bof bof bof ... très classique comme scénario, les Crusher sont aussi expressifs que des portes de prison , pas d'intrigue ou si peu...

Le seul bon moment pour moi, Data en Sherlock

je ne m'étendrai pas, je n'ai pas aimé du tout. Je mets un 1

Idem pour moi, cet épisode me laisse de glace, il y a une intrigue molle et plate. Je n'ai pas du tout aimé .
Donc je met un 2

En négatif :

-comme dit Archy le jeu des Crusher (à se tapper la tête contre un mur )
- comme dit T'luvik l'intrigue très molle, et qui plus est vu d'avance...
- Un ensemble inintéressant (ça fait vraiment épisode 'bouche trou')

En positif :

- Data en Sherlock homes... « c’est élémentaire... mon cher Riker »
- Finalement un épisode plutôt rythmé vu que j'ai pas eut un sentiment de longueur qui n'en finit pas
- Un Picard 'possédé'.

Bref, ma note est de 3 (mais ça pourrait être 4).

Premier bottleshow de TNG, mais néanmoins épisode matriciel :
Une forme de vie piègé par le vaisseau qui prend possesion de quelque chose ou de quelqu'un pour rentrer chez lui.
Cette formule sera déclinée en variante de TNG à Enterprise. je peux vous citer comme ça : Heroes & Demons.VOY.1 ou encore Vox Sola.Ent.1

Une petite touche charmante de TAS avec les anthropomorphiques Anticans et Selay ( les caninés VS les reptiles ) , la première apparition ( non crédité ) de Marc " Gul Dukat " Alaimo ( l'ambassadeur Antican , c'est lui sous le masque) . Une autre sympa de Colm Meaney/ O'Brien qui fait la police dans les corridors.

Niveau continuité, c'est ici que Data découvre et se passionne pour " Sherlock Holmes " . On apprend aussi le goût de Picard pour la littérature policière (..Exploité plus tard avec l'holoprogramme Dixon Hill ).

Pour le reste de l'épisode..Ca manque cruellement de rythme, et cela n'est pas aidé comme vous le dites par des jeux d'acteurs plutôt pitoyable ( et pas que les Crusher ).. Heureusement que Patrick Stewart et Brent Spiner sont exceptionnels, malgré la pauvreté du matériel.. Spiner est tout simplement irrésistible quand il se prend pour Sherlock Holmes.

Un 6 , mais un bon 8 pour Brent et Sir Patrick.

Revu aussi...
Et je rejoins les avis exprimés plus haut (et il y un bail ) : c'est loin d'être le meilleur de la première saison !
A la fin, on apprend même qu'un des délégués a servis de repas à l'autre délégation sans que cela ne bouleverse grand'monde

C'est vrai que cet épisode marque le point de départ du cycle "Sherlock Holmes", même si c'est encore un peu poussif. Moment drôle quand même : O'Brien qui s'interpose entre les deux délégations qui se haîssent
D'ailleurs, c'est assez curieux que ces deux-là soient candidats pour intégrer la Fédération alors qu'ils sont toujours prêts à se rentrer dedans ?

Bref, je mets un 3.

Un épisode qui commence très bien. Deux espèces qui se haïssent, les Selay et les Antican, une étrange forme de vie qui met Worf K.O. et le possède. Et Picard qui doit se démerder avec tout ça.

Il est intéressant d'observer que les Antican peuvent trouver barbare ce qui nous paraît évoluer pour nous. C'est ce que l'on appelle le choc des cultures.

C'est aussi l'épisode des premières.

Ce sont les premières apparitions du Dr Crusher en tenue civile et en étant possédé,  et ça, c'est assez cool.

C'est la première fois que Data s'intéresse à Sherlock Holmes.

Il est vrai que les éclairs bleus font très kitch aujourd'hui et très "retour du Jedi" aussi.

Il est tout aussi intéressant de suivre à la fois l'être perdu dans ce vaisseau que l'histoire des Selay et des Antican. Il est juste dommage qu'on ne s'intéresse pas plus à l'histoire ces deux derniers.

La résolution de l'épisode va un peut trop vers la simplicité.

La fin de l'épisode rappelle tellement une fin à la TOS.

Il en reste un très bon épisode qui mérite un bon 9.

J'ai mis 7, j'ai trouvé le tout sympa. Je vois toujours les mêmes défauts des jeux d'acteur depuis le début (Crusher mère et Yar, surtout).

L'épisode en lui-même est pas mal du tout, entre la problématique déjà vue dans TOS "comment destituer son capitaine", qui n'est jamais simple, et l'antagonisme entre les deux races qui trouvent leur conclusion à la fin... et là, pas de happy end ! Et le Picard retrouvé qui refile le bébé à Riker, j'ai trouvé ça pas mal : d'une part, ça fait incongru de la part d'un capitaine, mais ça nous permet de voir en quelle très bonne estime Picard tient déjà Riker. Je crois d'ailleurs que c'est le premier épisode où Picard appelle Riker "Will" (ou dans le suivant, je ne sais plus : quoi qu'il en soit, ça dénote déjà une évolution dans leur relation).

Ce qui me fait penser à un truc concernant Riker, mais qui ne concerne pas cet épisode mais plutôt le premier : dans la novélisation du pilote, Riker était présenté comme un ambitieux (mais néanmoins compétent), dont le but clairement avoué était de battre le record de Kirk, devenu le plus jeune capitaine de la Flotte à 29 ans.

Minos a écrit:

Je vois toujours les mêmes défauts des jeux d'acteur depuis le début (Crusher mère et Yar, surtout).

ça ira mieux en saison 2 pour ces deux là

Fort intéressant.

Data est un peu ridicule en Sherlock Holmes.

Négociations en cours et rencontre d'une nouvelle
forme de vie.

J'ai mis 8 à cet épisode.

C'est un plaisir de se replonger trente-quatre ans en arrière.
La SF de cette fin d'années 80 ...
J'ai été attentive à la musique de fond.

Saison 1, premiers uniformes et aussi tenue de cérémonie des officiers pour accueillir les deux délégations hautes en couleur : les lézards et les singes chevelus carnivores.
Cette intrigue secondaire en devient un running gag.

Reste l'histoire de l'entité arrachée à son univers. Je n'ai pas très bien compris le délire qui consistait à emporter Picard dans le nuage.
Surgit le concept de l'empreinte laissée dans le téléporteur.
Je me suis demandée pourquoi Crusher hésitait tellement à déclarer Picard inapte.
Dans TOS McCoy répète à l'envi qu'il a tout à fait le droit de mettre Kirk au pas.

C'est aussi un plaisir de voir Worf dans ses premières apparitions quand on sait comment le personnage va évoluer.
Là, son maquillage ressemble à du replâtrage et sa coupe de cheveux est encore simpliste.

Data jouant les Sherlock Holmes avec sa pipe a quelque chose d'ubuesque : il faut la pipe pour incarner le personnage.