Que faire quand son amie imaginaire s'avère être réel ? et que tous les adultes ne vous croie pas parce que c'est courant d'avoir une amie imaginaire ? Et quand en plus elle vous faire faire des bêtises...

Intéressante histoire, et l'amie imaginaire est inquiétante...

Oui, j'aime aussi le fait que ce soit un enfant qui se retrouve face à l'inconnu et à l'imcompréhension totale du monde des adultes.
Un épisode qui possède un certain charme.

J'sais pas trop pourquoi, mais j'ai eut un sentiment de déjà vu face au scenar. Et le tout bien qu'intriguant, était un peu fade à mon goût.
Donc j'ai mis 6.

Un épisode que je revois à la hausse. Remarquer que dans cette saison 5 de TNG, il y a beaucoup d'épisodes centrés sur les enfants. L'espace n'est définitiviment pas un endroit pour eux.. On leur demanderai même de grandir trop vite pour l'occasion.

L'épisode fonctionne plutôt pas mal du point de vue des adultes. Ou l'on voit à travers l'amie imaginaire de la petite Clara, le mal être d'une enfant sans attache, balotté d'un vaisseau à l'autre, régit par des codes, des interdits et des dangers ( des peurs? ) qu'on ne trouverait pas sur Terre. Difficile de garder une âme d'enfance, y compris à bord du big D, spécialement conçut pour accueillir des familles.

L'aspect science fictionnelle tombe un peu à plat , nuit à la bonne facture des thèmes abordés.. L'Amie Imaginaire de Clara aurait mériter plus d'ambiguité : Est elle réelle ou le fruit de son imagination? Dans l'état, l'épisode tranche en faveur du réel.. Oui définitivement, au 24 ème siécle on demande aux enfants à grandir trop vite.

Comme d'habitude, les scènes avec Guinan sont fabuleuse et pleine d' innocence. Gene Roddenberry n'est pas complétement mort.

Effectivement l'aspect effrayant , perturbant du déménagement constant pour Clara n'est pas ici exploité, il n'y a pas dans cet épisode justice pour ce sentiment difficile, cette angoisse d'inconnu, cette difficulté d'attachement impossible.
Par contre, j'ai trouvé le rythme de début sans rapport avec la dernière partie, beaucoup plus riche. Au début tout est très lent mais bien trop rapidement dit. Tout est compris très vite, tout est traité très lentement.
Ca aurait pu être plaisant si l'angoisse avait été élaborée, mais non, on nous ressert pendant 30 mn la même histoire sans avancer d'un pouce.

Je note 5 pour cette histoire au rythme narratif très inégal

J'ai toujours eu un problème avec les épisodes mettant en scène des enfants dans TNG. Physiquement tout d'abord , ils sont toutes et tous trop connotés " made in US ", comment faire autrement me direz-vous ? justement en essayant de trouver autre chose que des bonnes bouillles 100% américaines... Je trouve que l'épisode aurait davantage du mettre l'accent sur la vie de famille, forcément difficile, d'une petite fille qui doit suivre sans cesse les mutations de son père. Son père justement on ne le voit qu'en coup de vent et puis s'en va avec juste un petit tour chez le conseiller Troi. Un traitement à la Alexander & Worf aurait été pas mal mais je comprends parfaitement que cela n'était pas le thème central de l'épisode et qu'il quasiment impossible de traiter une relation père/fille en un épisode... déjà qu'une vie entière ne suffit pas... alors

KIRK a écrit:

J'ai toujours eu un problème avec les épisodes mettant en scène des enfants dans TNG. Physiquement tout d'abord , ils sont toutes et tous trop connotés " made in US ", comment faire autrement me direz-vous ? justement en essayant de trouver autre chose que des bonnes bouillles 100% américaines...

De bonnes bouilles Américaines de la côte ouest..Los Angeles, Hollywood précisément.. Je ne sais pas, si la franchise gagnerait à être délocalisé.. Au canada, en Nouvelle zélande par exemple. Quelque part , je l'aime sentant bon l' American Spirit mon Star Trek.. Même Picard le plus Anglais des Français reste une icône de la pop culture Américaine..

Certes oui , Lynch aussi , et on est (pourtant ? ) dans le domaine du génial, Harvey Keitel, Tim Roth, Steve Buscemi , Sean Penn, Dennis Hooper, le grand Clint etc, ont réussi à s'imposer comme icônes de la pop culture US et sont des monsieurs de l'art énormes tout ce qu'il y a de plus "américains" culturellement (je dis bien culturellement).

Franchement, c'est comme des shraders géniaux dela côte ouest, c'est comme un bon dream theater : à la fois standard gros carré comme une maison et aussi délire qu'un King Crimson.
C'est pas si mal les U.S. ... y'a pas que des républicains...

Archy a écrit:

C'est pas si mal les U.S. ... y'a pas que des républicains...

Bien entendu Archy... loin de moi l'idée de faire de l'anti américanisme primaire...

bien sur , ni moi du pro-américanisme

pour moi aussi , la tentation est grande de ne voir qu'un standard chez la façon de fonctionner us. Il y a du vrai je crois aussi : on reproduit ce qui "marche" et ce qui "marche" dans le ciné us, ça veut dire (bien sur) ce qui rapporte.

c'est les acteurs MacDo qu'on critique en fait , et ça je suis super d'accord.

C'est un épisode que j'avais déjà vu, mais je n'arrive pas à me rappeler quand.
Malheureusement, cette fois wiki-pied-plat ne donne pas les dates de diffusion en Belgique.
J'ai dû certainement en voir deux (plus ?) Data et Lore et celui-ci.

Il est un poil effrayant en surfant sur la vague de la poupée maléfique, même s'il s'agit d'une amie imaginaire.

Voilà bien une entité alien qui est un peu sournoise
mais s'en rend-elle compte ?

Heureusement, la jeune fille est pleine de bonne volonté et
n'hésite pas à communiquer à l'équipage ses soucis avec
son amie Isabella.

L'entité fait donc l'apprentissage de ce qu'est d'être humain et
en particulier le rapport adulte-enfant. Donc on arrive sur
une situation positive et une fin plutôt bien amenée.

J'ai mis 7 à cet épisode.

Mignon, anecdotique, peu intéressant.

Je mets 6.