La guerre pourrait bien être une interprétation, parmi tant d'autres, ou le refus d'interprétation, d'une communication, intra ou extra sensorielle, chez le sujet qui perçoit. Elle pourrait bien être, dans toutes les possibles combinaisons, interprétée ou non, donc évitée ou inévitable. Perceptible ou imperceptible, donc vécue ou non vécue.

De ce postulat, il n'existerait à mon sens qu'une seule guerre, la guerre des ressources, qu'elles soient internes ou externes, micros ou macros. La paix, elle, consisterait à, systématiquement, délocaliser la guerre, obligeant le sujet, l'entité, la fonction à se construire de toutes parts, à se structurer et, théoriquement, de façon harmonieuse avec son environnement.

L'espèce humaine subit cependant une évolution, pas très naturelle, qui la conduit à entretenir une guerre fonctionnelle et socialement basée sur l'exploitation de l'ignorance de l'individu, à travers notamment le gel de l'enseignement et la réquisition du temps de cerveau. Le sujet individu se trouve alors dans l'impossibilité de se développer structurellement et délocalise la guerre dans son conditionnement social, qui représente, littéralement, un retard de croissance de ses ressources internes.

Ce qui nous donne donc, l'échec scolaire en occident, la diplomatie religieuse du monde arabe. Beaucoup de combinaisons possibles donc, et de vastes débats en perspectives...  

Échec et diplomatie étudie une portion de la communication(la guerre) à des fins morales. Cette étude ne paraît pas intéressante à vue d’œil, puisqu'elle ne semble pas prendre en charge la fonction même de la communication. La guerre est bien délocalisée grâce à l'arrivée du vaisseau Enterprise. Mais nous ne savons pas où elle est délocalisée. La "bonne" marche de la guerre devrait théoriquement se distinguer dans le caractère prédictible de ses mouvements.

Si nous observons alors, plus attentivement, la guerre dans cet épisode, nous pouvons constater, qu'elle est accrochée à un fil dont l'extrémité dessine, une nouvelle dimension géographique de celle du spectateur, et qui nous montre, le déplacement de la guerre à travers les individus, les acteurs de la guerre. Là, nous pouvons à cette échelle, percevoir plusieurs blocs de communication. Ces blocs dessinent le modèle économique de cette guerre. Nous pourrions si nous descendions plus bas ou montions plus haut, parler de modèle micro et de modèle macro. Les interactions entre ces modèles dessineraient en quelque sorte, le modèle économique tridimensionnel de la guerre.

A partir de ce point de perception, nous pourrions commencer à parler de l'état de santé de la guerre. Si nous nous occupions de cet état là, alors nous pourrions offrir ou pas de la croissance à cette guerre tridimensionnelle. A ce niveau d'étude, on peut penser que l'individu est devenu autonome et capable de gérer son propre "PIB", il est capable de délocaliser consciemment la guerre. La paix et l’ordre intérieur, peuvent alors créer de la "richesse sociale". Comme beaucoup de sujet de société, la guerre est très mal perçue, parce qu'elle est en mauvaise santé et dans une configuration à deux vitesses.

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Ma citation préférée

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Je vais vous ramener les horreurs de la guerre. Les Vendikiens vont en déduire que vous avez rompu le traité et que vous allez engager un vrai conflit avec des armes réelles. Ils vont vouloir faire la même chose. A part que la prochaine attaque qu'ils vont lancer, fera mieux que ce que décidaient les ordinateurs. Ils vont détruire vos cités et dévaster votre planète. Vous allez bien sûr vouloir user de représailles. Si j'étais vous, je commencerais à fabriquer des bombes. Eh oui, Monsieur le conseiller. Vous avez une vrai guerre à portée de vos mains, où vous pourrez envisager l'usage d'armes bien réelles. Mais vous êtes à même de considérer une toute autre solution. Mettre un terme à tout ça. Bâtir la paix.

Ma note 8/10