-

Le "Right Stuff" d' Enterprise ?

Dans l'idée , oui. Mais à l'arrivée , c'est une semi-déception. First Flight ne dépasse pas hélas le niveau de son pitch.

Je pense qu'il y avait ici assez de matière pour faire un double épisode. Entrer en profondeur dans les arcanes du projet NX, alors qu'ici nous ne faisons que survoler les débats.

Tout les éléments sont là, le 602 Club , le projet NX, les personnages. En premier A.G Robinson, sorte de rival d' Archer campé par un acteur de calibre : Keith Carradine. Mais là encore , nous demeurons trés en retrait du personnage, les enjeux peinent à prendre de la densité, leur réelle densité.

Malgré cela cet épisode a de beaux restes, qui me permet de fantasmer un bien meileur " premier vol"

69% d'avis favorable.

J'ai revu cet épisode hier,et j'en ai une opinion mitigée,je trouve qu'il y manque un petit quelquechose pour en faire un bon épisode pourtant il y a plein de bonnes idées,je l'avais préféré a la premiére vision.
Je trouve que les prototypes essayés par Archer et Robinson sont a peine plus évolué que le phenix de Cochrane,il est alors peu credible de voir Starfleet conçevoir l'Enterprise seulement quelques années aprés.
Par contre Keith Carradine est parfait en rival d'Archer et l'on voit la rencontre avec Trip,mais j'aurai aimé en voir plus sur les origines de Starfleet.

Je viens de revoir l'épisode à l'instant et je doit dire que je le trouve plutôt pas mal.
En effet, il permet d'enfin découvrir les débuts du projet NX. Le scénario regorge de superbes idées et la performance de Keith Carradine est remarquable... je met un 8/10.
Par contre, il est vrai que l'épisode contient quelques erreurs; dont nottament celle qu'a soulevé Julius à propos du design des prototypes.

Citation :

Je trouve que les prototypes essayés par Archer et Robinson sont a peine plus évolué que le phenix de Cochrane,il est alors peu credible de voir Starfleet conçevoir l'Enterprise seulement quelques années aprés.

Surtout que si l'on calcul, cela veut dire que pendant 80 ans environs, les vaisseaux de starfleet n'ont pas évolués (du phenix aux protos. NX) puis qu'en seulement 5 ans, ils arrivent à développer le nec le plus ultra de vaisseau...certe peu crédible.

Enfin bref, un bon épisode que je recommande

Je revois aussi ce First Flight à la hausse.. Il faut se mettre en tête que c'est un épisode d'une série TV et pas une super production à 200 millions de $.
Dans l'état , Levar Burton ( réalisateur de l'épisode ) s'en sort pas mal pour raconter l 'histoire ( caché ) du projet NX .C'est justement ce qui me plaît dans cette intrigue. Ce n'est pas l' Histoire officielle qui nous est contée , mais la petite..Bien plus Trek dans l'esprit au bout du compte , puisse qu'elle démontre l'obstination & l'audace Humaines avec beaucoup plus d'irrévérence..

J'avoue aussi que A.G Robinson est un excellent personnage, illustrant ces héros inconnus de la conquête spatiale.. Sa mort , la peine qui frappe Archer , Tucker et Forrest est plus touchante.

C'est ça sans aucun doute la singuliarité d' Enterprise.. Celle de nous conter la grande Histoire, à travers la petite.

un bon petit 8.

Après l'apparition des Borgs, voici un 2ème épisode bon épisode d'affilée, ce qui est plutôt réjouissant, d'autant que celui-ci est totalement différent.

On a droit à un flash-back avec le plus jeune commandeur Archer, pilote en concurrence avec d'autres pilotes d'essais pour savoir qui fera le premier saut en distorsion suite aux travaux de son père.

Le titre français est bien trouvé, au sens où il y a en effet un côté "L'étoffe des héros", et cette émulation qui pousse les pilotes à repousser leurs limites comme celle de la technologie.

On notera également la rencontre sympa entre Archer et le lieutenant Tucker, dont on apprend le pourquoi du surnom.

Et bien sûr, nos chers Vulcains sont là, toujours prêts à freiner les humains : vrai que si on écoute Archer, eux ont mis 100 ans à mettre au point leurs vaisseaux de distorsion, à partir du moment où leurs progrès étaient similaires à ceux des humains. Il n'en faudra que cinq aux Terriens pour lancer leur premier vaisseau NX ! On va dire ce qui est : certes, les Vulcains s'irritent de l'impulsivité des humains, mais ils doivent surtout être très vexés de constater que cette impulsivité produit de bons résultats, même bien plus rapides que les leurs !

Un épisode intéressant qui complète encore un peu plus la mythologie Star Trek grâce à Enterprise. De plus, cela fait plaisir de voir la rencontre entre Archer et Tucker. Cela crée un lien plus puissant entre nous et les personnages.

Il est vrai que cet épisode manque de rythme durant une grande partie du temps. Ce qui ne serait pas forcément à son désavantage s'il ne contenait pas une petite partie extrêmement bien rythmée avant de retomber. Mais l'épisode tire sa force non pas de son rythme, mais de son humanité et c'est ça Star Trek... (hein discovery ?)

Je lui donne un petit 9. Il le mérite bien.

Un épisode un peu trop ... americano-centré à mon goût. Même si on parle de Starfleet, bien sûr, mais Starfleet, Cochrane, tout ça, c'est pas en Europe de l'Est ni en Afrique du Sud. Les dignes zéritiers de la Nasa qu'on ne nomme pas mais qu'on voit en filigrane.

Comme il n'y a plus de Rrrrusses pour faire concurrence comme au bon vieux temps où on allait sur la lune, on va prendre les Vulcains, ces empêcheurs de tourner en rond, pour faire de l'ombrage au nouveaux zéros. Ils sont là plantés comme des lampadaires, engoncés dans leur kimono de geisha. (pour faire le raccord des vulcains de TOS et ceux-là, il faut quand même une fameuse gymnastique cérébrale et ça ne tient pas à la redécouverte du katra de Surak)

Naturellement, les pilotes roulent les mécaniques et scellent leur amitié virile dans une bagarre épique digne d'un western de John Wayne.

Deux pilotes volent un vaisseau (tiens, ça me rappelle quelqu'un dans un certain film) pour faire des essais sans que personne ne s'aperçoive qu'ils sont sorti du hangar. Comme deux ados sortent en catimini la jaguar de papa du garage pour faire une petite virée.
Mais bien sûr, c'est cela même ...

D'ailleurs, ils vont juste se faire taper sur le bout des doigts. Pas de renvoi, pas de cour martiale ... Starfleet, il est trop content que ses têtes brûlées ont montré qu'ils en avaient dans le bide à ces ronchons de geishas-lampadaires à oreilles pointues.

La seule qui s'en sort avec honneur dans l'histoire, c'est Miss T'pol première, les humains ont tout de même déteint sur elle : elle s'inquiète de voir Archer "perturbé" par l'annonce du décès de son copain et suggère de donner le nom du défunt à leur dernière découverte.

Nouvelle pièce du puzzle ST.

On en apprend plus sur la rencontre Archer - Tucker.

Sauf erreur, une des rares fois où T'Pol utilise le mot "Logique".
Plus j'entends parler T'Pol plus je me dis que je pense comme un Vulcain.

Un bagarre ?? Sérieux ??
Un vol d'équipement de Starfleet ?? Sérieux ??

Le reste est fort intéressant.
Les talents de pilote du Capitaine Archer sont confirmés.

J'ai mis 8 à cet épisode (ça aurait été plus sans bagarre et sans vol).

Fausse piste en entame d'épisode. Ca avait déjà été fait, mais j'aime assez.

On se retrouve plongés en plein coeur du programme de distorsion. Archer qui raconte son histoire pour "purger" le deuil. Encore des officiers qui volent une navette, décidément c'est une tradition depuis l'origine.

Par contre, ne ne comprend absolument pas l'intérêt de "voir" la nébuleuse noire à l'oeil nu.

Un épisode calme, un peu triste.. j'ai toujours ça réussi. J'ai pleinement compati avec Archer dans son deuil. La dernière phrase de Robinson résonne forcément de manière particulière "on se reverra là haut".. eh oui.

7/10