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Le début commence avec humour : Worf qui donne des cours de drague à Jordi. "Les mots viendront plus tard... c'est par l'odorat que l'amour se manifeste en premier"

Et puis on découvre un personnage intriguant. Amnésique. On compatis à sa tristesse de n'avoir aucun souvenirs. On se demande qui il est, on est sceptique... et puis on se prend d'affection pour lui comme Beverly.

Enfin le final, la révélation. Sa mutation, est celle de tout un peuple qui évolue vers un nouvelle espèce. (ça rappelle l'Ascension de Stargate) On est émerveillé, un peu triste aussi. Une nouvelle vie vient de naître, et c'est beau.

Bref, un épisode réussis

ps : il y a deux sujets pour cet épisode, prière au modérateur qui passe par là de supprimer le doublon merci

Un épisode bien réussit, l'intrigue est remarquable, elle pose des réflexions sur l'évolution, la peur de l'inconnu.

Je met un 9

le titre ne dément pas l'épisode, quelle belle histoire et quelle belle métaphore sur les peurs sociales et les convictions qui résultent de ces peurs.
une superbe leçon d'humanisme où la haine doit être éloignée, la différence comprise, la paix restaurée. A ce titre, l'attitude de "John Doe" est exemplaire.

Dommage pour l'épisode que sa relation avec Bev' ne soit pas davantage exploitée, mais je pense que bien qu'en progrès, le jeu de Gates McFadden n'est pas encore visuellement assez élaboré pour cela. On perçoit quand même l'influence qu'elle a vocalement sur le jeu de Stewart car il imite ses intonations souvent dans leurs dialogues. Reste que le jeu de Stewart est extraordinairement plus développé , plus riche, foisonnant d'idées d'accentuations de mots , d'intonations, de rythme de paroles.
Par contre, le dialogue entre Wesley et elle à table est savoureux d'intelligence, et bien que le jeu de McFadden ne suffise pas pour me faire adhérer émotionnellement à son personnage, le dialogue est si bien écrit que l'émotion me gagne à travers lui, plus abstraite, moins formelle et référencée, à l'instar d'une musique non descriptive.

Les FX sont très bons, on est "dedans", il y a là une grande technique et qui plus est les maquillages sont sympas (ça fait deux épisodes qu'ils sont "remarquablement" bons je trouve).
Dommage quand même certains plans où les panneaux du lab tremblent un peu, révélant le côté factice de l'Enterprise I-Pad (en ce moment l'Enterprise me fait penser à un gros I-Pad).

Un bel épisode mais inégal et désservi par une insuffisance des acteurs principaux (McFadden en particulier ainsi que Burton qui ne montre pas là l'étendue de son talent, bien qu'en net progrès lui aussi), hormis le guest Mark La Mura bien sur qui s'en sort très bien.
Je note 7

J'ai bien aimé cet épisode, que aborde le sujet de la peur de l'inconnu et des conséquences qui en découlent...
L'intrigue ne manque pas d'attraits.
Je met un 9.

super scénario de Ron D.Moore je pense.l'épisode commence sur un mode mineur puis les enjeux deviennent très surprenants, et très modernes ! ou quand l'évolution fait peur...ou est comprise puis acceptée.L'illustration de "trop de lumière aveugle" en quelque sorte

Réné Echavarria , trop romantique pour être du Ronald D.Moore , c'est du Réné Echavarria pur jus, le romantique de la bande.. Comme je l'ai dit une plage de repos, pleine de simplicité et de candeur typiquement Roddenberrienne avant le choc brutal : The Best Of The Both Worlds !

je lui met un bon petit 8 juste parce qu'il est coincé entre deux chefs d'oeuvres Sarek et TBOTBW .

Pas mal du tout cet épisode. Ca aurait pu être tellement mieux si on nous avait évité la "romance" entre Mr "John Doe" et Mum Crusher, idem pour LaForge qui m'agace tout autant.

Mais la discussion entre les dirigeants du peuple du rescapé, Picard et le rescapé qui ne cesse d'évoluer, c'était vraiment top. Un beau message de tolérance.

Vu hier soir et j'ai noté 8. Je trouve qu'il y a un parallèle évident avec certains épisodes de TOS, où l'on a àffaire à des être "suprêmes" (Organiens, Trelayne, etc). Ici, pas d'évolution "logique" d'une société d'êtres physiques vers une apparence immatérielle, mais une transmutation, fruit de l'évolution "naturelle", ou une cassure, un nouvel état.

C'était très bien, notamment pour John Doe, toujours conscient de la vulnérabilité des gens et ne voulant surtout pas leur faire de mal... même ceux qui veulent sa mort.

Une ode à la différence et au dépassement des vieux dogmes.

A la découverte d'un étrange personnage ...
Episode très reposant, plein de poésie ...

Mais à la fois dérangeant (avis personnel) ...

J'ai eu du mal à le noter.

J'ai mis 5 (peut être plus proche de 5,5).

Je vais rejoindre ce qui a déjà été dit plus haut : on renoue avec la tradition des êtres immatériels apparue dans TOS.
Sauf qu'ici on assiste à l'évolution d'une espèce humanoïde vers une existence d'ampoule incandescente non corporelle.
C'est un très bon épisode.
Disons que j'ai eu du mal au début avec le fait que Geordi soit aussi confiant avec les femmes qu'un pré-ado boutonneux.