-

Pour moi l'un des meilleurs épisodes de la saison 1

C'est trop marrant comment l'adolescence est abordée avec ces supers pouvoirs... Spock et Mc Coy qui commencent déjà à se chamailler... et Kirk qui ne se sent pas de jouer le rôle du père

La fin est bien triste

Donner des pouvoirs à un ado... humm ça peut avoir des répercussions désastreuses. Mais donner des pouvoirs à un ado qui n'a pas de parent pour lui montrer comment se comporter.. là on est sur que ça va mal se passer...

Aurait-il pu apprendre à se servir de ses pouvoirs de façons constructive ? Les entité de qui venait les pouvoirs ont pensé que non, alors que le capitaine pensait que oui... Dans TNG Riker qui a reçu les pouvoirs de Q et qui à faillit être soumis à ces pouvoirs...( faut dire qu'être omnipotent ça dois griser un tantinet... :lol01:) Alors, comment un ado aurait pu résister à ses désirs...

Je n'avais pas trop aimé cet épisode,je trouve Charlie trop agaçant.
Le theme du "pouvoir corrompt " a souvent été illustré dans Star Trek,donner ce pouvoir a un enfant n'ayant pas de notions du bien et du mal est trés interessant mais ce Charlie est trop une téte a claque.
Cet épisode me fait un peu penser a deux épisodes de La quatriéme dimension "the good life" et "it's still a good life",l'on y voit également un enfant capricieux (Bill Mumy) doté de grands pouvoirs ,on le voyait 40 ans plus tard dans l'autre épisode.

Julius a écrit:

Je n'avais pas trop aimé cet épisode,je trouve Charlie trop agaçant.

idem ... Charlie est trop tête à claque

par contre c'est un des épisodes ou Janice Rand apparaît assez bien ce qui à mon sens relève l'intérêt

Charlie X

Librement inspiré d'un épisode de The Twilight Zone, It's A Good Life d'après Jérôme Bixby (futur auteur de Mirror, Mirror.TOS.2) , Charlie X explore en profondeur ce sujet universel ( les pouvoirs d'un dieu entre les mains d'être immature ) en suivant une piste plus réfléchi et dramatique. D'abord en augmentant l'âge du protagoniste _ ici un adolescent, mais aussi & avant tout en le rendant foncièrement plus sympathique , là ou le petit Anthony Fremont de la nouvelle originelle était d'emblée présenté comme un monstre. Charlie Evans est lui une espèce d'"enfant sauvage " qui a vécut depuis l'âge de 3 ans loin de toute civilisation et de tout contact humain, d'ou ce besoin presque candide de découvrir le monde. C'est donc un adolescent sans repère qui débarque à bord de l' Enterprise. & c'est dans ce domaine que DC Fontana, la scénariste de l'épisode excelle, dans sa description des tourments de l'adolescence. Sentiment de persécution, difficulté relationnelle , besoin d'amour et de reconnaissance, trouver sa place au sein d'une société, éveil à la sexualité ect.. Charlie essaye tant bien que mal de s'intégrer, mais n'y parvenant pas, sautant des étapes , interprétant mal les intentions et sentiments d'autrui, cherchant à contrôler l'autre. Kirk le mettra devant le fait accompli d'une existence adulte, les limites de la condition humaine : "Charlie, there are a million things in this universe you can have and there are a million things you can't have. It's no fun facing that, but that's the way things are. " Charlie ne sachant pas comment s'y prendre, Kirk poursuit : " Hang on tight and survive. Everybody does[...] Everybody, Charlie. Me, too. "

Sauf que Charlie peut tout se permettre, grâce à ses pouvoirs quasi divin et Kirk va l'apprendre à ses dépens. Ce qui d'abord commence par des blagues potaches (le coup des cartes, celui des dindes ) se transforme en tragédie. Destruction de l' Antares, Charlie de plus en plus mal aise dans le monde , blesse , défigure, martyrise l'équipage de l' Enterprise. Comme tout adolescent sans repère moraux, laisser à l'abandon, Charlie est une bombe à retardement que Kirk doit stopper. Pourtant malgré la cruauté donc fait preuve Charlie, on n'arrive toujours pas à le trouver détestable, mais finalement pathétique ,malheureux, indigent . & cela doit beaucoup au jeu étonnant de Robert Walker.

Il faut une intervention divine, celle des Thasiens pour rétablir la situation. Les Thasiens des êtres fantomatiques qui ont donné leur pouvoir extraordinaire à Charlie pour qu'il puisse survivre sur leur planète, l'occasion de livrer un final désespérée, mélancolique et subtilement impie. Les Thasiens venant reprendre Charlie parmi eux, incapable , qu'il est et qu'il sera de contrôler de tels pouvoirs :

"We gave him the power so he could live. He will use it, always, and he would destroy you and your kind, or you would be forced to destroy him to save yourselves.

On ne peut pas faire de sentence plus pessimiste que ça , et Charlie pathétique & terrifié de supplier pour qu'on le garde ici dans le monde réel. Un appel déchirant venant d'un coeur perdu :

"Oh, please, don't let them take me. I can't even touch them! Janice, they can't feel. Not like you! They don't love! Please, I want to staaaay... ".

Charlie disparaît. Oui qui veut devenir un Dieu dans de pareilles conditions ? Il serait préférable de vivre une vie aussi étriquée soit telle, que d'errer comme des fantômes sur le dos d’ une intelligence supérieure , vide de sensation et d'amour. Du pur Roddenberry dans le texte.

Outre ces merveilleux moments de fable Voltarienne, Charlie X nous offre aussi le sentiment d’une vraie vie à bord du vaisseau, à force de détails qui rendent la chose vraie et naturelle , donc humaine comme cette scène culte ou Uhura drague ouvertement Spock & régale l’audience de son joli filet de voix ( en d’autre )

Charles Evans est un personnage qui joue un rôle extrêmement important dans l'univers de Star Trek. C'est le premier épisode (Après le pilote The Cage) qui révèle "le procédé Star Trek", le multiplexage des idées. C'est la prouesse technique qui garantit l'avenir commercial de la franchise et la première offre de "revisionnages" illimités pour sa futur clientèle.


Ainsi, Charles Evans sera perçu

Pour un enfant, comme le personnage principal doué de pouvoirs surnaturels.
Pour un adolescent, comme l'incarnation de l'ennemi public numéro 1, l'ostracisme.
Pour un adulte, comme un personnage secondaire censé mettre en exergue toutes les extrémités d'un conformisme, aveuglant les personnages principaux.

Et nous pouvons aisément soupçonner d'autres niveaux intermédiaires.

Oui, Charlie X est une interprétation remarquable pour les aveugles, les sourds et pour les muets.

Mon image préférée



Ma citation préférée

Spock à McCoy a écrit:

"Docteur, votre point de vue est-il scientifique ou émotionnel ?" Spock à McCoy

Ma note : 7/10

Le sujet est clairement l'adolescence, une sorte d'hyperbole traitée avec sérieux, ce qui fait plaisir à voir.La scène où Kirk explique à Charlie qu'il ne peut tout avoir et qu'il devrait mesurer ses émotions par rapport aux autres est très belle, réaliste, Kirk est empli de bonté et de responsabilité. J'aurai bien aimé un père comme celà à la même période.
Charlie, écorché vif qui cherche à exister mais ne sait pas comment, conscient de ses maladresses tout en ressentant un besoin pulsionnel , a beaucoup de mal à trouver le rite, le passage initiatique qui le fera passer d'un état d'être à un autre.Hélas il ne le trouvera pas vraiment, et c'est un peu là que l'épisode faiblit : il bascule dans la révolte suicidaire à cause d'un pouvoir donné par ces êtres étranges, et qui viennent terminer l'histoire un peu en eau de boudin me semble-t-il.
L'acteur qui joue Charlie est très bon, et il ne m'a pas agaçé autant que d'autres épisodes avec des "sales gosses" ; on est plutôt triste pour lui car la force de l'histoire est tout de même de nous faire partager de l'empathie pour son désarroi

et effectivement le "multiplexage" y est pour quelque chose, un peu comme dans "Rashomon" de Kurosawa (mais là c'est encore autre chose)

Cet épisode est... flippant, mais également cruel.

Sans maîtrise, la puissance n'est rien, comme dirait l'autre, et on est précisément dans ce cas de figure, avec le pauvre jeune Charlie aux pouvoirs tellement étendus. L'épisode est flippant au sens où Charlie peut matérialiser toutes ses pensées (ou presque, on voit que ses pouvoirs ont tout de même leurs limites), et cruel pour lui au sens où il ne pourra jamais se réadapter parmi les siens, les humains. C'est le prix de sa survie, un prix bien cher à payer. Son mot de la fin, "je ne peux même pas les toucher", est vraiment touchant (sans mauvais jeu de mots).

Une mention gros + à Kirk, qui après avoir dû jouer au père de substitution à son corps défendant, refuse de céder et de se laisser intimider. il n'est pas le commandant pour rien !

Le côté kitsch de la série, les décors, le jeu des acteurs et la dynamique donnent décidément un sacré côté rétro à la série... mais on s'y (ré)habitue très vite, en fin de compte, d'autant que le contenu, au delà du contenant, est très intéressant.

Et sinon, voir Spock esquisser un sourire, ça fait toujours bizarre^^

Ah ! L'adolescence. Son incompréhension, ses imitations, ses façons de harceler les filles...

#balancetonjesuischarlie.

L'épisode nous conte l'histoire de Charles (Charlie) Evans, âgé de 17 ans, unique rescapé du crash d'un spationef de transport survenu 14 ans auparavant sur la planète Thasus. Seulement Charlie est un peut spécial. Le secret sur ses pourvoir est d'ailleurs gardé jusqu'à la fin de l'épisode. Charlie est en extase devant le sous-officier Janice Rand, première femme qu'il ait jamais rencontrée. En effet, le pauvre Charlie ignore jusqu'à l'apparence d'une femme.

L'une des scènes que j'aime le moins dans cet épisode est celle au mets des officiers. Elle est inutile et peu intéressante. Et oh mon Dieu ! Supprimez-moi cette chanson d'Uhura ! Ça me rappelle la pire scène de ST 5. Manquerais plus que la voire à moitié nue. Quoi que, vu l'âge qu'elle avait à l'époque, je ne dirais pas non. Alors que dans ST 5... Oh là là... Mémé cougar en vu... Heureusement, Charlie lui coupe le sifflet. Je préfère les tours de cartes de Charlie.

Charlie est un adolescent. Il cherche à attirer l'attention. Mais avec les pouvoirs qu'il a, on ne peut que craindre pour le résultat. Et c'est ce dont parle l'épisode. D'un jeune homme qui veut seulement se faire aimer. Et attiré toute l'attention sur lui. Il est jeune et veut s'amuser, profiter. Il est loin des problèmes d'adultes. Charlie explore le vaisseau avec toute la maladresse d'un adolescent élevé sans chaleur humaine. Perdu dans son nouvel environnement, il recherche auprès du capitaine Kirk des conseils quasi-paternels, mais Kirk se sent mal à l'aise dans un pareil rôle. En un sens, on peut dire que Charlie est très effrayant. Et la situation l'est tout autant. Savoir que sa vie dépend d'un ado en pleine crise peut faire très peur.

En conclusion, je dirais que Charlie X est un épisode qui est, à la fois, excellent et épuisant. Ses qualités sont aussi ses défauts. Gene Roddenberry a écrit une histoire plus qu'intéressante, un vrai récit sur l'adolescence et ses problèmes. Mais aussi sur le manque d'amour et d'humanité. Charlie X est un épisode qui nous offre les premiers vrais moments de vie dans le vaisseau et sera ce qui poussera Roddenberry à offrir ces moments à une série entière avec TNG. Chose qui sera reprise dans les séries suivantes.

Je lui donne un beau 7/10.

Ha oui je me
r appelle bien de cette épisode
Moi ce qui m avait frappe
ses quand Charlie X
fait disparaitre un jeux homme dans
la salle de sports
parce que il c était moquer de lui

Outre le fond de l'histoire de Charlie X, ce qui m'avait disons pas choquée mais gênée était lorsque Charlie fait en sorte qu'un membre féminin de l'équipage n'aie plus de visage (bouche, nez, yeux) bref je me souviens que la première fois où je l'avais visionnée, j'avais trouvé cela un peu flippant et cruel.

J'ai aimé cet épisode parce qu'il montre clairement ce que peux devenir un être humain sans recevoir aucune chaleur humaine, sans connaître aucune limite, et que par conséquent il ne connaisse jamais la frustration. Car au delà des pouvoirs de Charlie, c'est surtout son attitude face à la frustration, frustration qu'il n'arrive pas à gérer puisqu'à mon avis il ne l'a jamais connue.

(D'ailleurs les enfants qui ne connaissent jamais la frustration deviennent des "monstres" une fois adultes, ils pensent qu'ils peuvent faire tout ce qu'ils veulent, obtenir par tous les moyens ce qu'ils veulent).

Un épisode que j'avais trouvé tres quelconque a mon premier visionnage il y a bien longtemps. Ca doit etre un des premiers épisodes de la série (et donc de la franchise que j'ai vu).

Le revisionnage de l'autre jour m'a pas aidé a plus l'apprécier. Le gosse est insupportable (oui c'est un ado mais pour moi c'est un gosse), tete a claque au possible.

5/10

nunu a écrit:

Ca doit etre un des premiers épisodes de la série (et donc de la franchise que j'ai vu).

C'est le 2e épisode dans l'ordre de diffusion et le 7e dans l'ordre chronologique.

J'ai bien envie de dire que Kirk nous montre ce qu'il ne faut pas faire avec un ado. Au lieu de démonter son comportement, lui expliquer que s'il veut qu'on soit gentil avec lui, il doit faire pareil avec les autres, lui expliquer ses échecs, ses erreurs, Kirk bégaye, bredouille et hausse le ton : parce que c'est comme ça, na ! On fait pas ça !

D'accord, c'est l'adulte qui en fin de compte tranche et décide, mais expliquer le comment du pourquoi n'est pas un luxe non plus.  

On attend de Charlie qu'il se comporte correctement, mais on ne lui donne pas les codes pour qu'il le fasse. On ne lui explique pas les rapports humains. McCoy et Kirk se renvoie la papate chaude et Spock est trop vulcain pour s'en mêler.

Très symptomatique, l'histoire de la claque sur la croupe de Janice. Kirk n'est pas capable d'énoncer la première des évidences : on ne touche pas au corps d'autrui sans son consentement. Il bredouille sur les hommes qui ne sont pas pareils que les femmes, et puis ça s'arrête là.

Quand Charlie fait disparaître Sam parce qu'il a rigolé, Kirk n'essaie pas de négocier son retour.  Ça n'a pas trop l'air de l'affecter plus que ça la disparition d'un de ses hommes. Il ne semble pas non plus réaliser que, vu les pouvoirs du gamin, il vaudrait mieux calmer le jeu et user de diplomatie plutôt que de rouler des mécaniques. Enfermer le gamin dans un champ de force alors qu'il fait disparaître ce qu'il veut en prenant un regard de possédé ... pas très fute-fute.

On entre dans un rapport de force illogique alors que la diplomatie et la ruse seraient tout de même plus adéquates.

Au fait, la femme que Charlie vieillit en lui faisant ses vilains yeux ... elle portait un pantalon !  Toujours dans le registre anecdotique, j'étais contente que Charlie cloue le bec à Uhara parce que, là, elle ne l'avait pas volé. Et dans son second numéro de charme à Spock, on voit ce dernier se prêter au jeu — il continue à pincer sa harpe — et sourire !

Sam, le pauvre disparu, était joué par Robert Herron, qui fut cascadeur doublure de Pike dans The Cage, puis sera Kahless dans "The savage curtain"^^

Il est intéressant de voir à quel point cet épisode est en avance sur son temps.

Jouer la carte du "Super Héros" dans une série de Science Fiction, c'était courageux.
Et ça tombe bien, car j'aime aussi les films de Super-Héros.

J'ai mis 8 à cet épisode.

Je n'avais jamais pensé au concept de super-héros pour qualifier Charlie, mais il est vrai qu'il y a de ça. Ce qui est marrant, c'est que ce concept d'êtres immatériels aux pouvoirs très étendus sera régulièrement recyclé par Star Trek.

je l'ai regardé à nouveau hier. C'est intéressant de voir le capitaine Kirk, maître à bord, doué de fermeté et d'un ton de commandeur, hésiter dans un rôle de père ou d'adulte cadrant qu'on lui demande de jouer. Alors qu'il y parvient un peu plus dans l'épisode "children must lead".

Muriellekirk a écrit:

je l'ai regardé à nouveau hier. C'est intéressant de voir le capitaine Kirk, maître à bord, doué de fermeté et d'un ton de commandeur, hésiter dans un rôle de père ou d'adulte cadrant qu'on lui demande de jouer. Alors qu'il y parvient un peu plus dans l'épisode "children must lead".

Je crois que la thématique 'Relations Capitaine - Enfants' est récurrente dans Star Trek.
En particuliers dans TNG où Picard dès la première saison est mis face au fils de
Beverley Crusher, connu sous le nom de Wesley Crusher. C'est grâce à ce jeune garçon que
Picard s'accoutumera avec le fait qu'il y a des enfants sur l'Enterprise et qu'un Capitaine
tel que lui n'a aucune difficulté à avoir de ce côté là.

C un grand plaisir de retrouver des Épisodes de Star Trek The Original Series... On retrouve du contenu, du style, du caractère...comme on en fait plus...c comme revisiter les Classiques du 7ème Art... Scénario, Musique, Acting, Décors...nous replonge dans l'Émotion e l'Esprit Avant-Gardiste des Années 60...

Charlie : Je ne suis pas un homme, mais je peux faire ce que je veux...

En réalité, qui peut vraiment faire TOUT ce qu'il veut ? Personne ! Même Tous les Pouvoirs de Charlie ne peuvent le faire aimer de Janice...
Et même si on pouvait faire tout ce qu'on veut, cela ne peut être sans conséquence ni responsabilité...

Je connais cet épisode évidemment...vu au moins 4 fois déjà et POURTANT, j'en frissonne toujours et encore à la fin...entre la satisfaction de se débarrasser de cet ado immature, malicieux et dangereux, et l'Émotion devant son désespoir si habité qu'on voudrait presque le garder malgré tout les malheurs impardonnable qu'il a déjà provoqué...
Poignant....et pourtant...
L'histoire, le scénario, le jeu d'acteur, le charisme de Kirk face à la menace...

Que reprocher ? Peut-être certains aspects désuet...mais négligeable...

Il y a une humilité aussi très apréciable...

10/10...Cet Histoire était déjà FORT ORIGINAL pour l'époque...

Bien aimé le "malaise" de Kirk à jouer les pères de substitution.
Par contre, le comportement de l'uss antares, merci bien pour le cadeau. Aucun avertissement, juste des sourires, bien contents de s'en débarrasser à des collègues. Bravo.

Le seul "hic" étant la scène de la cafeteriat avec un Spock souriant et jouant de la harpe (ça tranche avec la suite du personnage mais c'est somme tout assez "logique" qu'il ait gagné en épaisseur/différence/complexité au fil du temps).

7/10