorte fascinante en raison de ses détails opérationnels convaincants - sans parler du fait qu'elle est totalement intégrée à l'intrigue (en contraste flagrant avec, par exemple, la séparation de soucoupe inutilement étirée dans "Encounter at Farpoint").

Un épisode mythique qui mérite les 10+++ de l'amour.

Les binaires, je trouve que c'est un chouette concept. Mais les regards en coin qu'ils balancent à Crusher fils, responsable de la passerelle, ne m'augurent rien de bon...

Quel connard, ce Riker, avec ses moqueries sur Geordi, un aveugle, qui apprend à un androïde, Data, à faire de la peinture !

Alors, un très bon épisode à es yeux, qui vaudra bien un 8. Entre les binares qui veulent sauver leur monde coûte que coûte, Picard & Riker prêts à faire sauter le vaisseau, le nouvel holodeck avec Minuet, ça a donné beaucoup de choses intéressantes.

Ce peuple de Binars m'a beaucoup intrigué.
Dommage que leur intention était de voler l'Enterprise.

Ce ne sont quand même pas des Ferengis.

J'ai mis 7 à cet épisode.

Je devais avoir quinze ans quand on m'a expliqué au cours de maths ce qu'était le sytème binaire, le calcul en base deux et son intérêt pour l'informatique.
Pour communiquer avec un ordinateur on utilise le système le courant passe (1) ou il ne passe pas (0)

C'est cette notion qui m'a un peu gênée quand j'ai vu le couple de Bynars qui fonctionnent comme des inséparables parce que leur espèce s'est développée en symbiose avec un ordinateur.
Binaire ne veut pas dire binôme.
Heureusement que la notion de "binarité" est rappelée à la fin de l'épisode : c'est oui, ou c'est non.

A part ça, si j'ai trouvé intéressant que Star Trek se détache de son humano-centrisme en introduisant une autre espèce dans une base Starfleet, ce qui m'a pompée souverainement c'est le passage au holodeck.
Mais qu'est-ce qu'ils ont les scénaristes de Star Trek à faire une fixette sur de la musique surannée qui personnellement me tape sur le système  ? ♫ Pling, plong, plong !♫ et Riker joli coeur est au nirvana.
C'est pas la seule série ST où on vient nous souler avec du jazz.

Et puis, pitié, le discours sur Paaaaris et les "nous sommes tous Parisiens" de Jean-Luc ... l'Étasunien qui a pondu ça n'a jamais mis les pieds en France. S'il savait dans quelle mésestime la plupart des Français tiennent les Parisiens... :  :fume: :

Et puis il y a Minuette, au masque de chat. On se demande bien ce que Bill lui trouve, parce que personnellement     elle me fait penser à un pékinois. Bill-vesée va donc se tortiller entre les bras d'un amas de photons qui sentent bon en perdant tout sens des réalités et il partagera son tas de photons avec Jean-Louk qui partage aussi son mauvais goût :p

Etrange que les Bynars n'aient compté que sur Riker-joli coeur pour remettre leur machinerie en route alors qu'il faut être deux pour cela. Heureusement que le capitaine s'est fait piégé dans la toile de la belle(?)  araignée photonique.

Ce qui est assez poilant c'est de voirPicar et Riker marcher  vers la passerelle en copiant leur démarche l'un sur l'autre, comme s'ils étaient deux pour le prix d'un, devenus bynars à leur tour.

Autre remarque anecdotique : à ce stade, pour être capitaine à Starfleet il faut être grisonnant et avoir le crâne dégarni (cf le commandant de la station )
Sinon, ce n'était pas désagréable à regarder.

Lourima a écrit:

Je devais avoir quinze ans quand on m'a expliqué au cours de maths ce qu'était le sytème binaire, le calcul en base deux et son intérêt pour l'informatique.

Je vois que tu as compris le principe.
C'est la base de ce qu'on appelle 'Le langage machine'.

Lourima a écrit:

Et puis, pitié, le discours sur Paaaaris et les "nous sommes tous Parisiens" de Jean-Luc ... l'Étasunien qui a pondu ça n'a jamais mis les pieds en France. S'il savait dans quelle mésestime la plupart des Français tiennent les Parisiens... :  :fume: :

Non, c'est pire. Il dit "nous somme tous parisiennes" AAARRRGGG l'english accent

Un bon épisode. J'ai beaucoup aimé le "vol" de l'Enterprise au nez et à la barbe de l'équipage du vaisseau et de la base stellaire.

Quant aux Bynars, ils apportent de l'originalité dans l'épisode.

7 sur 10.