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ouh la la ! qu'est-ce qu'elle était belle, cette Diana Muldaur, au temps de sa jeunesse... presque autant qu'une autre Diana, toute de rouge vêtue !!!

Et bien moi je ne la trouve pas si jolie, que du contraire, c'est sans doute (une des) moins jolie que j'ai vu dans la série jusqu'à maintenant. En parlant d'elle, j'ai également eu un petit soucis de compréhension quand j'ai vu l'actrice (ré)apparaître, ce n'est que le jour suivant en faisant des recherches que je découvrais qu'effectivement elle ne jouai pas la même docteur qu'elle avais jouer lors d'un autre épisode précédent et qu'en plus je vais devoir revoir cette actrice rejouer encore un autre docteur quand je me lancerai dans la saison 2 de TNG lol
A côté de cela, l'épisode ne m'a pas marqué beaucoup, il m'a même ennuyé mais j'ai du mal à dire pourquoi... La fatigue du jour sans doute y a jouer un peu, j'ai du lutter pour ne pas fermer les yeux ^^

Moi un de mes épisodes préférés. Peut-être à cause de Koloth l’ambassadeur si laid qu'on en deviens fou.

pour moi un 9/10

Je le trouvai pas laid moi, on voyais de jolie couleurs ^^

Ah les années 60 ! À l'époque on te faisait un bon épisode de ST avec une visière rouge chelou, une boîte et quelques effets lumineux ! Pas besoin de tous leurs effets numérique à la noix ! Lol

En fait, j'aime beaucoup cet épisode à cause de son superbe scénario qui est tellement bien écrit que l'on oublie qu'il a été fait avec 3 bouts de ficelle et quelques lampes. On se laisse plonger dedans avec délectation.

Diana Muldaur est de retour, pour notre plus grand plaisir, et nous montre, encore, l'étendue de son talent d'actrice. Il est vrai que lors de sa précédente participation à la série, elle avait déjà eu la chance d'interpréter deux rôles différents dans un même personnage. On peut dire qu'elle a été gâter avec ST lorsqu'on connaît son avenir dans TNG. Il est d'ailleurs bien dommage qu'elle n'ait pas participé à d'autres séries.

Le fait qu'on ne voit pas l’ambassadeur Kolot, est pour ma part, un aveux du manque cruel de budget durant cette saison.

D'ailleurs, son nom sonne très... Klingon...

Dans l'ensemble, l'épisode se tient très bien. Et voir Spock sourire (sans sourire bêtement) est toujours un plaisir.

Je lui donne la note qu'il mérite. 9/10.

J'adore le concept de départ. Un non-humain qui ne peut pas être regardé par un humain sous peine de devenir fou, c'est chouettement trouvé. Il faut une visière spéciale pour que les Vulcains gardent leur raison, et voilà que l'ambassadeur débarque à bord d'une boîte genre boîte à outils. Bon, on va dire que ça économisera des effets spéciaux.

Intéressante, l'assistante de l'ambassadeur. Elle doit être en contact mental avec l'ambassadeur pour bien mener son job, et Spock, contacté avant elle, a refusé le job. Miranda Jones est télépathe de naissance et a passé 4 ans sur Vulcain pour dompter ses pouvoirs.

Elle sent quelqu'un qui a des envies de meurtres, mais ne sait pas préciser qui. Pour vite savoir que c'est son ex, Larry, qui essaye encore de la dissuader de partir. En vain, alors il va flinguer l'ambassadeur... sauf qu'il voit son visage.

La scène de combat dans la salle des machines est ridicule. Et le Larry qui propulse instantanément l'Enterprise dans une autre galaxie, c'est un peu beaucoup n'importe quoi... Et il meurt, paf ! Reste à savoir où tout ceci nous amène...

Impossible de rentrer à la maison... Ce n'est pas de là que vient le concept de VOY ? Sinon, Spock qui veut fusionner avec l'ambassadeur, spécialiste de navigation de par sa nature, semble être une excellente idée. Par contre, l'idée que Miranda va formellement s'y opposer et que donc il faut détourner son attention est plutôt ridicule. Elle devrait être remise à sa place. Et Kirkamour (comme dirait Kyokoko) envoyé pour l'occuper, ça tombe sous le sens, mais au sens super facilité scénaristique.

Par contre, le discours sur la beauté et la laideur (où se termine l'une pour laisser la place à l'autre) est pas mal. Et le fait que Miranda soit aveugle remet les choses en perspective. Le système (caché dans ses vêtements) qui lui permet de "voir" tout de même me rappelle beaucoup les futurs VISOR dans le concept, et c'est plutôt chouette.

L'ambassadeur est très sympa, sous les traits de Spock, et... hop, ils rentrent à la maison.

Par contre, l'ambassadeur a l'air plutôt séduit par le corps de Spock, qu'il emprunte, t par les interactions qu'il permet. Par contre, il plaint les êtres de chair vis-à-vis de la solitude à laquelle ils sont condamnés dans leur "coquille".

Spock qui "oublie" de mettre sa visière pour retourner voir l'ambassadeur, c'est ballot. Et qui se retrouve avec un esprit errant dans sa propre tête, et Miranda doit aller le chercher, après s'être fait mettre le nez dans son caca par Kirk, mouais.

Un épisode étrange, que j'ai envie de qualifier de ce simple "mouais". Ça manquait cruellement de peps, ai-je trouvé.

Bon épisode et puis, on est tous d’accord que rien que pour ça, l’épisode vaut le détour !

Clair : il est prêt pour aller au ski, le Spock !

Un épisode qui me laisse partagée.
L'idée que quelque chose puisse être laid au point de rendre fou celui qui le voit me laisse dubitative. C'est bien un concept qui est lié à l'époque. Comme celle d'enfants nés avec des malformations suite à une catastrophe et qui ont peur de voir leur visage défiguré, une ficelle qu'on retrouve dans d'autres fictions dans cette décennie (et qui ne tient pas debout : dans un monde où chacun est défiguré, on ne connaît rien d'autre, on n'a pas peur de son reflet)
Ce n'est pas pour rien que Kolos est Médusien. Méduse qui pétrifie qui croise son regard. Pourtant, pas de laideur à l'écran, juste un jeu de lumières plutôt agréables à regarder. Un choix qui étonne.

D'un autre côté, on a une très bonne actrice, avec un rôle ambigu : amoureuse, jalouse, possessive et hors d'atteinte. Plus télépathe que les Vulcains eux-mêmes, il faut le faire. Surtout que Spock n'est pas une petite pointure en la matière.
On a un Kirk qui se prendra un râteau monumental (bien fait !) quand il voudra la distraire en lui contant fleurette.

Un Spock qui oublie sa visière au mauvais moment (non mais quelle idée d'être aussi distrait) qui pète un câble et qui retrouvera le plancher de la raison grâce à une fusion avec Miss Jalouse Première.

Reste la question : où est la beauté et où est la laideur ? Le bien peut-il être laid et la mal beau ?
Puisque Kolos supposé laid est bon et Miranda belle à damner un saint est laide de jalousie.

Le tout est plutôt agréable à suivre.

"Télépathe ? Ah bon et vous êtes Bétazoïde peut-être ?"

A se demander si cet épisode n'a pas inspiré les créateurs
de TNG parce qu'il y a dans cet femme, 3 personnages :
- La télépathie de Deanna Troi
- La cessité et l'appareillage digne d'un Geordi Laforge
- L'exactitude numéraire d'un Data

Intéressant, sans plus,

J'ai mis 6 à cet épisode.

Le thème principal semblait être la laideur et sa (supposée) opposition au bien. Spock l'énonce même clairement vers la fin de l'épisode. Mais je trouve cette opposition absurde.

L'histoire reste intéressante tout de même. Cet ambassadeur m'a un peu fait penser à Kosh dans Babylon 5 (dont la vue pouvait aussi rendre fou si ma mémoire est bonne).

Bon, par contre pas d’explication sur le fait que le vaisseau ait été propulsé à warp 9 au-delà de la "barrière" de la galaxie.

6/10

On notera que l'espèce de l'ambassadeur, un Médusien, réapparaît dans la série Prodigy. Et que l'actrice incarnant Miranda Jones incarnera dans TNG le docteur Pulaski !