Un épisode mythique que je savoure à chaque fois que je le revois.
Les relations Sarek-Spock, Spock-Amanda et accessoirement Amanda-Sarek.
Sarek snobe son fils, mais d'un autre côté, ma chère femme, il faut quand même que l'équipage lui montre du respect ! Arrêtez de le mettre dans l'embarras. N'empêche que ses parents n'étaient pas là quand Spock a failli épouser T'pring, la coquette.
Et puis Sarek tombe malade, il n'a pourtant que 102 ans, Amanda fait du chantage affectif et Spock se ramasse une mandale de sa daronne. A son âge !
Sarek à l'infirmerie nous vaudra quelques faux raccords. On le voit couché mais en plan rapproché, il est assis.
Je ne sais pas qui a inventé ça, mais c'est un truc que j'apprécie particulièrement : le contact à deux doigts entres les époux vulcains. Ce jeu de toucher est un élément sous-exploité dans toute la saga.
On n'en retrouve qu'une trace que dans l'épisode où Spock essaiera de séduire une commandante romulienne. Le jeu de séduction se fait via les doigts. Ça a une toute autre allure que les fricassées de museaux habituelles.
Le double meurtre, l'affaire d’espionnage et le vilain vaisseau qui nous poursuit.
Tiens, le vilain vaisseau est passé en distorsion 10 sans que ses occupants ne deviennent des poissons à pattes, il faudrait le faire savoir à Tom Paris et au Voyager Non mais quel type, ce Kirk ! Un poumon perforé et il reprend les commandes de son vaisseau tout en interrogeant un espion pseudo-andorien.
C'est McCoy qui aura le mot de la fin en faisant taire tout le monde. Un passage qui m'a fait autant rire que celui du jeu entre Sarek et Spock commentant le comportement d'Amanda.
Au fait, ma chère Amanda, oui, il arrive à Spock de sourire, d'un coin de la bouche. Il y arrivait mieux en début de première saison.
Autre détail qui me fait hocher de la tête : il faut filtrer le sang de Spock de ses éléments humains. QUELS éléments humains, Miss Chapel ?!
Moi, je veux bien, mais Spock n'a pas de fer dans le sang, il n'a que du cuivre, son sang est vert.
Quelqu'un peut téléphoner à Fontana, pour lui demander ce qui lui a pris d'écrire un truc pareil dans son scénario ?
A ces impression disparatres, j'ajouterai le festival des aliens. Les nains dorés qui mettent des boules de plasticine dans un verre avant d'y ajouter on ne sait quel liquide, Gav et sa tronche de cochons, et puis les Andoriens et leur facies de sauterelles bleues.