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"Je suis... Je suis Brahms !"
Ouh la la, quand j'ai entendu ça... il faut savoir que j'étais fan de Brahms avant d'être fan de Star trek !

la valse en mi mineur, écrite de la main de Brahms... une oeuvre inconnue. que je ne connais pas effectivement. jolie petite sonate, je me demande qui l'a écrite...

https://www.dailymotion.com/tangiwarhol/video/x72p2g_je-suis-brahms_music

La fin de la saison 3 me semblait un peu morose ... cet épisode relève notablement le niveau

L'immortalité, ... les émotions .... et tout se termine par une touche de philosophie de Bones

excellent épisode ! on pourrait faire un parallèle avec le film "planète interdite" : le robot à tout faire, la jeune fille idéale, le vieux savant qui cache une grande connaissance...Le personnage immortel est traité de façon intéressante.L'histoire est prenante grâce aux point de vues différents sur "Brahms" et la jeune femme, que ce soit Spock, McCoy, et Kirk le sentimental.Les décors améliorés de la version remasterisés font peintures mais passent bien dans l'ensemble

J' ai adore cet episode, il est vraiment passionant !
Je le mets dans mon top 3 avec "assignment earth" et "let that be your last battlefield" .

Je veux une rayna !!! <3
Lol

Ah, une épidémie, voilà un thème qui nous est familier ces jours-ci ! Fièvre rigelienne, donc, avec 3 morts et 3 agonisants, et un principe actif à rechercher sur une petite planète sinon tout le monde meurt à bord. OK. Sur la planète, attaque d'une sonde, fuseurs inopérants, et un type à apparence humaine nommé Flint qui ne veut rien avoir à faire avec l'Enterprise et dit à tout le monde de dégager, sinon il les anéantit. Sympa, l'hospitalité !

Kirk fait le kéké et menace de le tuer, ainsi que lui et les siens, et son discours sur la peste sur Terre indique clairement qu'il y était... et il s'assagit assez pour permettre à Kirk & co de rester deux heures. Bon, jusqu'ici tout va bien, j'ai même le sentiment que l'épisode peut se terminer, les gentils ont gagné. Mais j'ai quand même un doute, l'épisode est commencé depuis 5 minutes 15 secondes.

Le château du bonhomme. Trop la classe, dont... un écran plat ! Visionnaire, Star Trek ! Aïe, y'a une nana qui les observe, et elle semble avoir flashé sur Kirk. Ça faisait longtemps -_-

Nan mais quels bourrins, ces humains ! Ils trouvent un vieil armagnac et décident de se servir sans rien demander à personne ! Ça va, les gars, vous êtes à l'aise ? Foutez-vous en calbute devant la téloche, tant que vous y êtes !

Le Flint est intriguant : non seulement il a vécu sur Terre, mais il possède un tas d'oeuvres de Terriens connus, oeuvres inédites. Bon, le début de la partie "château" est chiante, le rythme retombe trop. Ça repart quand le remède issu du minerai, traité par la sonde-à-tout-faire de Mathusalem, s'avère défectueux. Flint décide d'y aller lui-même, ce qui est tout à son honneur, accompagné par McCoy. Peut-être bougon, le bonhomme, mais finalement sympa. Je me demande s'il ne va pas devenir jaloux de Kirk qui drague sa "pupille" Rayna.

OK, Kirk roule un patin à Rayna, la sonde vient lui mettre la pression et Spock la détruit. Nan mais les mecs, sérieux ??? Mouarf, Flint n'est même pas vexé, genre il s'excuse pour le quiproquo et hop, sort une nouvelle sonde de sa manche ! Il est zen, ce gars : à sa place, ça fait longtemps que j'aurais viré ces butors de Terriens !

Ah, Spock a des résultats : Flint est humain... avec quelques modifications, genre il a 6000 ans. Encore un type en route vers l'immortalité, un leitmotiv de la série. Et après moult péripéties, on apprend que Flint a été un certain nombre de génies humains. Passionnant ! Et il ne veut pas les laisser repartir car sinon, c'est sera fini de sa tranquillité. L'Enterprise miniaturisé, c'est énorme, j'adore !

Aïe, la fin part en sucette : Flint a fait exprès de mettre Kirk et Rayna en contact pour qu'elle développe des sentiments, et ainsi c'est lui qui en aurait profité. Et il se bat contre Kirk : il est censé être deux fois plus fort, avoir été un guerrier depuis des millénaires et pourtant, ça donne un combat serré. Rayna comprend qu'elle a son libre arbitre et, n'arrivant pas à choisir, s'auto-détruit. Flint est redevenu humain, parce qu'il a quitté la Terre et les conditions initiales qui l'avaient rendu immortel. McCoy balance à Spock qu'il le plaint car il ne connaîtra jamais l'amour et hop, Spock fait une fusion mentale en loucedé à Kirk endormi... pour savoir ce que c'est ?

Un très bel épisode, hormis la fin (mais pas trop dérangeante non plus). Ça vaut bien un 9 !

Je viens de le regarder.
La prise de bec en mode wesh-wesh de banlieue entre Kirk et le Prince de Lu chenu ... ouais, bon ... humpf ! ... un peu ras des paquerettes
Kirk amoureux d'une poupée qui ne redescend pas son trip ... oui, oui, c'est facile d'y croire dur comme fer.
Et puis Spock qui tente une petite fusion mentale pour savoir ce qu'est être amoureux après les considérations du vieux toubib en mode psy pour magazine féminin ...
Rien ne nous aura été épargné.

Comme quoi, les ressentis des uns et des autres...

Il y a des choses qui sont bien : Data, avant l'heure, mais en mieux. Le drone avant la lettre.
Le thème de l'immortalité qui va revenir dans les séries dérivées.
Ça m'a fait plaisir de revoir l'acteur qui joue le Prince de Lu chenu, James Daly.
Mais les points que j'ai énumérés plus haut, chez moi ça ne passe pas. Cela a fait retombé le soufflé.

Le problème, c'est que chacun des épisodes est très riche dans bien des domaines... pour le meilleur et pour le pire.

C'est tout de même plus convaincant en VOSTF qu'en VF.
L'altercation première entre Flint et Kirk est tout de même moins téléphonée.
Spock fait figure de couteau suisse. Il est incollable sur tous les sujets : l'histoire, la science, l'astronomie, l'art ... et le piano ^^
Expliquez moi l'intérêt d'écrire une partoche à la main et à l'encre au XXIIIe siècle ! Bibi au XXIe utilise un logiciel  pour ça, c'est propre et net

Un peu dur à avaler aussi le fait que Da Vinci et Brahms n'aurait pas eu d'enfance et que personne ne s'en serait aperçu

L'androïde qui se saborde parce que trop d'émotions ... ben c'est peut-être un peu too much.
Dommage que l'androïde suivant dans la saga, à savoir Data, soit si peu humain en regard de Rayna.

La scène finale également. Kirk qui ne se désamoure pas de sa poupée articulée, moyen, moyen.
Qui tombe endormi ? ! ... crédible au plus haut point !
Spock qui ne saurait pas ce qu'est l'amour, alors que Sarek aime tout de même une humaine et que Spock montre tout de même de l'intérêt pour Droxine. (quand on regarde les épisodes par ordre de production et non de diffusion)

Il y a juste la fusion mentale de la fin qui prend un autre sens qu'en VF : forget ! oublie !
Spock veut soulager son ami des affres de la passion.

Episode plutôt tranquille : pas de bataille, pas de bagarre, pas d'ennemis

Je veux ma prof de Billard !!

Si la cohérence laisse à desirer, cela se regarde sans déplaisir.

J'ai mis 7.

Toujours aussi mauvais diplomate ce Kirk en début d'épisode.
Il aura suffit de trois phrases à Spock et McCoy pour expliquer les enjeux et convaincre le vieux, là où Kirk n'a fait que le braquer en finissant même par le menacer.

Bon, on s'en doutait un peu, mais visiblement embrasser une gamine de 7 ans d'age mental n'effraie pas Kirkamour. Par contre, c'est une des rares fois où on sent Kirk vraiment épris (jusqu'à lui demander de partir avec lui, ce qu'il n'a jamais fait jusque là de mémoire, puis ensuite être violent avec le vieux). Et bim le coup de massue. C'est une androide.  

L'idée d'un humain accidenté de l'évolution qui peut se régénérer et qui a été de grands personnages de l'histoire est excellente.

J'aime bien la morale d'une femme parfaite créée pour satisfaire les envies d'un homme et qui finit par lui dire qu'elle est libre, qu'elle n'a pas d'ordre à recevoir et qu'elle choisira où elle ira. Kirk qui comprend ça (enfin). Bon, après avoir fait sa crise d'indépendance, elle meurt d'un coup. Une femme indépendante, une telle créature ne pouvait pas survivre très longtemps, le trop plein d'émotions et de contradictions a tué cette abomination  Donc on est encore loin d'un parti pris féministe mais disons qu'il y a un début.

Intéressant de voir un Kirk fondu d'une femme (encore plus que l'amérindienne) à en devenir violent. Puis désespéré au possible, effondré, en fin d'épisode. Amour impossible, il est marié à l'Entreprise. La dernière scène avec Spock qui vient le consoler par la suggestion mentale d'oublier, très belle je trouve.

Maintenant, ça tire un peu trop en longueur par moment. Un peu trop verbal. Pas d'intrigue secondaire, c'est peut être ça qui rend cet épisode un peu plus mou peut e^tre.

7/10