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Trés bon épisode dans la tradition allégorique de Star Trek, qui revisite par le prisme de la SF, une page noire de l'histoire Américaine: les camps d'internemments pour les Japonais résidents au USA durant la Seconde Guerre Mondiale.

La première et seconde partie fonctionne trés bien, en partie grâce à la performance touchante de Dennis Christopher qui incarne Danik, ce père de famille fataliste , mais plein de dignité.

On aurait atteint le chef d'oeuvre absolu, si encore une fois, la fin n'était pas baclé. Une grosse poussée sur l'accélérateur & l'accent sur les gros "KABOOM!" nuisent terriblement à une conclusion , qu'on pouvait soupçonner plus réfléchi que ça sur le sujet.

Autre déception de l'épisode. C'est Dean Stockwell. On ne lui donne hélas que trop peu pour exploiter le talent de cet immense acteur. Le Colonel Grat est un personnage trés mal esquissé ( c'est un directeur du camp ou un agent des services secret? ) .

Le duo " Quantum Leap" Scott Bakula / Dean Stockwell n'atteint jamais des sommets enivrants.

Dommage.

76 % d'avis favorable.

Cet épisode relate de sujets intéressants : la détention "raciale", comme c'est le cas pour les Sulibans enfermés dans ce camp, bien qu'ils n'aient aucun lien avec la Cabale, ils sont traités comme si ils appartenaient à ce mouvement, simplement parce qu'ils sont Sulibans !
Par contre il est vrai que la fin à été quelque peu bâclée, mais bon, un épisode qui peut pousser à la réflexion.

Je met un 8

J'ai beaucoup aimé cet épisode... Très "Star Trek" a mon gout...

Hormis le plaisir de revoir le duo Dean Stockwell - Scott Bakula, c'est un vrai épisode de réflexion. Tous les Sulibans ne sont pas des méchants, et il faut réussir a surmonter ses aprioris, car nous en avons tous.

Ok ok, c'est un épisode à réflexion, limite philosophique, mais bon, une fois de plus, je m’ennuie. Ca n'avance pas tout ça. C'est mou.

Tout le monde est gentil gne gne.

Moi qui regarde Enterprise après avoir passé des mois à bord du Voyager, je trouve que tout ça manque d'action et surtout de poigne du côté de officiers.

Un 6 car l'histoire est importante, mais c'est tout.

Un très bon épisode, qui ne se démodera malheureusement jamais.

Les Sulibans sont emprisonnés car ils ont le malheur d'appartenir à la même espèce que les génétiquement modifiés de la Cabale. Enfermer un peuple pour soi-disant le protéger ne peut que nous rappeler des heures sombres de l'Histoire...

Une fois de plus, Archer choisit de laisser parler son coeur et sa compassion. Avec des conséquences potentielles intéressantes : Archer risque de marquer des points auprès de la Cabale mais ça, nous le verrons (éventuellement) plus tard...

Le petit plus, le moment plus léger : quand Archer reconnaît tout de suite Reed pourtant grimé, que cela vexe quelque peu^^

L'internement des Sulibans est en quelque sorte une référence discrète à la présence de Sulu sur l'Enterprise dans TOS et à la propre histoire de George Takei qui s'est retrouvé interné pendant la 2e guerre mondiale à cause de ses origines, alors qu'il n'était qu'un tout petit garçon.

D'emblée Archer a donné foi à la parole des Sulibans internés et s'est fermé comme une huître devant le directeur de la prison. Parce qu'il se trouvait du côté des prisonniers ?
Que risquait-il à donner les renseignements demandés ? Ils n'avaient rien de sensible non plus.

Je me suis demandé pendant un petit moment s'il n'y allait pas se produire un retournement de situation, du genre, un parmi les Sulibans est vraiment membre de la cabale, par exemple.

Mais non, l'histoire était linéaire ... et gentillette.

Tout de même, la question soulevée par le directeur lors de l'évasion est pertinente : une fois libres, qu'est-ce qu'ils deviennent ?

Moins mouvementé que prévu, on pouvait s'attendre à un jugement et
finalement pas besoin.

On en apprend plus sur Travis Mayweather, décidément bien sympathique.

Bluffant aussi le maquillage de Malcom Reed.

J'ai mis 6 à cet épisode.

Oho Dean Stockwell ! Si je m'attendais.

Episode qui amène de la nuance à la race Suliban et présente la très cardassienne race des tendariens.
Mayweather le formalise même en admettant avoir eu des préjugés en arrivant dans le camp.

J'aime assez le parallèle que fait Archer avec l'internement des américano-japonais pendant la GMII.
L'humanité encore émotive, et moraliste, qui aide les sulibans à s'enfuir plutôt que ne pas interférer.

7/10